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vendredi 30 octobre 2015

Créature inconnue du Paraguay

Paraguay, créature et rivière…

le désert d’Atacama en champ de fleurs

Les précipitations ont transformé le désert d’Atacama en champ de fleurs

      

désert d Atacama

EN IMAGES – Dans le désert d’Atacama, des précipitations intenses ont donné naissance à un spectacle hors du commun sur cette terre la plus aride de la planète.

Les précipitations ont transformé le désert d’Atacama en champ de fleurs

L’un des déserts les plus arides de la terre vient d’exploser dans un champs de fleurs.
Vallées rocheuses, plaines arides craquelées par la chaleur, étendues de sel habitées par les flamants roses, geysers endiablés, cimes de volcans enneigées. Rien du climat régnant sur le désert d’Atacama au Chili, ne prédestine à un tel tableau. Pourtant, une autre forme de poésie s’est emparée de ce lieu considéré comme le plus aride de la planète. Certaines années, d’immenses vagues colorées le recouvrent, ce qui donne un tableau hors du commun, avec des allures de paysage psychédélique.

Les fleurs émergent du sable

Lorsqu’on arrive à l’entrée de ce lieu, face aux flancs des montagnes embrumés, on croit apercevoir des traînées de neige. 
En réalité, un immense tapis de fleurs blanches s’étale à perte de vue. Blanches: une illusion. 
Plus on avance et plus la couleur évolue. Du blanc on passe au jaune, du jaune on passe au bleu, qui enfin se transforme en mauve aux nuances rosées.
 C’est le phénomène climatique EL Niño, balayant les côtes pacifiques tous les six ou sept ans, qui amène les pluies nécessaires à la germination des bulbes. 
Si les gelées ne viennent pas se poser sur les rhizomes en quête d’éclosion, le «désert fleuri» peut durer de septembre à décembre.
Après d’importantes trombes de pluie tout au long de l’année, ventôse (octobre-novembre dans l’hémisphère sud) a porté le coup de grâce. 
L’équivalent de sept années de précipitations s’est ainsi acharné sur le désert en à peine douze heures.
Le parc national Llanos de Challe, aux portes du désert d’Atacama, à 600 kilomètres de la capitale Santiago, déroule des tapis infinis de fleurs.
 Plus de 200 espèces y sont répertoriées. «Nos variétés ne poussent nulle part ailleurs au monde, quatorze d’entre elles sont en danger d’extinction. 
Des visiteurs les arrachent pour les emmener chez eux pensant qu’elles vont repousser; évidemment elles ne repoussent jamais.
 Arracher un bulbe, c’est enlever un trésor du désert pour rien», déplore un gardien du parc. 
La star des lieux, la «Griffe du Lion», une fleur rarissime qui évoque le rhododendron marque l’apogée du désert. Une merveille de la nature, à conserver.
iStock_000074381937_MediumiStock / Getty

ANTOINE LASSAGNE / AFP / Getty Image
Flowers bloom on the desert in the Llano
Chile - Purslane blossoms in the desertErwin Patzelt / DPA / AP
Flowers bloom on the desert in the Llano
ANTOINE LASSAGNE / AFP / Getty Images

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jeudi 29 octobre 2015

la naissance d'un génie et d'un immense espoir pour l'humanité

La naissance d'un génie et d'un immense espoir pour l'humanité


Il s'appelle Jack Andraka et on le dit descendant d'esclaves ottomans.
  Ce jeune de 16 ans a inventé un détecteur de cancer en 5 minutes dès les premier stades de la maladie.
Andraka a perdu un être cher à 13 ans, à cause d'un cancer du pancréas. 
 Il s'est consacré à la recherche et a découvert un senseur qui coûte 3$.
Les laboratoires ont refusé de l'appuyer car ça ruinerait l'industrie pharmaceutique millionnaire dans le domaine du cancer.  Une seule université avalisera sa découverte.




Jack_Andraka




 Ce jeune homme donne de l'espoir à une multitude. Mais pour les laboratoires, cela signifie la fin des profits.
À 16 ans seulement, cet étudiant américain de niveau secondaire a inventé un détecteur de cancer en seulement 5 minutes.


Sa découverte pourrait changer la vie de millions de personne mais c'est aussi une menace pour l'industrie pharmaceutique qui accumule des millions de profits en rapport avec cette grave maladie.

À la mort de son proche, on a dit à Jack que le cancer du pancréas ne pouvait être détecté que lorsqu'il est trop tard pour le traiter, ce qui l'a motivé à faire des recherches à partir de sites Internet courants.


Et 3 ans plus tard, il a découvert une façon «rapide, simple et efficace» de détecter cette maladie mortelle qui, grâce à son invention, pourrait être neutralisée.  

À partir d'information compilée de Google et de Wikipédia, Jack a étudié les 8 000 protéines présentes dans le sang jusqu'à ce qu'il réalise que l'une d'elles, la mésothéline, se développe très tôt chez les personnes qui souffrent d'un cancer du pancréas.


«Après ma découverte d'une des milliers de protéines (mésothéline) dans le sang des cancéreux, j'ai utilisé des anticorps et les ai entretissé dans un réseau de nanotubes de carbone afin d'obtenir un indicateur qui réagit uniquement à ladite protéine» a-t-il expliqué en se présentant devant le Festival des Grands Esprits.


Son invention est un senseur de papier qui coûte 3$
capable de détecter en 5 minutes 3 types de cancer : ceux du pancréas, de l'ovaire et du poumon.

Mais le plus surprenant de tout, c'est qu'il coûte 26 000 fois moins et qu'il est 168 fois plus rapide. 
 De plus, cette méthode est 400 fois plus sensible que les méthodes actuelles en plus de ne pas être invasif.


Mais son plus grand avantage encore, c'est qu'«on peut détecter le cancer dès le début, alors que la personne a presque 100% de chances de survivre, et jusqu'à présent, les résultats sont justes dans 90% des cas de cancer» a-t-il affirmé.  
«Et ce sera de même pour les cancers des ovaires et des poumons» a-t-il ajouté. 

 Et, dépendant de l'anticorps, cette même invention pourrait utiliser une protéine différente pour détecter l'Alzheimer, d'autres formes de cancer et même le VIH.


Sans surprise, il lui a été très difficile de trouver un laboratoire qui accepterait de poursuivre ses recherches. 

 Il a en a approché 200 et tous ont refusé sauf un, l'Université Johns Hopkins, qui a décidé de l'aider à le développer.

Cette découverte pourrait ruiner l'industrie millionnaire du cancer. 
 Son invention est maintenant au stade de l'obtention du brevet, ce qui pourrait prendre plusieurs années, mais le jour où elle sera approuvée, ça marquera toute une révolution de la science médicale.

En outre, durant la conférence, le jeune homme a insisté sur le point que la science ne devrait pas être un luxe, mais un droit humain fondamental, «le droit d'accès à l'information doit être à la portée de tout, non seulement à ceux qui ont les moyens de payer», a-t-il affirmé.

Sa découverte s'est mérité le prix Gordon E. Moorede du Salon international de la Science et de l'Ingénierie de Intel et le prix Smithsonian du Génie américain;  il est le plus jeune orateur de la Société royale de Médecine des États-Unis.  

Cette reconnaissance est sans aucun doute tout-à-fait méritée.

Avancée technologique ou futur Manipulation des peuples ?

Réalité augmentée : la mystérieuse technologie de Magic Leap

Fondée en 2010, la société Magic Leap travaille dans le plus grand secret sur une technologie de réalité augmentée qui semble suffisamment convaincante pour que Google, Qualcomm et peut-être bientôt le géant chinois Alibaba investissent des centaines de millions de dollars.

Au-delà des deux vidéos de démonstration officielles, quelques informations plus concrètes permettent de se faire une meilleure idée de ce que prépare cette jeune pousse.

Magic Leap est avare de détails sur sa technologie de réalité augmentée qu’elle met en scène dans une nouvelle vidéo, il est vrai impressionnante. Mais, pour le moment, la jeune pousse nord-américaine n’a rien montré de concret. © Magic LeapMagic Leap est avare de détails sur sa technologie de réalité augmentée qu’elle met en scène dans une nouvelle vidéo, il est vrai impressionnante. Mais, pour le moment, la jeune pousse nord-américaine n’a rien montré de concret. © Magic Leap



Deux vidéos de démonstration publiées sur YouTube. 
Voilà jusqu’à présent tout ce que Magic Leap a montré au grand public de sa technologie de réalité augmentée.

 Et pourtant, cette jeune entreprise innovante fondée en 2010 a déjà amassé plus de 590 millions de dollars l'année dernière (534 millions d'euros au cours actuel) auprès d’investisseurs aussi importants que Google, Qualcomm, le studio de cinéma Legendary Entertainment ou la société Weta Workshop, à qui l’on doit les effets spéciaux de la trilogie du Seigneur des anneaux.
 Et ce ne serait qu’un début.


Selon les informations du site Re/code, le géant chinois Alibaba pourrait mettre 200 millions de dollars sur la table (181 millions d'euros au cours actuel).


 Le South Florida Business Journal affirme pour sa part que Magic Leap serait en train de négocier une nouvelle levée de fonds qui pourrait atteindre le milliard de dollars. 

Des chiffres vertigineux sachant que la jeune pousse n’a livré aucun détail technique ni aucune date de lancement pour son produit.

 Si les investisseurs ayant choisi de miser sur cette technologie ont sans doute eu accès à des informations plus concrètes, les médias et le grand public doivent se contenter de vidéos, il est vrai plutôt impressionnantes. 




Voici la deuxième vidéo de démonstration officielle publiée il y a quelques jours par Magic Leap. Contrairement à la première, celle-ci a été filmée directement depuis le dispositif de réalité augmentée et sans trucage. © Magic Leap 

La deuxième vidéo a été tournée sans trucages

La première vidéo parue en mars dernier sur YouTube met en scène un jeu vidéo de tir dont l’action se déroule dans un environnement réel dans lequel des robots surgissent des quatre coins de la pièce. 

Cette première démonstration, qui avait été réalisée avec le concours de Weta Workshop, laissait planer un doute quant à la part d’effets spéciaux et celle de la technologie Magic Leap. 

C’est la même situation avec les lunettes de réalité augmentée HoloLens.
 Les démonstrations orchestrées par Microsoft présentent non pas le fonctionnement exact du produit, mais une vision du type de réalité augmentée à laquelle il peut conduire.


La société Magic Leap est tout de même allée un peu plus loin pour convaincre. 
Il y a quelques jours, elle a publié une deuxième démonstration vidéo, précisant qu’elle avait été tournée directement depuis son dispositif et sans effets spéciaux d’aucune sorte. 

Dans la séquence, on découvre une magnifique animation du Système solaire observé du point de vue de la personne qui utilise l’équipement Magic Leap. Le rendu est effectivement assez bluffant et laisse entrevoir ce qu’un tel système pourrait apporter à des applications ludiques, éducatives ou professionnelles. 
Mais que sait-on au juste de cette technologie nommée Digital Lightfield que ses concepteurs qualifient de « biomimétique » 

Plus de 150 demandes de brevet

Si aucune information officielle n’a filtré, la start-up a déposé plus de 150 demandes de brevets auprès du bureau américain des brevets et des marques (USPTO) qui livrent quelques indices. 




D’après les dessins et schéma présents dans ces documents, l’équipement consiste en un casque ou des lunettes reliés à un boîtier portable équivalent à un mini-ordinateur qui renferme l’électronique et l’alimentation nécessaires.

 Ceci expliquerait le niveau de performance graphique du système qui reposerait sur une configuration matérielle plus puissante que des équipements intégrant des composants directement dans les lunettes ou le casque.



Pour ce qui est du dispositif de projection, il consiste à afficher une multitude d’images devant chaque œil au moyen de deux projecteurs miniatures qui envoient le signal sur des lentilles transparentes lesquelles le réfléchissent directement sur la rétine.

 En parallèle, une caméra infrarouge similaire au Kinect de Microsoft se charge de modéliser l’espace pour que les objets virtuels soient parfaitement intégrés au monde réel. 

D’après la description qu’en fait la Technology Review du MIT (Massachusetts Institute of Technology), le système de diffusion de Magic Leap s’intriquerait parfaitement avec la lumière ambiante, de sorte que notre cortex visuel ne ferait quasiment pas la différence entre les objets virtuels et réels.


Les nombreuses demandes de brevets déposées par la société basée en Floride suggèrent également que le dispositif reposera sur une plateforme de cloud computing qui gèrera une partie du traitement de l’information pour servir des applications spécifiques.

 Ainsi, Magic Leap saura par exemple reconnaître des actions et des objets pour diffuser des publicités contextuelles.

 Cela pourrait aller encore plus loin puisqu’il est question de détecter l’état émotionnel de l’utilisateur en se servant de reconnaissance faciale et d’intelligence artificielle afin d’adapter l’affichage en conséquence. 


Tout ceci est très ambitieux mais il convient de relativiser. Les demandes de brevet servent avant tout à couvrir tous les cas d’usages possibles afin de pouvoir défendre sa propriété intellectuelle face à la concurrence. 

Ce qui ne signifie pas que ce qui est décrit verra forcément le jour… Magic Leap a beau faire preuve d’une grande maestria en matière de communication, elle va devoir entrer un peu plus dans le vif du sujet en montrant concrètement la réalité de sa technologie qui reste pour le moment très virtuelle



Ndr: 

Souhaitons que cette nouvelle technologie ne sois pas utilisée par " l 'elite mondiale gouvernante " à des fins peu conventionnelles : genre : Apparitions d'idoles de la religions  afin  de manipuler les masses et de les enfermer à nouveaux dans un esclavagisme ....

Les Pleiades