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vendredi 1 janvier 2016

Le Remix de l'Histoire par David Icke.

Le Remix de l'Histoire



Il est primordial de connaître ses origines pour appréhender le présent et déterminer l'avenir.

L'idée que nous nous faisons de nous-mêmes et de notre réalité repose pour une large part sur nos convictions relatives au passé.

Aussi, une organisation qui souhaite influencer la perception que les gens se font d'eux mêmes et de la réalité doit récrire ce que nous désignons, non sans humour, l'Histoire.


Ainsi, à entendre répéter du berceau au tombeau que la Deuxième Guerre mondiale a opposé les Bons et les Méchants, que les Alliés combattaient au nom de la liberté alors que les fascistes promouvaient une dictature généralisée, vous ne verrez jamais l'accumulation de faits qui prouvent que les deux camps étaient financés et dirigés par une même clique qui pilotait les opérations depuis Wall Street et la Cité de Londres.








L'histoire de Jésus de Nazareth nous fournit assurément la meilleure illustration de manipulation à large échelle.

Le christianisme est fondé sur la croyance en l'existence historique avérée d'un juif issu d'une mère vierge, qui accomplit des tas de miracles, mourut en croix pour la rédemption de tous, disparut du tombeau pendant trois jours avant de ressusciter pour monter aux cieux s'asseoir à la droite de son père.

Depuis deux mille ans,des millions d'existences ont été contrôlées, limitées, manipulées à partir de cette histoire.



Aujourd'hui encore, de vastes pans de l'humanité fondent leurs gestes sur la vérité historique de cette fable.

L'histoire d'un seul homme a eu des répercussions considérables sur la vie d'un grand nombre de l'Antiquité à nos jours.

[Note de Thibault Erikson : je tiens à préciser d'emblée, qu'à titre personnel, j'ai beaucoup étudié l'eschatologie chrétienne, la bible, des sites et blogs catholiques, en particulier ceux qui démontrent que la F-M et en général le pouvoir occulte, ont infiltré depuis longtemps l'église vaticane et que le pape actuel, François 1er/Bergoglio, Petrus Romanus dans la « prophétie des papes », se comporte comme le faux prophète du « script » de l'Apocalypse.

Dans les faits, des croyants chrétiens étant parfaitement au courant que le Vatican est sous contrôle du « diable », il y en a malheureusement très peu globalement. Car je préfère encore discuter avec ces personnes plutôt que de voir tous les autres croyants se prosterner devant la « bête » qui prône ouvertement la religion mondiale.

J'ai même encore lu récemment un article du blog eschatologique « Le Grand Réveil » et y ai trouvé beaucoup d'intérêt.

Je préfère préciser ceci pour ne pas encore me retrouver avec des insultes de catholiques m'indiquant que je dois étudier ci et cela, tel texte...

Je sais que s'y on se réfère à la "Bible", on est en plein dans cette période de l'Apocalypse, l'apostasie générale, la religion de l'homme...

Mais ceci est surtout pour moi de la manipulation, du contrôle mental, un scénario longtemps établi à l'avance, la vrai spiritualité n'est pas dans la religion, voir pire, même les bases du christianisme seraient en réalité d'essence "satanique"...
]


Pourtant, nous verrons que les Évangiles, si on les prend au pied de la lettre, n'ont aucun fondement historique.

Ils ne constituent que la version la plus publicisée d'un récit truffé de symboles qui avait cours partout au monde des milliers d'années avant que le prénom Jésus soit prononcé.

Jeu questionnaire : nommez le type dont je parle. Il naquit le 25 décembre d'une mère vierge; on le surnomma le sauveur, le Fils unique engendré par le Père qui mourut afin de sauver l'humanité.

Il était à la fois le Fils et le Père, incarné dans une enveloppe terrestre. Il fut crucifié un vendredi, le vendredi noir, et son sang fut versé pour la rédemption de la Terre.

Il souffrit un calvaire, fut mis au tombeau, descendit aux enfers et, trois jours plus tard, le 25 mars, son corps n'était plus au tombeau.

Il ressuscita, fut considéré comme Dieu Tout-Puissant, son corps fut symbolisé par le pain, son sang par le vin et ceux qui croyaient en lui se mirent à le consommer sous ces deux espèces.

Jésus, dites-vous ? Non. Cette histoire est celle du Fils de Dieu, un sauveur nommé Attis qu'adoraient les Phrygiens, l'un des peuples les plus anciens de l'Asie mineure (à présent la Turquie), plus d'un millier d'années avant que l'on ne fabrique l'histoire de Jésus.

Ce n'est que l'une des innombrables déités à qui on attribuait ce genre d'histoire plusieurs millénaires avant l'avènement du christianisme.



Attis


On s'accorde pour dire qu'il s'agit de mythes et que ces gens n'ont pas vraiment existé.

Sauf pour Jésus. Alors que les chrétiens se moquent des récits païens et les condamnent, ils exigent que tous croient, quitte à torturer et à tuer en guise de mesure incitative, leur version de cette même histoire sous prétexte qu'elle est la
seule vérité.

Afin de comprendre comment on a pu transformer un récit antédiluvien en une forteresse religieuse appelée christianisme et pour cerner l'origine de la globalisation du contrôle que nous subissons à présent, il faut s'intéresser à notre ascendance la plus lointaine.

Si on s'adonne à l'exercice sans idée préconçue, une version très différente de l'histoire humaine nous apparaît que l'on n'enseigne dans aucune école et que ne révèle aucun organe de communication de masse.

En plus de donner un sens au passé, cette version de l'histoire révèle l'étendue de la manipulation en cours et met en lumière les antécédents des parties intéressées.






Contrairement à l'idée répandue, la vie sur Terre n'a pas évolué à partir d'une créature unicellulaire pour atteindre le degré de technologie actuel.

En effet, des comptes rendus très anciens retrouvés aux quatre coins de la planète font état d'imposantes connaissances techniques et d'une société unique contrôlée par des êtres de races différentes que les humains en sont venus à considérer comme des dieux.

On a du mal à discerner lesquels ont véritablement existé et qui parmi eux étaient des symboles de la lune, du soleil, des planètes, des cycles naturels, etc.

La plupart appartenaient à cette dernière catégorie mais des preuves s'accumulent pour nous convaincre que quelques-uns ont bel et bien existé, qui avaient une profonde connaissance du système solaire, des étoiles, des cycles universels, des effets du soleil, de la lune et des autres planètes sur la Terre et ses habitants, qu'ils possédaient des connaissances technologiques telles qu'ils purent ériger en différents endroits des pyramides et autres structures étonnantes que nous aurions du mal à assembler de nos jours.


Songez seulement à l'ampleur des travaux pour l'édification des pyramides de Gizeh.

À elle seule, la grande pyramide fait près de 5 00 pieds de haut et compte environ deux millions et demi de blocs de pierre pesant six millions et demi de tonnes.



Quelques-uns de ces blocs pèsent 70 tonnes et sont taillés avec une précision telle qu'ils s'imbriquent sans le moindre interstice.




La grande pyramide compte à elle seule suffisamment de blocs de pierre pour ériger 30 gratte-ciel tels que l'Empire State Building et l'ensemble des pyramides permettrait d'ériger autour de toute la France une muraille de trois mètres de haut et de un mètre d'épaisseur.

Quelques-uns des gigantesques blocs de pierre provenaient de carrières qui se trouvaient à des centaines de miles de Gizeh. Et on veut nous faire croire que des primitifs ont accompli cela ?

À Baalbeck au Liban se trouvent des structures vieilles de quelques millénaires qui regroupent trois énormes blocs de pierre appelés Trilithon, dont chacun pèse plus de 800 tonnes. 



Il a fallu déplacer ces blocs sur une distance d'un tiers de mile et l'un d'eux fut imbriqué dans une muraille à 20 pieds de haut.

Une autre masse de pierre à proximité pèse 1 000 tonnes, soit le poids de trois gros-porteurs.




La « Pierre de la femme enceinte », la plus grande pierre taillée au monde, mesure 21,50m x 4,20m x 4,80m, son poids est estimé à 1.100 tonnes. Elle n’a jamais pu être déplacée et est encore visible dans la carrière au sud du site.



Ici aussi on veut nous faire croire qu'un peuple primitif a érigé une telle structure ?

Au Pérou, plusieurs temples ont été édifiés à l'aide de blocs de pierre de 440 tonnes et à Tiahuanaco (ce site remonte à quelque 11 000 ans) des blocs de 100 tonnes sont tenus par des colliers de serrage en métal.





Les ruines de l’ensemble de Pumapunku, on y retrouve des pierres qui furent découpées perpendiculairement aux lignes de clivage, ce qui représente une difficulté considérable du point de vue technologique.







Dans la Pampa de Nazca au Pérou se trouve un réseau de lignes creusées dans le sol qui représentent des oiseaux, des insectes et des animaux.



Ces dessins ont été exécutés d'un trait continu et quelques-uns n'ont été vus dans leur entièreté qu'après 1939, lorsqu'on a commencé à survoler la région en avion, car on doit s'élever à une altitude de 1 000 à 2 000 pieds dans les airs pour les apercevoir !

On a également trouvé des motifs creusés dans le roc sur le plateau de Marca Huasi au nord-est de Lima, la capitale péruvienne, dont certaines sculptures représentent des humains et des animaux qui ne sont pas originaires de cet endroit, notamment un ours polaire, un morse, un lion d'Afrique, un pingouin et un stégosaure.



Un visage inca géant, comparable a celui de Mars par son aspect. D'autres sculptures rappel le visage de Cydonia (Mars).


Précisons que les sauriens sont apparus à la connaissance des scientifiques dans les années 1880 et que le stégosaure fut identifié en 1901. Que quelqu'un veuille bien m'expliquer !

Ces fabuleuses structures, ces temples, ces cromlechs, ces menhirs sont alignés, nous le savons à présent, sur certaines constellations comme ils sont disposés tout aussi précisément les uns en fonction des autres à l'échelle de la Terre.

Leurs conceptions et les techniques qui ont servi à leur érection sont souvent les mêmes en différentes régions du monde.



Le Temple d'Hathor à Denderah


Pourquoi ? Parce que l'histoire officielle n'est que foutaise !

Les différentes civilisations dont il nous reste des vestiges n'étaient pas isolées mais formaient une société globale dirigée par les dieux et leurs représentants, des êtres appartenant à une civilisation très évoluée sur le plan technologique comparativement aux populations humaines d'alors, voire d'aujourd'hui.

À tout le moins, en comparaison des réussites technologiques dont nous avons
connaissance. En Autriche en 1885, on a découvert au coeur d'un bloc de charbon un cube de métal fabriqué avec précision que la datation fait remonter à 300 000 ans !

De même, on a découvert à Rutherford Mills (en Angleterre) en 1844 un segment
d'une torsade d'or encastré sous huit pieds de pierre, à l'intérieur d'un rocher vieux de 60 millions d'années.





On a retrouvé des piles électriques à l'intérieur de tombeaux égyptiens, comme on
a découvert en Israël une plaque massive de verre couleur émeraude lourde de plusieurs tonnes.





On a mis à jour des ossements d'animaux préhistoriques fracturés par des munitions.

Selon les mots du colonel James Churchward, un brillant chercheur qui s'intéresse à l'histoire très ancienne :

« Des civilisations ont vu le jour, ont brillé et ont sombré dans l'oubli à maintes reprises. Rien n'est nouveau sous le soleil. Ce qui est a été. Tout ce que nous
savons et découvrons a existé avant nous; nos découvertes et nos inventions sont des redécouvertes et des réinventions. »

Les peuples du monde entier parlent d'une société techniquement avancée qu'ils décrivent comme l'Age d'or de l'humanité.

Selon d'anciens récits, une guerre livrée avec des armes sophistiquées et une série de catastrophes géologiques auraient mis fin à cet âge d'or.

Voir article : L’ARSENAL des DIEUX


Des tremblements de terre, des éruptions volcaniques, le déplacement des pôles magnétiques et des tsunamis aux proportions gigantesques auraient transformé la
surface terrestre.

Le récit biblique du Déluge illustre ce genre d'événements qui auraient perturbé notre planète, si on se fie aux preuves géologiques et biologiques amassées, entre le douzième et le cinquième millénaires avant notre ère.



Les preuves géologiques et biologiques sont soutenues par d'anciens comptes rendus avec une synchronicité invraisemblable.

Partout sur Terre, les Anciens racontèrent ces événements. Le professeur James DeMeo écrit dans son ouvrage intitulé: Saharasia (Hidden Mysteries, Texas, 2000) que d'imposants changements ont transformé le Moyen-Orient au cours de la même zone temporelle :

« Un changement climatique colossal a ébranlé l'ancien monde il y a environ 6 000 ans, alors que de vastes régions verdoyantes commencèrent à vite se dessécher et à se désertifier. L'immense désert du Sahara, le désert d'Arabie, les plaines désertiques du Moyen-Orient et de l'Asie centrale n'existaient pas avant quelque 4000 ans avant notre ère. »

Les perturbations qui frappèrent l'ancien monde anéantirent la société techniquement avancée qui existait alors, ainsi qu'en font foi les chroniques de la destruction de l'Atlantide et de la Lémurie.

L'humanité dut repartir de zéro. Si vous êtes d'avis que cette histoire est ridicule, songez à la société actuelle.



Nous connaissons le progrès technologique grâce auquel nous accomplissons ce qui semble être des miracles, par exemple taper une lettre sur un clavier d'ordinateur qui sera lue quelques secondes après par quelqu'un de l'autre côté du globe.

Mais qu'adviendra t-il de cette technologie si une catastrophe généralisée perturbait
la surface de la planète ?



En l'espace de quelques secondes, nous nous retrouverions à l'âge de pierre. Chacun serait laissé à soi-même et devrait combattre pour trouver un gîte et sa pitance.

Au fil du temps, le souvenir de ce qu'était notre société s'estomperait et serait entretenu grâce à des mythes et des contes qui paraîtraient saugrenus ou, à tout le moins, très imaginatifs.

La plupart des gens ne croiraient pas qu'une telle société ait jamais pu exister, serait-ce parce qu'elle détonnerait trop par rapport à leur quotidien.

Les individus seraient enclins à la moquerie qui a caractérisé tous celles et ceux qui croyaient que nous ne poserions jamais le pied sur la lune.

Par suite d'un pareil cataclysme, l'histoire ne pourrait s'échafauder sur les vestiges de l'ancienne civilisation qu'après que l'humanité aurait de nouveau progressé sur le plan technologique.

Seulement alors serait-elle en mesure de symboliser les comptes rendus de son histoire et encore à partir d'anecdotes transmises oralement d'une génération à l'autre.

Ce moment de l'histoire surviendrait des siècles voire des millénaires, après le cataclysme. Il en fut ainsi des anciennes civilisations.

La version officielle de l'Histoire présente Sumer comme le berceau de la civilisation, entre les rives du Tigre et de l'Euphrate, dans un pays qui s'est appelé la Mésopotamie et qui s'appelle aujourd'hui l'Irak.



On s'entend pour affirmer que la période sumérienne s'est échelonnée entre le quatrième et le deuxième millénaires avant notre ère.

Les historiens font état de l'apparition d'autres civilisations techniquement avancées à la même période en Égypte et dans la vallée de l'Indus (le sous continent indien d'aujourd'hui).

Mais je crois qu'ils se trompent. Sumer ne marqua pas le début de la civilisation sur cette planète.

Elle fut la plus importante société à émerger après le cataclysme qui réduisit à néant la civilisation de l'Âge d'or telle qu'on la trouvait en Atlantide et en Lémurie.

Sumer ne marque donc pas le commencement mais le recommencement de ce qui
deviendrait le centre d'un nouvel empire mondial.



Assurément, l'histoire des civilisations sumérienne, babylonienne, égyptienne, indienne a débuté des dizaines de milliers d'années avant que des scribes n'en fassent état.

Après les cataclysmes, les civilisations égyptienne et indienne, qui avaient soudain manifesté un savoir faire technologique très poussé, n'étaient pas indépendantes de Sumer contrairement à ce que prétendent les historiens.

Elles appartenaient à l'Empire sumérien et étaient gouvernées par un même chef.

Les structures administratives, les fondements de la loi, les techniques de bâtiment et maintes autres caractéristiques de ce que nous appelons la société moderne trouvent leurs origines chez les représentants de cette race ancienne qui dirigeait Sumer ou, plus précisément, chez les demi-dieux qui détenaient la connaissance qui remontait à la préhistoire.



Après le déluge, ces civilisations à la fois anciennes et techniquement avancées firent leur apparition à une vitesse remarquable.

Voyons ce qu'écrit le professeur W.B. Emery dans son ouvrage Archaic Egypt (Penguins Hooks, Angleterre, 1961):

« Un important changement survint en Égypte autour de l'an 3400 avant notre ère, alors que le pays passa rapidement d'une société néolithique avancée, fondée sur une organisation tribale complexe, à deux régimes monarchiques bien définis, le premier assujettissant la zone du Delta, le second la vallée du Nil.

L'écriture apparut au même moment. Une architecture monumentale modifia le paysage, les arts et l'artisanat se développèrent et tous les indices révèlent l'existence d'une civilisation bien organisée, voire appréciant le luxe. »

Une question demeure sans réponse, à savoir si les imposants monuments tels que les pyramides existaient avant les cataclysmes qui mirent fin au légendaire Âge d'or (autrement dit, il y a quelque 10 000 ans ou plus) ou s'ils sont issus de l'Empire sumérien qui fit le jour par suite des perturbations.



Je pense que la réponse tient un peu des deux. A la lumière de preuves de plus en plus nombreuses et, dans la foulée de ces nouvelles preuves, par suite de la réévaluation de l'échelle de temps, on peut affirmer que quelques-unes des grandes merveilles du monde ancien remontent à la civilisation qui existait avant les grands cataclysmes et qu'elles sont beaucoup plus anciennes qu'on ne l'a déjà cru.

Les comptes rendus incas, tels que préparés par Fernando Montesinos, l'un
des premiers chroniqueurs espagnols de l'Amérique du Sud, font état de deux empires incas.

Le premier aurait été fondé à Cuzco dans les Andes; des bouleversements géologiques auraient obligé les Incas à fuir vers un sanctuaire niché à la cime des montagnes (Machu Picchu ?) jusqu'à ce qu'ils pussent retourner à Cuzco fonder un second empire.

Ainsi, le premier empire inca remonterait à l'époque des cataclysmes qui secouèrent la Lémurie et l'Atlantide, voire auparavant, et nous conduirait aux véritables bâtisseurs des structures fantastiques que l'histoire conventionnelle ne peut expliquer.

Toutes les traditions autochtones du monde entier parlent d'un grand déluge et de bouleversements géologiques aux proportions titanesques.

Il ne fait aucun doute qu'une ou plusieurs catastrophes inconcevables aient frappé la Terre entre le onzième et le cinquième millénaires avant notre ère.



Des preuves biologiques et géologiques étayent les innombrables fables et récits
qui racontent ces événements.

On en trouve en Europe, en Scandinavie, en Russie, en Afrique, partout en Amériques, en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Asie, en Chine, au Japon et au Moyen-Orient.

Partout. Quelques-uns parlent d'une grande vague de chaleur qui fit bouillir l'eau des mers; de montagnes qui crachaient le feu, de pluies de sang, de glace et de roches; de la !erre qui tourna sur elle-même; du ciel qui tomba, de continents immergés et d'autres soulevés du fond de la terre, de l'avènement de la glaciation et presque tous ces récits parlent d'un déluge qui inonda toute la surface de la planète.

D'anciens manuscrits chinois décrivent comment se sont écroulées les colonnes qui soutenaient la voûte céleste; comment le Soleil, la Lune et les étoiles chutèrent sur le sud-ouest, où le ciel s'était effondré; comment les rivières, les fleuves et les océans se déversèrent au sud-est où la Terre s'était affaissée; comment un incendie de grande envergure fut éteint par le déluge.

Dans les Amériques, les Amérindiens de la tribu Pawnee racontent comment les étoiles polaires des hémisphères Nord et Sud changèrent de position et se rendirent visite.

La tradition nord-américaine parle de nuages immenses qui apparurent à l'horizon et d'une vague de chaleur telle que l'eau des mers se mit à bouillir.

Les Autochtones du Groenland racontèrent aux premiers missionnaires européens que la Terre avait fait un tonneau.

Des légendes péruviennes affirment que les Andes furent déchirées lors du combat entre la Terre et le ciel.

Un mythe brésilien fait état d'un éclatement des cieux, de débris qui tombèrent du ciel et anéantirent tout un chacun au moment où la Terre et le ciel changèrent de place.

Les Amérindiens de la tribu des Hopis affirment pour leur part que des abîmes se
creusèrent sur la Terre et que l'eau recouvra tout, à l'exception d'une étroite bande de boue.


L'Atlantide et la Lémurie



Toutes ces légendes concordent avec celles de l'Atlantide et de la Lémurie, ces vastes continents dont l'un occupait l'océan Atlantique et l'autre le Pacifique.



Plusieurs sont d'avis que ces terres étaient dirigées par des civilisations techniquement avancées issues d'autres planètes.

Ces continents sont censés avoir disparu sous la mer en des circonstances semblables à celles dont parlent les légendes précédentes, dont ne dépasseraient que les cimes de leurs plus hautes montagnes qui formeraient aujourd'hui des chapelets d'îles telles que les Açores et la Polynésie.

Certains prétendent que l'Atlantide aurait émergé après l'enfoncement de la Lémurie; d'autres disent que les deux continents ont existé en même temps et c'est mon idée.

Le colonel James Churchward s'est penché sur ce dossier à propos duquel il a rédigé une série d'ouvrages remarquables au cours de la première moitié du XXe siècle.

Il visita des monastères isolés au fond de l'Asie où il consulta les archives de la mère patrie lémurienne qui remontent entre 12 000 et 70 000 années.

Il vit qu'il s'agissait du centre d'un empire colossal qui comptait l'Atlantide. 

Dans son ouvrage intitulé : The Children Of Mu (BE Books, Albuquerque, Nouveau-Mexique) qui a paru en 1931 il démontre comment les représentants des diverses races qui habitaient la Lémurie, dont les grands blonds aux yeux bleus, en vinrent à peupler la Terre.

Les races lémuriennes migrèrent à l'est pour devenir les Mayas de l'Amérique centrale et les autres peuples qui érigèrent les fantastiques structures que l'on trouve sur le continent américain.

Ils migrèrent également à l'ouest afin de peupler l'Asie, la Chine, l'Inde et formèrent des colonies là où nous connaissons l'Égypte et Sumer.

Selon Churchward, toutes les routes génétiques et culturelles mènent à la Lémurie, la mère patrie de toutes les races, et à la civilisation très évoluée qui s'y trouvait il y a des dizaines, voire des centaines, de millénaires.

Selon Churchward, la Lémurie fut détruite il y a environ 12 000 ans.

De son côté, dans son étude intitulée: The Atlantis Connection (Starfire Publishing, Seona, Arizona, 1998) W.T. Samsel devance la fin de la Lémurie mais leurs principales idées sont similaires.

Le livre de Samsel part de renseignements obtenus par un médium en transe. La création consiste en un nombre infini d'ondes ou fréquences et le monde que nous percevons par nos sens ne constitue qu'une fraction des fréquences existantes.

Au même titre que nous ne voyons pas les fréquences radio ou télé qui partagent l'espace avec nous, nos sens physiques limités ne nous permettent pas de voir les autres fréquences qui occupent notre espace.

J'expliquerai ce phénomène plus avant car il est essentiel si on veut comprendre comment nous sommes contrôlés et comment nous pouvons nous libérer.

L'esprit d'un médium sert à synthoniser ces autres fréquences et à accéder à la connaissance et à l'information qui s'y trouve.

Samsel prétend communiquer avec une entité qui aurait vécu en Atlantide et qui s'adresse à lui par le truchement de 1 une de ces fréquences.



A mon humble avis, la plupart des renseignements obtenus par voie médiumnique
sont de la foutaise ou leur acuité est très limitée, mais plusieurs des thèmes que développe Sarnsel sont étayés par des preuves géologiques et biologiques.

Il croit que les premières formes de vie humaine sont apparues sur Terre il y a environ 100 000 ans sur l'île de Lémurie qui se trouvait dans l'océan Pacifique.

Ils étaient censés être des «véhicules parfaits», selon ses mots.

À mesure qu'ils entreprirent d'explorer la planète, ils semèrent la terre désormais connue sous le nom d'Atlantide, dont on dit qu'elle se trouvait dans l'océan Atlantique, sur la dorsale médio-atlantique instable s'il en est.

Samsel raconte que les premiers Atlantéens avaient la peau foncée, un peu comme les Amérindiens.

Il croit que ces derniers sont les descendants des lémuriens et des Atlantéens qui s'établirent dans les Amériques avant le premier grand cataclysme voilà quelque 48 000 ans. 

Les légendes amérindiennes confirment ses dires.



Selon lui, les premiers habitants de la Lémurie et de l'Atlantide vivaient sous la loi de l'unicité, selon laquelle toutes les formes de vie sont l'expression d'une même énergie exprimée différemment.

Selon la loi de l'unicité, toute chose est liée au grand tout et tout ce qui existe est l'expression d'une même énergie qui forme l'ensemble.

Les scientifiques parlent de théorie de champ unitaire. Il s'agit d'un thème récurrent des mythes et légendes atlantéens, dont la civilisation s'érigea d'abord en harmonie avec les lois naturelles pour être détournée par des forces de l'ombre.

Samsel énonce la théorie que les guerres que se sont livrées les dieux mythiques
étaient en réalité un conflit entre différentes engeances extraterrestres par rapport à leur intervention dans les affaires humaines.



Il affirme qu'aux premiers temps de l'ère atlantéenne, les extraterrestres à l'apparence humaine («des êtres très grands, blonds, à la peau blanchâtre, on aurait dit des albinos») établirent des contacts avec les habitants de l'Atlantide.

Ils commencèrent à manipuler la société et à s'unir aux humains afin de modifier leur ADN pour créer des lignées hybrides qui devinrent les familles royales que nous connaissons.

Pour ma part, je pense qu'un même phénomène s'est produit en Lémurie. Leur apparence physique et la technologie dont disposaient ces extraterrestres firent d'eux des dieux aux yeux des Atlantes et des Lémuriens.

De nombreux Atlantes cherchèrent à s'unir à ces êtres à la peau pâle pour que leurs rejetons soient «beaux comme des dieux », écrit Samsel, et les enfants nés de telles unions formèrent bientôt la force dominante.

Ils prirent les rênes du gouvernement, de l'économie, de l'éducation, de la religion et des communications.

Cela vous rappelle-t-il quelque chose ? Samsel affirme que les rois issus de la lignée blanche gouvernèrent l'Atlantide, alors que les Fils de Bélial dirigeaient le temple du Soleil, leur hiérarchie religieuse.

De nos jours, le temple du Soleil regroupe les Illuminati.



Pendant cette, période, de nombreux Atlantéens à la peau rouge migrèrent à l'ouest en Amériques, dont la configuration géographique n'etait pas celle que nous connaissons.

Samsel poursuit ainsi:

« L'ère de l'Empire atlantéen s'est avérée une foire pour tous les Ftls de Bélial et les fidèles du temple du Soleil. La tribu blanche en vint à dominer toutes les sphères de la société atlantéenne.

Ils firent fi de la loi de l'unicité, se tournèrent avec dévotion vers la technologie et furent animés par la cupidité et l'attrait du pouvoir.

Les armes que détenait l'Empire atlantéen proliférèrent presque partout dans le monde, au fil de son expansion dans les Amériques et en Afrique, en Europe, au Moyen-Orient, en Inde et au Tibet.

Le temple de l'unicité fut divisé et tomba en désuétude alors que le temple du Soleil gagna des adeptes et que les Fils de Béhal prospérèrent.

Pendant ce temps, les prêtres défenseurs de l'unicité dirigèrent des migrations de la race rouge à destination des Amériques et de l'Afrique.

Ils cherchèrent à préserver la loi de l'unicité en instaurant de nouveaux cercles d'initiés dans les contrées éloignées. »

Samsel affirme que le deuxième grand cataclysme sonna la fin de l'Atlantide. Il croit que les Atlantéens employèrent leur armement ultra-perfectionné contre le territoire où se trouve actuellement la Chine et qu'ils tentèrent d'utiliser la Terre comme un conducteur du courant qu'ils voulaient canaliser vers leurs ennemis par le biais d'un vaste cristal; sauf que la Terre leur renvoya leur propre décharge et ce fut le déclencheur du cataclysme final.



Samsel prétend que la race blanche agit dans l'ombre pour orchestrer la mondialisation du contrôle:

« Au fil de l'histoire de la Terre et de l'humanité, la tribu des Blancs a sans cesse manifesté les caractéristiques de leurs ancêtres. Les Blancs sont ceux qui affichent ouvertement plusieurs caractéristiques des extraterrestres.

Ils ont préféré la technologie à la spiritualité, et ont manipulé cette dernière pour parvenir à leurs fins.

Ils ont toujours manifesté un certain mépris à l'égard de la Terre, de la nature et des autres créatures vivantes. Ils ont cherché depuis toujours à étendre leur domination sur autrui et sur la Terre même.

Ils ont été programmés afin d'être sélectifs, agressifs et dominateurs. Pour l'heure, ils dirigent l'humanité vers un nouvel ordre mondial lequel s'inscrit dans le projet des llluminati et, par conséquent, des manipulateurs extraterrestres. »



Les thèmes de la recherche de Samsel concordent avec les miens, exception faite de quelques détails.

À mon avis, ceux qu'il appelle les Fils de Bélial sont les descendants de la lignée
reptilienne qui se sont unis aux êtres du type nordique.

À la fin, nos vues sont sensiblement les mêmes quand vient le temps de comprendre le monde où nous évoluons.

Le combat entre les défenseurs de la loi de l'unicité et leurs opposants du temple du Soleil revêt une grande importance.

Les Illuminati appartiennent au temple du Soleil depuis l'Atlantide et la Lémurie jusqu'à aujourd'hui.



En fait, la société actuelle est la nouvelle Atlantide, reflet de l'obsession envers la technologie toute-puissante qui conduisit à la destruction de la première Atlantide.

En résumé, la loi de l'unicité stipule que toute chose est contenue dans tout,
que tout procède d'une même essence, alors que le temple du Soleil défend l'idée de la division entre les choses.

La première cherche à unir, le second à diviser afin de régner.

Les Illuminati ont cherché à fonder une nouvelle Atlantide depuis les cataclysmes qui ont entraîné la disparition de la version originale.

Le philosophe grec Platon (427 à 347 av. notre ère) a décrit l'Atlantide. Il faut dire qu'il était l'un des initiés d'une société occulte appelée l'École des mystères.




Aujourd'hui encore, les sociétés occultes transmettent à leurs adhérents des renseignements qui sont cachés à la population.



La version officielle de l'histoire nie l'existence de l'Atlantide mais on en trouve des
preuves géologiques.

Les Açores, dont certains croient qu'elles sont les cimes des montagnes du continent englouti, se trouvent sur la dorsale médio-atlantique, une fracture de l'écorce terrestre qui encercle la planète sur une distance de 40 000 miles.

La ride médio-atlantique est le siège de nombreux tremblements de terre et éruptions volcaniques.

Elle marque l'endroit où se rejoignent quatre immenses plaques tectoniques – l'eurasienne, l'africaine, la nord-américaine et la caraïbe qui s'entrechoquent et contribuent à l'instabilité de la région.

Les archipels des Açores et des Canaries étaient le théâtre d'intenses activités volcaniques à l'époque où Platon situe la fin de l'Atlantide.

Il faut 15 000 années à la lave de tachylite pour se désintégrer dans l'eau de
mer, pourtant on en trouve encore dans le fond marin entourant les Açores, ce qui confirme des bouleversements géologiques récents.

D'autres preuves, notamment du sable fin trouvé à des profondeurs oscillant entre 10 500 et 18 440 pieds, permettent de croire que le fond marin de cette région se trouvait il y a peu de temps au-dessus du niveau de la mer.

L'océanographe Maurice Ewing écrivit dans le magazine National Geographie :

« Soit la terre s'est engouffrée sous les eaux à une profondeur de deux ou trois miles, soit le niveau de la mer se trouvait alors à deux ou trois miles en dessous de ce qu'il est à présent. L'une ou l'autre de ces conclusions est stupéfiante. »

Lorsque les premiers explorateurs européens posèrent le pied dans les Îles Canaries, les Autochtones leur avouèrent descendre des Atlantéens et s'étonnèrent de ce que d'autres peuples aient survécu au cataclysme qui avait détruit leur mère patrie.



Les preuves géologiques et biologiques laissent croire que l'activité volcanique qui a provoqué l'engloutissement de la terre dans la région des Açores est survenue en même temps que la fracture et l'engloutissement de la plaque des Appalaches qui reliait alors l'Europe, l'Amérique du Nord, l'Islande et le Groenland.

Même leur rapport de submersion semble le même.

Le soi-disant Triangle des Bermudes qui relie les Bermudes, le sud de la Floride et un point à proximité des Antilles, a longtemps été associé à l'Atlantide.

Sa réputation tient aux légendes entourant la disparition de bateaux et d'avions. On a décelé à l'intérieur du Triangle, non loin de Bimini, des immeubles, des routes formant intersections, des cromlechs, peut-être même des pyramides, submergés sous les eaux des Bahamas.



Précisons ici que l'Himalaya, les Alpes, les Andes et presque toutes les chaînes
de montagnes ont été formées ou ont atteint leur altitude actuelle il y a environ 12 000 ans.

Le lac Titicaca à la frontière du Pérou et de la Bolivie est actuellement le plus élevé à une altitude de près de 12 5 00 pieds. Il y a 11 000 ans, une bonne partie de cette région se trouvait au niveau de la mer.

Pourquoi trouve-t-on tant de fossiles de poissons et de créatures marines sur les crêtes de montagnes si élevées ? Parce que ces rochers ont déjà été submergés.

Platon affirme que le cataclysme qui a fait sombrer l'Atlantide remonte au neuvième millénaire avant notre ère, ainsi que Allan et Delair dans leur ouvrage When The Earth Nearly Died qui situent le cataclysme à 9 500 ans avant l'ère chrétienne.



Le chercheur étasunien Charles Hapgood affirme que la surface terrestre s'est déplacée de quelque 3 000 miles vers le dixième millénaire avant notre ère. Des rochers contenant du fer servent de compas.

À mesure que la roche fondue refroidit, les molécules s'alignent sur le pôle Nord et les rochers maintiennent cet alignement même si on déplace les rochers.

Hapgood a ainsi pu établir que, avant 10 000 ans avant notre ère, le pôle Nord se
trouvait dans la région qu'occupe à présent la baie d'Hudson au Canada.

Mais un événement se produisit qui fit se déplacer la surface terrestre sur une distance de 3 000 miles plus au sud et l'est ainsi que le pôle Nord s'est retrouvé dans la baie d'Hudson actuelle.

La chose n'est pas aussi surréaliste qu'elle le semble.

L'écorce terrestre ne compte que 40 miles d'épaisseur. On la présente comme une pelure posée sur une mer de lave mouvante.

Si un météore ou un objet d'importance entrait en collision avec la Terre, son écorce pourrait se fracturer et provoquer des glissements de terrain.

Selon le chercheur Colin Wilson, des preuves géologiques nous apprennent que la chose s'est produite à trois reprises au cours des 100 000 dernières années.

En mesurant le champ magnétique de la Terre, on s'est rendu compte que les pôles magnétiques nord et sud se sont déplacés à au moins 171 reprises au cours des 76 millions d'années qui nous ont précédés.



Imaginez seulement les changements climatiques que peut apporter le déplacement d'un pôle magnétique !

L' écrivain canadien Rand Flem-Ath, qui a consacré 20 ans à la recherche autour de cette question, est convaincu qu'une bonne part du continent antarctique a appartenu à l'Atlantide en raison de ce glissement de l'écorce terrestre vers le sud.

Hapgood, suivant en cela les traces du capitaine Arlington H. Mallery, étudia des centaines de cartes conservées à la librairie du Congrès des Etats-Unis à Washington, lesquelles prouvent que la Terre fut cartographiée avec une grande précision voilà plusieurs millénaires.

L'une d'elles, dessinée en 1521 par Oronteus Finnaeus, montre l'Antarctique et ses rivières aux eaux grouillantes et ses montagnes aux cimes sans neige.

Une autre carte, cette fois de la main d'un marin turc nommé Piri Reis et datée de 1513 retrouvée dans le palais du sultan de Constantinople en 1929, illustre avec précision la côte sud-américaine et une partie de la côte antarctique avant qu'elle ne fût couverte de glace il y a quelque 7 000 années.

Pourtant, l'Antarctique fut découverte officiellement par le capitaine Cook en 1773 et ne fut pas explorée de fond en comble avant les années 1950.

Quelques-unes des chaînes de montagnes que l'on trouve sur la carte de Piri Reis
ne furent pas découvertes avant 1952.



Piri Reis aurait tracé sa carte en 1513. Dessinée sur une peau de gazelle, elle détaille les côtes occidentales de l'Afrique et les côtes orientales de l'Amérique du Sud.


Reis avoua avoir tracé sa carte à partir d'une vingtaine de mappemondes anciennes.

FlemAth a également découvert des preuves qui soutiennent l'existence d'une civilisation très évoluée il y a plusieurs millénaires.

Il a découvert qu'en traçant une ligne de longitude à travers la grande pyramide de Giseh elle parcourt plus de surface qu'en n'importe quel autre endroit du globe.

Cette découverte appuie une vieille croyance égyptienne selon laquelle la grande pyramide marquait le centre de la Terre.

Flem-Ath s'aperçut ensuite que, si la grande pyramide marquait le centre du méridien zéro, les emplacements des longitudes et latitudes des anciens sites sacrés formaient des figures géométriques précises.

En fait, elles dessinent un système du damier, à la manière dont sont définis les
quadrilatères des villes étasuniennes.

Il se mit à prédire l'emplacement d'éventuels lieux sacrés à partir de ce système.

Une telle perfection géométrique n'existe plus si l'on considère le méridien de Greenwich comme point de départ.

L'observatoire de Greenwich fut choisi pour marquer le méridien zéro en 1884
malgré les protestations de l'astronome royal d'Écosse, Charles Piazzi Smyth, qui soutint alors que le méridien zéro devait concorder avec l'emplacement de la grande pyramide de Gizeh.

Flem-Ath a de plus établi qu'environ 50 lieux sacrés du Mexique étaient alignés en direction d'un pôle Nord situé dans l'actuelle baie d'Hudson, comme avant le cataclysme.



Même ceux qui furent érigés depuis l'ont été sur des sites anciens, eux-mêmes
alignés vers l'ancien pôle Nord. Il en est de même de la chapelledes Roslyn à proximité de Édimbourg en Écosse.

Il s'agit d'un lieu sacré pour les Illuminati, empreint de symbolisme, construit par la famille St-Clair ou Sinclair, de l'une des plus illustres lignées hybrides et l'une des forces ayant oeuvré à la création de l'ordre des Templiers.

Par ailleurs, Charles Hapgood était censé rencontrer le président Kennedy afin de discuter du projet de recherche de l'Atlantide mais Kennedy mourut à Dallas quelques jours avant la rencontre.

Hapgood confia à Rand Flem-Ath qu'il révélerait dans son prochain ouvrage les preuves attestant de l'existence d'une civilisation évoluée sur Terre il y a 100 000 ans.

Hagwood mourut peu après et son livre ne fut jamais écrit. Toutefois, James Churchward révéla ces preuves dans ses livres où il raconte avoir vu dans des monastères de l'Asie des cartes de l'Amérique du Sud qui remontent à des dizaines de milliers d'années.

Cette preuve étaye l'idée que le continent de Mû ou la Lémurie repose désormais dans les bas fonds du Pacifique.

Les tribus polynésiennes entretiennent des légendes rappelant l'engloutissement
de leur terre ancestrale comme les habitants de l'Île de Pâques dans le Pacifique affirment que leur île a déjà été rattachée à un continent détruit par un cataclysme.






Un manuscrit trouvé en 1900 dans une caverne à Dunhuang dans l'ouest de la Chine présentait des fragments d'une carte où apparaissait un continent insulaire au milieu du Pacifique.

Une légende sud-américaine raconte une histoire semblable qui parle d'ancêtres venus d'un continent englouti et notamment d'un type qui s'appelait Aramu Muru et qui emporta avec lui la connaissance d'une école des mystères appelée la Fraternité lémurienne.

La tribu des Hopis en Arizona se souvient de la Lémurie comme d'un chapelet d'îles par lesquelles ils ont gagné le continent américain.

Pourquoi l'existence de l'Atlantide et de Mû est-elle évacuée de l'Histoire officielle ? Parce que cette connaissance a fait l'objet d'une suppression systématique.



L'astronome Carl Sagan affirme qu'un manuscrit qui traitait en détail de l'Atlantide intitulé : La Véritable Histoire de l'humanité au cours des 100 000 dernières années fut détruit avec des milliers d'autres lors de l'incendie qui ravagea la grande bibliothèque d'Alexandrie en 391 avant notre ère.




Dès lors que l'on sait que pareilles civilisations ont fleuri pendant des centaines de millénaires et que des extraterrestres ont participé à leur avènement et à leur disparition, notre vision du monde et de nous-mêmes s'en trouve transformée, de même que notre compréhension de la situation actuelle.

L'éradication partout au monde de la connaissance ancienne au nom du christianisme fut l'oeuvre du temple du Soleil (ou des Illuminati) qui détruisit les témoignages, non seulement des événements historiques, mais aussi de la loi de l'unicité.




Qu'est-il survenu sur la planète Mars ?



On s'entend généralement pour dire que la Terre a connu des bouleversements géologiques d'envergure colossale.

Le débat naît plutôt du moment où ces événements seraient survenus. Les cataclysmes qui ont secoué la Terre ont également perturbé l'ensemble de notre système solaire car les autres planètes en portent des traces visibles à leurs surfaces, dans leurs atmosphères, dans l'angle de leur rotation ou la vitesse de leurs orbites.

De nombreux chercheurs s'intéressent à la destruction à la surface de la planète Mars et à sa corrélation avec la dévastation survenue sur Terre.

Les têtes se sont tournées vers Mars en raison des nombreuses sondes que l'on y a envoyées et des prétendues difficultés techniques qui ont empêché la transmission d'images à notre intention.



Je reste songeur. .. Car ces défaillances sont l'oeuvre de la NASA qui fut fondée par les Illuminati et qui reste sous leur contrôle. 

Les défaillances faisaient suite à la diffusion de photos prises dans une région que l'on appelle Khanüi qui semble façonnée par des formations rocheuses artificielles où l'on trouve le fameux visage à la surface de Mars et plusieurs pyramides.





Le chercheur le plus érudit sur le sujet est le journaliste scientifique Richard Hoagland qui a déjà agi comme conseiller auprès du centre aérospatial Goddard de la NASN7.

L'une de ses équipes a établi une comparaison entre les phénomènes apparemment artificiels observés à la surface de Mars, entre autres le visage et les pyramides, et la disposition des cromlechs à Avebury dans le Wiltshire en Angleterre, à Silbury Hill (le monticule artificiel le plus élevé en Europe) et ailleurs. Il affirme qu'ils sont pratiquement des copies conformes.



Le plateau de Gizeh en Égypte s'appelait autrefois El-Kahira, dérivé de l'arabe El-Kahir qui signifie Mars.

Des manuscrits anciens révèlent que l'on mesurait le temps en fonction de Mars, que les ides de mars (le 15) étaient une date importante du calendrier martien, ainsi que l'était le 26 octobre.

Le 15 mars marquait le début du printemps et le 26 octobre la fin de l'année dans le calendrier celtique. Il semble que le nom Camelot, tiré des légendes arthuriennes, signifie ville martienne ou ville de Mars.

Il est entendu qu'aucun lien ne peut exister entre Mars et la société humaine car la planète rouge fut détruite voilà des millions d'années.

Est-ce bien vrai ? Nous le croyons car nous nous fondons sur la version officielle telle qu'on la répète depuis toujours mais, si on s'intéresse de près aux fondements scientifiques de cette assertion, on se rend compte qu'il s'agit davantage d'une opinion et non d'un fait prouvé.

Le Dr Frank Drake nous confirme la chose, qui occupa la présidence du département d'astronomie de l'université Cornell:

« Nous avons longtemps cru que l'univers recelait une abondance d'étoiles regroupées en galaxies mais nous avions sous-estimé la variété et la quantité de
matières présentes dans l'espace d'environ un billion. Autrement dit nous nous sommes royalement fourvoyés ! »

Sauf qu'on a longtemps considéré une erreur monumentale comme la vérité et la chose se reproduit de nos jours, car les médias sont d'avis qu'un scientifique qui prend la parole dit incontestablement la vérité.

Une autre théorie fait son apparition, qui concorde assez avec la version officielle, à l'exception d'une chose importante sur laquelle elle diverge.

Selon les deux versions, il y aurait déjà eu sur Mars de l'eau, de la végétation et une atmosphère qui auraient favorisé la vie telle que nous la connaissons.

Les deux versions s'accordent en affirmant que des événements géologiques détruisirent un environnement favorable à la vie.

La seule divergence concerne le moment où le désastre serait survenu.

Était-ce il y a plusieurs millions d'années, ainsi que la science l'affirme officiellement, où était-ce il y a quelques millénaires à peine, ainsi que le soutiennent des chercheurs indépendants ?

La seconde proposition cadre à merveille avec l'anéantissement de l'Atlantide
et de la Lémurie.



De nouvelles preuves semblent indiquer que la planète Mars aurait été détruite par un cataclysme semblable à celui qui a mis abruptement fin à l'Âge d'or sur Terre.

Dans les années 1950, Immanuel Velikovsky, un chercheur d'origine russe, avança que la planète que nous nommons Vénus, alors semblable à une énorme comète, entra dans le système solaire en causant la destruction sur Mars et en provoquant d'imposants dégâts sur la Terre.

Velikovsky fut couvert de ridicule et attaqué par la communauté scientifique; aussi a-t-il dû énoncer une hypothèse valable. Toutefois, ses propos trouvent de plus en plus d'oreilles sympathiques.

Lorsque la sonde Mariner 9 prit des photos de Vénus, plusieurs des descriptions de Velikovsky se sont avérées justes, notamment ce qui semblait être la queue d'une comète.



Les photos que la sonde Mariner prit de Mars étayent quelques-unes de ses théories.

Il souligna que des peuples anciens décrivaient Vénus comme un objet très lumineux suivi d'une trace de fumée, dont l'orbite et la trajectoire étaient très différentes de ce qu'elles sont aujourd'hui.

Les Chinois, les Toltèques et les Mayas en ont témoigné. Les premiers écrits astrologiques des Sumériens ne font pas état de Vénus; par contre, ceux des Chaldéens qui peuplèrent plus tard la région en parlent.

On décrit Vénus comme « un flambeau lumineux dans le ciel » qui « éclairait comme le Soleil » et « emplissait les cieux ».



Les gens ont du mal à concevoir le passé de la Terre car l'idée qu'ils s'en font est fondée sur leur expérience présente qui ne constitue qu'une faible fraction de l'histoire de notre planète.

Selon les mots de Velikovsky:

« Les récits de catastrophes qui peuplent les légendes anciennes sont souvent discrédités en raison de la conviction à courte vue selon laquelle les forces qui auraient façonné le monde autrefois sont encore à l'oeuvre aujourd'hui. C'est sur cette conviction que repose la géologie moderne et la théorie de l'évolution. »

Mon ami californien Brian Desborough a connu une expérience qui accorde de la crédibilité à son opinion relative aux thèmes abordés dans ce livre.

Brian est un homme de science qui a inventé la technologie fondée sur l'énergie libre, laquelle pourrait transformer la vie sur Terre; il creuse le sujet des Illuminati depuis plus de 30 ans.

Son intérêt pour eux remonte au moment où il voulut prouver l'existence de Jésus pour bientôt se rendre compte qu'il ne le pouvait pas.

La duperie chrétienne le conduisit à une escroquerie de plus grande envergure, au même titre que ma première enquête sur la suppression de la connaissance spirituelle (et non religieuse).



Brian n'est pas un nouvel-âgiste illuminé assis sur un nuage. C'est un auteur et un chercheur pragmatique, à l'affût de preuves.

Dans les années 1960, il était à l'emploi de Boeing, le géant de l'aéronautique. Un groupe de physiciens qui travaillaient avec lui décidèrent d'étudier en privé les nombreuses anomalies rencontrées sur Terre et dans notre système solaire que la physique ne parvenait pas à expliquer.

Leurs conclusions abondèrent dans le même sens que les idées de Vehkovsky, sauf pour un écart de 3 000 ans à l'échelle du temps.

Selon eux, un immense corps céleste fit son entrée dans le système solaire vers
le cinquième millénaire avant notre ère, que nous appelons Jupiter.

Son arrivée sema la pagaille parmi les autres planètes, ce qui explique leurs anomalies par rapport à leur direction et à leur vitesse de rotation. Jupiter serait entré en collision avec une planète qui se trouvait alors entre les positions qu'occupent Mars et Jupiter aujourd'hui.

Les débris de cette planète forment aujourd'hui l'anneau des astéroïdes qui occupe l'espace entre Mars et Jupiter.

Des médiums m'ont livré d'intéressants renseignements concernant le lien entre la planète Mars et la fin de l'Atlantide.

On affirme que l'un des trois cataclysmes qui ont détruit le continent est survenu vers l'an 10500 avant notre ère et qu'il fut provoqué par le passage de Mars à proximité de la Terre, en raison du détournement de son orbite originale.



On retrouve cette même idée en différents endroits et la vérité nous attend quelque part. James Churchward expliqua les cataclysmes de façon plus rationnelle.

Il affirme que d'immenses anneaux gazeux se trouvent sous la Terre et que l'explosion de ces masses de gaz provoquent des fractures de la surface terrestre.

Selon lui, de semblables anneaux gazeux se trouvaient sous l'Atlantide et la
Lémurie.

Il reste à déterminer quels furent les déclencheurs des cataclysmes mais leur survenue ne laisse plus de doute.

Une idée semblable anime les milliers de tablettes d'argile retrouvées au XIXe siècle en Mésopotamie.



Elles racontent les mythes et légendes de la société sumérienne qui vit le jour après l'un des cataclysmes qui fit s'engloutir l'Atlantide.

Sumer remonte au quatrième millénaire avant notre ère mais des civilisations ont existé dans cette région des dizaines de milliers d'années avant cela, selon la documentation de James Churchward.

Au coeur des comptes rendus sumériens se trouvent les dieux que l'on appelait les Anunnas ou fils de An.

Par la suite, on les désignerait par leurs appellations sémitiques AN.UNNA.KI (ceux
qui vinrent sur Terre depuis le Ciel) et DIN.GIR (les vertueux de la fusée auréolée de flammes).

On les connaît mieux sous l'appellation de Anunnaki et c'est ainsi que je les désignerai.



Les Anunnaki appartenaient à une race reptilienne venue d'étoiles lointaines.

Selon Zechariah Sitchin, l'expert qui a traduit les tablettes sumériennes, ces dernières relatent une collision entre les lunes d'une planète appelée Nibiru et une autre dont l'orbite l'aurait conduite entre les positions qu'occupent à présent Mars et Jupiter.

Toujours selon la traduction des tablettes sumériennes de Sitchin, les débris de cette gigantesque collision auraient formé un anneau d'astéroïdes.

Les comptes rendus sumériens sont quelque peu différents quant aux détails mais sur le fond ils vont en ce sens.

Selon la version de l'événement telle que proposée par les physiciens à l'emploi de Boeing, un fragment de Jupiter vola en éclats après une collision avec une autre planète.

Ce corps céleste aurait été la Vénus actuelle. Elle fut alors projetée vers Mars où elle détruisit l'atmosphère et la vie sur cette planète (la mission Pathfinder a permis d'établir que les rochers à la surface de Mars ont plus de 10 000 ans).

Après avoir ravagé la planète Mars, la comète Vénus fut attirée par la force gravitationnelle de la Terre.

Elle accomplit plusieurs orbites autour de la Terre où elle causa les tsunamis qui provoquèrent la fin de l'Âge d'or et précipita de grandes quantités de glace ionisée vers les pôles, avant de prendre la position qui est celle de Vénus aujourd'hui.

Sur le plan chronologique, les plus anciens manuscrits mésopotamiens et sud-américains ne parlent pas de Vénus alors que d'autres plus récents y font référence, d'autant que des sacrifices humains présidaient au culte vénusien.



J'en parle en détail dans mon livre Le Plus Grand Secret et plusieurs mystères se trouvent du coup expliqués, notamment la congélation des grands mammouths en position debout qui furent surpris par le froid.




Les mythes et légendes anciens sur la fin de l'Âge d'or se trouvent confirmés dès lors que l'on accepte l'irruption de Vénus dans notre système solaire.

Ce qui importe davantage, c'est que les conclusions de Velikovsky, des physiciens de chez Boeing et d'un nombre croissant de chercheurs ramènent la fin de la vie sur Mars à la période qui marqua l'engloutissement de l'Atlantide et de Mû.

Brian Desborough propose que la fin de l'Âge d'or sur Terre fut la conséquence de la fréquentation entre les humains et de nombreuses espèces extraterrestres et
inter dimensionnelles au cours d'une période qui dura des centaines de millénaires.



Il estime, à l'instar de ses collègues de chez Boeing, que la Terre était beaucoup plus près du Soleil avant les cataclysmes et que l'orbite de Mars la conduisit là où se trouve la Terre à présent.

Deux scientifiques indépendants, le Dr C.J. Hyman et C. William Kinsman, énoncent l'hypothèse que la Terre a déjà suivi l'orbite actuelle de Vénus et que Mars se trouvait là où nous sommes en ce moment.

Selon d'anciennes légendes, les jours sur Terre ont déjà été plus courts qu'ils le sont aujourd'hui et les humains vivaient plus longtemps.

Si les profonds canyons à la surface de Mars ont été creusés par des torrents d'eau, il faut que l'atmosphère y ait été plus chaude car, de nos jours, il y fait si
froid que l'eau se transformerait sur-le-champ en glace et que le vide atmosphérique transformerait vite l'eau en vapeur.

Selon Desborough, en raison d'une orbite plus rapprochée du Soleil, les premiers habitants de la Terre auraient eu la peau noire afin de se protéger de la puissance de ses rayons.

Des squelettes trouvés non loin de Stonehenge et sur la côte occidentale de la France ont les caractéristiques nasales et dorsales de nombreuses femmes africaines.

Les artefacts, statuettes et représentations anciennes laissent croire qu'une race évoluée de type négroïde a existé sur Terre.



Les tablettes sumériennes racontent comment les Anunnaki ont quitté la planète pour échapper à la destruction et indiquent qu'ils ont pu la provoquer.

Les seuls survivants de la catastrophe furent les extraterrestres dotés de la technologie qui leur permit de fuir et les humains qui trouvèrent refuge dans les profondeurs souterraines ou sur les cimes rocheuses pour échapper à la crue des eaux, laquelle a atteint, selon l'étude des physiciens de chez Boeing, 10 000 pieds.

La Terre est creusée de tunnels et de cavernes naturels et artificiels dont les origines remontent à la nuit des temps.



Plusieurs villes souterraines ont été mises à jour, notamment dans les plateaux de Cappadoce (en Turquie) qui pouvaient abriter des milliers d'individus.

La région de Cappadoce était un centre important pour les Phéniciens et vit naître Georges de Cappadoce qui devint ultérieurement saint Georges d'Angleterre.

On a mis à jour 36 villes souterraines en Cappadoce jusqu'à présent et quelques-unes recèlent des édifices de huit étages.



Les systèmes d'aération y sont si efficaces que l'on trouve de l'air frais huit étages sous la terre.

On a également découvert 30 villes et complexes souterrains près de Derinkuyu, toujours en Turquie.

C'est la nécessité de survivre après le déluge qui poussa les humains à se lancer dans l'agriculture à une altitude de 10 000 pieds plutôt que dans les plaines fertiles.

Une étude menée par le botaniste Nikolai Ivanovitch Vavilov révèle que les 50000 espèces végétales sauvages du monde entier qu'il étudia provenaient toutes de huit régions précises, toutes montagneuses.

Selon James Churchward, cela s'explique parce que les montagnes auraient été formées lors des cataclysmes et qu'en conséquence plusieurs basses terres auraient alors été élevées à haute altitude.

Selon d'anciens manuscrits, après les cataclysmes, lorsque la Terre se fut calmée, les survivants auraient quitté les hauteurs des montagnes de la Turquie actuelle pour retourner vers les plaines fertiles de la Mésopotamie.

Selon la Bible, après le Déluge, la symbolique arche de Noé se serait échoué au mont Ararat en Turquie.



Les tablettes sumériennes racontent également comment les Anunnaki revinrent dans leur contrée dévastée afin de la reconstruire ; la civilisation issue de cette reconstruction nous est connue sous le nom de Sumer.

Pour ma part, je crois que de nombreux événements dont font état les tablettes sumériennes renvoient à Mû et à l'Atlantide.

Quelques chercheurs sont d'avis que les vestiges des cités Anunnaki antédiluviennes peuvent être retrouvés sous le golfe Persique qui s'est creusé et élargi après les bouleversements.

Quelques-unes des grandes structures de l'Age d'or survivent encore aujourd'hui et peuvent être vieilles de centaines de milliers d'années. D'autres sites ont été reconstruits par les Sumériens voilà environ 6 000 ans.

Je crois que Stonehenge et Avebury appartiennent à cette dernière catégorie mais pas nécessairement les pyramides de Gizeh et assurément pas les époustouflantes structures qui subsistent en Amérique du Sud.



Elles remontent à l'Âge d'or, à n'en pas douter ! Vous trouverez des preuves plus détaillées de ces cataclysmes dans Le Plus Grand Secret et When The Earth Nearly Died, ainsi qu'une liste d'autres ouvrages portant sur le sujet.

Les ouvrages de Velikovsky sont énumérés à la bibliographie. On a supprimé cette information des grands courants scientifiques et médiatiques tout simplement à cause des répercussions qui en découlent.

Toutes nos certitudes tomberaient l'une après l'autre comme des dominos. La matrice qui nous contrôle n'échappe pas à cette loi.

Les Illuminati font des heures supplémentaires pour nous empêcher de faire tomber un domino car sa chute entraînerait celle de tous les autres.

Leur mainmise sur la version officielle de l'Histoire est l'un de leurs principaux dominos.

Si nous savions qu'une civilisation très évoluée a existé avant la nôtre, qui fut anéantie par des catastrophes géologiques malgré une technologie de pointe, nous verrions la vie sous un jour différent.

La version officielle de l'évolution humaine ne tiendrait plus. Nous nous demanderions qui étaient ces gens, d'où ils venaient, d'où ils tenaient leurs connaissances et leurs techniques.

Soudain les mystères de l'Égypte ancienne et de Sumer nous paraîtraient moins impénétrables.

Et si les civilisations égyptienne et sumérienne furent fondées autour de ces connaissances et techniques, cela signifie que les cataclysmes comptèrent des survivants.



Où sont passées leurs connaissances pendant plusieurs millénaires et qu'est-il advenu de leurs descendants ?

Dès qu'un trou se forme dans une digue l'eau commence à y couler. Voilà pourquoi les Illuminati n'ont ménagé aucun effort, par le biais des religions et des sciences, pour supprimer toute connaissance susceptible de révéler la véritable histoire de l'humanité.


Dès lors qu'on sait cela, le brouillard se dissipe peu à peu.

Source : Extraits de « Les enfants de la Matrice », David Icke.

http://www.lesavoirperdudesanciens.com/2015/12/le-remix-de-lhistoire.html

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