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vendredi 19 juin 2015

Un neurochirurgien de Harvard confirme que la vie après la mort existe

Un neurochirurgien de Harvard confirme que la vie après la mort existe

Porté à votre conscience par Arcturius,
le 18 juin 2015 
 
 
 
 
 
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Avons-nous une âme?

Y a-t-il une vie après la mort?

Depuis les débuts de l’histoire, la vie après la mort a été expérimentée par d’innombrables personnes qui sont revenues raconter leur histoire.
 Le compte-rendu le plus remarquable est celui vécu de première main par le neurochirurgien (pendant 25 ans) formé à Harvard, le Dr Eben Alexander.
 Ceci n’est pas juste une de ces histoires de l’au-delà qui peut être balayée d’un revers de main comme si c’était une hallucination. 

Avant d’examiner les détails de son expérience de l’au-delà et à quel point ils défient toute explication scientifique, explorons un peu son récit.

Avant son expérience, il ne croyait pas en l’existence d’un esprit non physique. 
Ayant fait ses études dans le cadre de la médecine universitaire occidentale, et ses collègues médecins profondément investis dans une perspective matérielle de l’univers, il pensait que l’idée d’une âme était bizarre.

 Comme la plupart des « sceptiques », il croyait que les histoires de l’au-delà étaient des hallucinations ou des produits de l’imagination humaine.


Le Dr Alexander a changé d’avis après avoir été dans le coma pendant 7 jours à la suite d’une méningite bactérienne sévère.

 Pendant son coma, il a fait l’expérience d’un voyage intense dans ce qu’il savait être l’au-delà, en visitant des espaces célestes et d’autres moins paradisiaques.

Après être revenu dans son corps et avoir vécu une guérison miraculeuse contre toute attente, il a écrit le best-seller du New-York Times « La Preuve du Paradis » (Proof of Heaven).

 Ce que le Dr. Alexander confirme, c’est que notre vie ici ne serait qu’un test pour aider nos âmes à évoluer et à croître, et que la façon dont nous y parvenons c’est de nous comporter avec amour et compassion. 

Voici quelques autres remarques surprenantes qu’il a faites:



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– L’expérience de l’au-delà était si « réelle » et vaste que l’expérience de la vie en tant qu’un humain sur Terre semblait un rêve artificiel en comparaison.


Le tissu de l’au-delà était de l’AMOUR pur.

 L’amour dominait l’au-delà à un tel degré que la présence globale du mal était infiniment minuscule.

 Si vous souhaitez connaître l’Univers, connaissez l’Amour.

– Dans l’au-delà, toute communication était télépathique. Il n’y avait pas besoin de mots parlés, ni même de la séparation entre le moi et tout ce qui se passe autour de nous.

 Toutes les questions que vous posiez dans votre esprit obtenaient immédiatement une réponse télépathique aussi.



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Quand on lui demande ce qu’il veut que tout le monde sache sur le domaine spirituel, il répond toujours que vous êtes infiniment précieux et aimé plus que vous ne pouvez l’imaginer.


  Vous êtes toujours en sécurité.
 Vous n’êtes jamais seul.
 L’amour inconditionnel et parfait et Dieu ne néglige pas une seule âme.

« L’amour est, sans aucun doute, la base de tout. 
Pas une sorte d’amour abstrait, insondable, mais l’amour quotidien que tout le monde connaît, celui que l’on ressent en regardant notre conjoint(e) ou nos enfants, ou même nos animaux.

 Dans sa forme la plus pure et la plus puissante, cet amour n’est ni jaloux, ni égoïste, mais inconditionnel.

Telle est la réalité des réalités, la vérité des vérités incompréhensible et magnifique qui vit et respire au coeur de tout ce qui existe ou existera jamais, et il n’est absolument pas possible de comprendre ce que nous sommes ou qui nous sommes si nous ne connaissons pas cette vérité et si nous ne la ressentons pas profondément dans nos corps et dans toutes nos actions. »

Parlons maintenant crédibilité une minute. Qu’est-ce qui rend cette expérience tellement plus significative que d’autres récits d’expérience de mort imminente (EMI)?

Le néocortex d’Eben était complètement hors d’état de fonctionner pendant la durée de son coma dû à sa grave méningite bactérienne, il n’y a donc aucune explication scientifique éclairant ce qu’il a vécu.

 En fait, il réfute 9 explications scientifiques éventuelles dans son livre.


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Explorer les explications naturalistes

Examinons 5 explications potentielles qu’il décrit à l’annexe B de « La Preuve du Paradi ».

 Quelques-unes de ses explications ne pourraient nous être d’aucun secours, n’étant pas familiers avec la terminologie neuroscientifique.
 Voici donc les explications les plus courantes qu’il réfute, extraites de son livre.

1. Ce serait un « programme du tronc cérébral primitif pour soulager la douleur et la souffrance.  (« argument évolutionniste » – peut-être comme un vestige de stratégies telles que faire le mort des mammifères inférieurs?). 
Ceci n’explique pas la nature abondante et richement interactive des souvenirs.


2. La remontée déformée de souvenirs de parties plus profondes du système limbique (par exemple, l’amygdale latérale) qui est suffisamment protégé par des enveloppes successives de l’inflammation méningée, survenant, elle, principalement à la surface du cerveau.
 Ceci n’explique pas la nature abondante et richement interactive des souvenirs.


3. Une décharge de DMT. La DMT, un agoniste de la sérotonine survenant naturellement provoque des hallucinations et un état de rêve.
 Je suis personnellement familier des expériences de drogues liées aux agonistes de la sérotonine (LSD) de mes années d’adolescence, au début des années 1970. 
Je n’ai eu aucune expérience personnelle avec la DMT, mais j’ai vu des patients sous son influence. 
 La riche ultra-réalité que j’ai vécue, exigerait les capacités auditives et visuelles du néocortex comme régions réceptrices du cerveau pour y générer une expérience audiovisuelle tellement riche, telle que je l’ai vécue dans mon coma. 

Le coma prolongé en raison de la méningite bactérienne avait gravement endommagé mon néocortex, qui est la zone où la totalité de la sérotonine, à partir des noyaux du raphé dans mon tronc cérébral (ou la DMT, agoniste de la sérotonine) aurait eu des effets sur les expériences visuelles ou auditives. Mais mon cortex était éteint, et la DMT n’aurait pas eu de place dans le cerveau pour agir.
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4. Un phénomène de redémarrage – une accumulation aléatoire de souvenirs bizarres et épars venant de vieux souvenirs dans le néocortex endommagé, ce qui pourrait se produire avec le retour du cortex dans la conscience après une panne prolongée de l’ensemble du système, comme dans ma méningite.

 Surtout étant donné les subtilités de mes souvenirs élaborés, cela semble hautement improbable.



5. La génération de souvenirs insolites par une voie visuelle archaïque passant par le mésencéphale, utilisée abondamment chez les oiseaux mais rarement détectée chez les humains.
 Ce phénomène peut être mis en évidence chez les humains aveugles au niveau du cortex, du fait du cortex occipital.
Cela ne fournit aucune explication concernant l’ultra-réalité dont j’ai pu témoigner et n’explique pas non plus le fait que les expériences visuelles et auditives étaient aussi interreliées.

Son compte-rendu d’EMI se présente comme le récit le plus crédible de tous les temps, et du fait de son contexte de formation scientifique matérialiste, nous avons de bonnes raisons de croire qu’il a réellement expérimenté une rencontre saisissante avec quelque chose au-delà de ce monde.


Sources: New York Times La Preuve du Paradis par le Dr. Eben Alexander Spirit Science And Metaphysics
http://www.sante-nutrition.org/


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jeudi 18 juin 2015

Les commémorations vaines

Les commémorations vaines

Porté à votre conscience par Arcturius,le 10 juin 2015


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LES COMMÉMORATIONS, SURTOUT DE DRAMES TRAGIQUES, RAMÈNENT DANS UN PASSÉ DÉPASSÉ…




NazismeSous le prétexte d’un devoir de mémoire, pour éviter les erreurs du passé, on nous rabat les oreilles et on nous inonde le regard de scènes de la dernière Grande Guerre mondiale. 
 Et c’est depuis ce triste évènement, qui a fait des millions de victimes militaires et civiles, qu’on nous force à célébrer, annuellement, en novembre, le Jour du Souvenir et l’héroïsme des combattants de notre bord. 

  Puis, d’année en année, on nous ramène celle de l’attentat de Boston et, en plus grand et large, celle des attentats du 11 septembre 2001, au malheureux pays de l’oncle Sam, que jusqu’aux réseaux de télévision étrangers étirent pendant des jours, dans leurs reportages.

  Pourtant, dans le contexte du processus de l’Ascension et de l’installation du Nouveau Monde, que tout un peuple pleure encore cet événement, tentant de faire vibrer avec intensité la fibre nationaliste de ses citoyens et de s’associer le monde dans l’étalage de ses souvenirs tristes, donc négatifs, relève purement d’un passéisme, même d’une névrose obsessionnelle collective.

  Le passé, le présent et le futur ont fusionné dans l’Instant présent dans lequel seul peut vibrer, dans un grand bonheur et une sublime perfection, celui qui se dégage du passé et de l’avenir et se laisse couler dans le mouvement du moment présent.
Chez-nous, au Canada, on tente présentement de nous impliquer et de nous émouvoir avec le génocide culturel des peuples des Premières Nations, comme si les acteurs de la présente phase de vie avaient une part de responsabilité dans ce drame qui s’éternise de la détermination des droits des Amérindiens. 

 Ici, il n’est pas question de dire qu’il ne s’est pas commis d’injustices de la part de nos gouvernements et institutions religieuses dans ce fait historique et qu’il ne reste pas quelque chose à faire pour assurer l’égalité des gens et l’équité dans les traitements. 
 Sauf que, même si cela pouvait choquer, dans le bouleversant des conventions et des croyances, dont le Cosmos se fiche, comme il n’y a pas de hasard dans ce qui arrive ou est arrivé à qui que ce soit, même aux premiers habitants de notre territoire, et qu’il faut vivre centrés sur le présent, la demande d’excuses et de réparation ne tient pas la route dans la perspective de l‘Évolution qui sait toujours déloger ou détruire ce qui tente de stagner.

  Il vaut mieux se réunir dans l’Amour, collaborer à la correction des inégalités et, par la suite, éviter de répéter les erreurs du passé.
Pour en revenir à la commémoration de l’attentat du World Trade Centre de new York, un certain 11 septembre, ces cérémonies qui sont allées jusqu’à amener le président actuel des États-Unis à faire appel au Ciel, dans l’expression «Dieu de l’Espoir», après avoir rappelé un passage de la Bible qui donnait le meilleur rôle à sa nation, mais en décriant en filigrane, sans trop de nuances, les actes barbares d’étrangers fanatiques et extrémistes, mais sans rappeler que cet acte représentait un juste retour d’une nation capitaliste impérieuse, qui a tant dominé et exploité les autre peuples, qui subit les conséquences d’une autodestruction, cela frise l’aberration. 

 Ici, au Canada, nous sommes bien placés pour saisir que cette nation s’est toujours comportée avec nous comme un éléphant qui ne dédaigne pas de menacer et d’écraser les souris quand elles risque de perdre quelque chose, même s’il serait légal, donc licite et légitime, qu’elle y perde un peu dans des concessions.
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Car, peu importe le pays, lors de telles occasions, les commémorations douloureuses, que les gens de la Terre aiment encore célébrer, comme si les énergies n’avaient pas changé et que l’heure n’était pas à la célébration du Renouveau, dans l’ici et le maintenant, dénote l’inconscience des peuples qui se laissent encore prendre dans les manipulations subtiles d’autorités inconscientes ou machiavéliques qui ne veulent pas céder leur place. 

 Car il semble que, même dans les rets — le manque de liberté, l’attrition intellectuelle et le dénuement financier — l’esclave continue d’aimer ses chaînes et de célébrer ses bourreaux.

Il y a dans ce genre d’actes le témoignage d’une résistance au mouvement de la vie, donc à l’actualisation, soit une difficulté à abandonner un passé révolu, au moment où, seul l’Instant éternel comptant, tous les gens sont appelés à vivre l’immédiateté, sans projection dans le passé ou le futur. 

 Il y a encore une incompréhension du fait que, au niveau des peuples, comme des individus et des divers groupes, il existe des karmas positifs et négatifs, puisque, dans l’Ordre cosmique, tout  événement  résulte du juste retour d’actes, de pensées, de paroles ou de ressentis conscients ou inconscients. 

 Il y a l’incompréhension que, par ce qu’une collectivité vibre dans l’instant, elle forge une part de son destin.  Il y a, dans le cas particulier des célébrations d’aujourd’hui, l’oubli que tous les êtres humains font patrie de la même Famille spirituelle, vivent sur une même planète — où les la peur des autres et les frontières doivent s’abolir au plus tôt, dans l’acceptation inconditionnelle des différences qui enrichissent – et doivent se rassembler dans l’Unité.


En effet, les attentats du 11 septembre 2011 signalaient l’accélération de la chute d’un empire matérialiste, dominateur, partial, arbitraire, même secrètement ségrégationniste, donc fort injuste, qui a trop longtemps offert au monde le spectacle du meilleur au pire et a trop souvent appliqué le principe égotique du deux poids et deux mesure, l’une, toujours favorable, pour lui, mais l’autre, défavorable, pour les autres, plus faibles ou plus petits.  
Et le pire, c’est que derrière son nationalisme exacerbé  et son «rêve américain», qu’il a tenté d’imposer au monde comme l’idéal suprême des Terriens, il est toujours parvenu à justifier ses pires interventions sous un voile de valeurs civiles étroites et religieuses puritaines et sectaires, la masquant par une générosité rarement désintéressée. 

 Car qui a inventé les maximes qu’en matière d’affaires, il n’y a pas d’amis;  qu’en sauvant les apparences, on sauve tout;  que le temps, c’est de l’argent;  que toujours plus grand et plus gros, c’est le mieux;  que c’est par l’exploitation sans conscience de ses semblables qu’on s’enrichit.

reconciliation-genocide-culture-canadaN’est-ce pas oublier, comme l’a toujours démontré l’histoire, que tout ce qui monte doit redescendre un jour, et d’autant plus sûrement et profondément, et d’une manière d’autant plus vertigineuse qu’une collectivité a permis que cette élévation se fasse par des moyens frauduleux? 

 N’est-ce pas oublier que celui qui crache en l’air risque de s’éclabousser lui-même de son propre crachat?  N’est-ce pas omettre que tout ce qui est arrivé au peuple étasunien, comme ce qui arrive à tout peuple, il se l’était savamment attiré lui-même?

Ce peuple, destiné à harmoniser les plus grands travers de l’humanité, à la manière d’un  creuset,  connaîtra une renaissance et il finira par étonner de nouveau le monde, mais pas avant qu’il n’ait épuisé les justes retours de la Causalité et que, ayant tiré les bonnes leçons de vie, il n’ait ouvert son cœur et il n’ait placé sa foi dans les valeurs spirituelles, au-delà de son immense orgueil et de son arrogance, de ses jeux de pouvoir éhontés, de son nationalisme étroit, de ses visées militaristes, de son amour de l’argent, de sa propagation des valeurs matérialistes et sensuelles, de son mépris des étrangers et de l’adoration de son étendard.

Mais comme personne ne gagne à déprécier une nation plus qu’une autre, chacun doit se rappeler que tout peuple ne peut que vivre ce qu’il s’attire par ses choix négatifs ou ses choix constructifs. 

 En cela, les commémorations qui amènent à broyer du noir encore et encore, polluant l’atmosphère de la Terre, à déresponsabilisent et à extraire du Nouveau Temps n’ont plus raison d’être.


© 2011-15, Bertrand Duhaime (Dourganandâ).  Tous droits réservés. Toute reproduction strictement interdite pour tous les pays du monde.  Publié sur : www.larchedegloire.com.  Merci de nous visiter sur : https://www.facebook.com/bertrand.duhaime
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NDR:  
 
A l'occasion de l'anniversaire des 200 ans de la bataille de Waterloo  qui s'est déroulée le 18 juin 1815.
Une aberration en soi : combien de milliers de  morts provoquées par un homme qui revait d'  être empereur







  

mercredi 17 juin 2015

L'imposture du diapason LA 440

Vidéos et introduction trouvées sur : Presse Libre International (NENKI)


http://naturalsoundfrequency.wifeo.com/images/t/tit/Titre-La-432Hz.png

« Harmoniser la vie en accord avec les fréquences de la nature et il y aura plus de joie, de bonheur et de beauté dans nos expériences de tout les jours. » 

Edgar Cayce


La musique a été reformatée en un solfège midifié en fréquence. Un secret d'initié qui récupère notre énergie vitale afin de nous déconnecter des ondes universelles. Apparemment, Hitler jouait de la musique en utilisant 440Hz qui était aussi un changement apporté par l'Eglise romaine à l'époque où ils ont interprété la Bible. Avant cela, 432Hz, c'était le ton utilisé  loin dans l'histoire. Il ya le fait que 440Hz ne fonctionne pas correctement dans la musique, la musique 432Hz permet de mieux la faire circuler.







Extrait d'entretien avec Franck NABET



Sacrée Planète : Pour un musicien que signifie de jouer avec la gamme naturelle

Franck NABET : " La mention "naturelle" fait référence à la justesse des harmoniques. L'harmonique est l'une des caractéristiques de la musique avec le rythme et la mélodie. Lorsqu'un instrument peut générer deux sons en même temps qui sont harmonieux, il génère une harmonique. Les harmoniques "pures" sont en résonance les unes par rapport aux autres, c'est à dire qu'elles vibrent en sympathie lorsque l'une d'entre elle est activée.

Sacrée Planète : Pourquoi et quand le diapason LA 440 Hz est-il devenu le standard ?

Franck NABET : "Il est vrai que depuis 1953, le diapason en LA 440 s'est vu devenir la référence dans l'accordage des instruments, sans que l'on sache pourquoi. Je ne sais pas si la théorie avancée disant que les nazis utilisaient le La 440Hz pour leur propagande et qu'ils l'auraient imposé comme standard est juste ou non.
Aucune musique ethnique ou ancienne n'est jouée à cette hauteur de note, ce qui nous laisse encore avec des interrogations sur l'utilisation de ce diapason.

En janvier 1975, le diapason La 440 Hz devient une norme (ISO 16:1975), ce qui définit par la suite son utilisation dans toute les écoles de musique.
Actuellement, de nombreux chanteurs  sont obligés de monter leur voix à cause de ce diapason et souffrent de déformations importantes des cordes vocales. Naturellement, nous nous accordons plus facilement sur le La 432 Hz.

La fréquence de 432 Hz est qualifiée, par des scientifiques, de "naturelle". Ils ont calculé les fréquences de résonance des atomes et molécules dans la nature. L'oscillation à 432Hz est une fréquence de résonance de l'eau (alors que le 440 Hz ne l'est pas). Rappelons que l'eau est un constituant majeur de toute vie sur terre, de la bactérie jusqu'aux organismes les plus développés. Ceci nous laisse présager de l'incidence d'une telle fréquence sur l'être humain !

Cette fréquence est inscrite jusque dans notre système solaire. La précession de la Terre compte 25 920 années, c'est le cycle apparent de la rotation des étoiles dans notre ciel (360°), produit par le mouvement de la Terre dans l'univers. Quand on divise 25 920 par 360, on arrive au chiffre 72.


Sacrée Planète : Que pensez-vous de ces données ?

Franck NABET : Ces informations sont exactes, 432 Hz correspond à une harmonique de la fréquence terrestre. Chaque matière a une fréquence de résonance qui lui est propre. Tous les éléments à l'origine de la vie se retrouvent être une harmonique d'une note dans l'accordage en 432 Hz, à partir du moment où nous utilisons une gamme respectant les lois harmoniques juste.

Quand la musique est accordée à 432 Hz, on remarque que les autres notes correspondent exactement aux fréquences de résonances des éléments naturels comme le sol pour l'oxygène. Le do a une fréquence de résonance qui active le système chlorophyllien des plantes par exemple... L'écoute d'une musique en 432 Hz nous rapproche donc de la nature. Elle nous met en résonance avec elle. En 440 Hz, au contraire, nous nous en éloignons par le décalage avec les fréquences naturelles.

Comme nous le précise Jacqueline Bousquet (Dr ès Sciences, Biologie, Endocrinologie, Biophysique, Physiologie, Immunologie, chercheur honoraire au CNRS (1962-1997), conférencière internationale et écrivain.) "tout être vivant ne peut se comporter qu'en récepteur ou émetteur d'une gamme de fréquence avec laquelle il entre en résonance". L'information émise par des musiques en gamme tempérées ne peut donc pas avoir d'effet thérapeutique positif sur notre état puisqu'elles ne sont pas en phase avec notre propre champ vibratoire.

A l'opposé, les musiques composées en gamme "naturelle" ont un effet profond sur l'organisme, en procurant rapidement une sédation du système neuro-végétatif et un état de bien-être. Les chants religieux, notamment chez les cisterciens, étaient composés avec cette gamme, on leur reconnaissait des vertus pour la sérénité et l'élévation de l'âme.

Le 432 Hz est aussi une harmonique du 8 Hz, qui n'est autre que le rythme de la fréquence cérébrale Alpha dans laquelle nos deux hémisphères du cerveau sont synchronisés pour fonctionner ensemble en harmonie. Le néocortex, inutilisé à 90 %, commence à s'éveiller avec cette synchronisation : elle s'installe dans toutes les cellules du cerveau pour créer un flux d'information maximal.


Ecouter la musique accordée au La 432 Hz harmonise nos hémisphères cérébraux, ce qui nous éveille à l'orchestration de nos pensées dans les cathédrales de nos esprits.

Sacrée Planète : A t-on testé l'effet sur un auditeur à partir d'un même morceau de musique, l'un en La 432 Hz et l'autre en La 440 Hz ?

Franck NABET : Oui, une étude scientifique, au Pays-Bas, a démontré que plus de 76 % des gens ont perçu la musique au La 432 Hz comme plus belle rapport à la même musique accordée à 440 Hz. Une autre étude scientifique a même démontré de meilleurs bénéfices sur le rythme cardiaque par rapport à une même musique en 440 Hz. La Hollande s'intéresse beaucoup au 432 Hz et de nombreux musiciens recommencent à composer ou même à mixer sur ce diapason. Des études fleurissent sur l'utilisation du 432 Hz, malheureusement pas toujours bien mises en valeur. Par ailleurs, lorsque je fais des conférences sur ce diapason, je suis surpris par l'impact du 432 Hz sur le public.

En effet, si je ne dis rien, la plupart des gens le préfèrent au  440 Hz. Par contre si je les présente,  alors la préférence ira au 440 Hz. Ceci est logique car cette fréquence ne fait pas appel au même cerveau. En ayant nommé les deux diapasons, le cerveau analytique reconnaît le 440 Hz.

Le La 440 Hz nous emmène plus vers une appréciation intellectuelle de l'harmonie musicale, vers la réflexion ; par contre, une musique à 432 Hz nous emmène plus  vers une réelle sensation de coeur ou nous facilite la sensation vers  nos sentiments les plus intimes en profondeur. En 432 Hz, on arrive plus facilement à sentir la musique, elle arrive plus facilement à nous émouvoir, c'est-à-dire nous mettre en mouvement, elle nous touche sur le plan énergétique, là où sont stockés toutes nos mémoires.


NeoTrouve du 15 octobre 2011 (Extraits)


Toute la musique occidentale est actuellement accordée avec le La à 440 Hz. Cela veux dire que tout les instruments de musique, les diapasons, les programmes de création musicale sont accordés à cette fréquence.

La musique occidentale n’a pas toujours été accordé à 440 Hz.

En 1939 les Nazis décident par leur ministre de la propagande Goebbels d’accorder le La de référence à 440 Hz comme standard, bien que la référence la plus utilisé mondialement étaient encore le La à 432 Hz.

En 1955 le La à 440 Hz devient le standard mondial ISO. On peut se demander quelles raisons ont réellement poussés les hommes de pouvoir de cette époque à adopter le La à 440 Hz par opposition au La à 432 Hz. Le La à 432 serait beaucoup plus logique, plus riche d’arguments scientifiques et de correspondances qu’on retrouve dans l’univers et la nature qui nous entoure.
[...]

Voici la fréquence de chaque note avec le La de référence à 440 Hz, suivi de leur fréquence correspondante de chaque note accordé au La de référence à 432 Hz :

Do, C, 261,63Hz, 256 Hz; Ré, D, 293,66 Hz, 288 Hz; Mi, E, 329,63Hz, 324 Hz; Fa, F, 349,23Hz, 342 Hz; Sol, G, 392,00Hz, 384 Hz; La, A, 440,00Hz, 432 Hz; Si, S, 493,88Hz, 484 Hz

Avec les formules de physique quantique, certains scientifiques ont calculé les fréquences de résonance des atomes et molécules qui nous entourent. C’est alors stupéfiant de voir que 432 Hz est une fréquence de résonance de l’eau et non pas le 440 Hz. Rappelons que l’eau est un constituant majeur de toute la vie sur terre, des plantes aux animaux ou d’une bactérie jusqu’aux organismes les plus développés.
[...]
Une étude scientifique récente encadrée par l’université de Florence sur une plantation de vignes a démontré l’effet grandement bénéfique de certaines musiques classiques baroques spécifiques. Ainsi les vignes ont eu une croissance supérieure de plus de 30% et elles étaient beaucoup plus saines, sans maladies par rapport au groupe témoin !

Quand le la est accordé à 432 Hz au lieu du 440 Hz, toutes les autres notes de musiques sont aussi corrigées vers leurs fréquences harmonieuses correspondant au la de référence et aux fréquences de la nature qui nous entourent.
Quelques correspondances :

La : 432 Hz : L’eau, Ondes Alpha cérébrales idéal au repos pour un fonctionnement cérébral harmonieux
Ré : 288 Hz : La précession de notre planète Terre, Battement idéal du coeur humain au repos
Sol : 384 Hz : Oxygène

Les plantes aussi y réagissent favorablement, elles poussent plus vite et deviennent resplendissantes.

Image IPB Image IPB


Le battement du cœur de la planète aurait une pulsation de 144 Hz, la plus saine qui existe. Le battement du cœur d’un être humain adulte au repos est idéalement de 72 battements par minute, ce qui correspond exactement à un sixième de 432 Hz ou la moitié de 144. Le 144 Hz est aussi la fréquence du D ou du Ré quand le la est accordé au 432 Hz.

Le 432 Hz est aussi une harmonique du 8 Hz. Le 8 Hz est le rythme de notre fréquence cérébrale Alpha dans laquelle notre processeur parallèle, ou nos deux hémisphères du cerveau, sont synchronisés pour fonctionner ensembles en harmonie.

Le néo-cortex du cerveau, 90% inutilisé commence à s’éveiller avec cette synchronisation et elle s’installe dans toutes les cellules du cerveau pour créer un flux d’information maximal.

Écouter la musique accordée au La naturel harmonise nos hémisphères cérébraux, ce qui nous éveille à l’orchestre de nos pensées, dans les cathédrales de nos esprits. [...]

http://h0rusfalke.files.wordpress.com/2012/11/unbenannt4.jpg

Via Energiquementvotre (Extrait)

432 Hertz

Le diapason officiel est depuis 1953 une vibration de 440 Hertz (cycles par secondes). C'est la tonalité la# du téléphone fixe en France. La tendance actuelle est à une dérive vers les aigus. Les groupes de musique moderne et les pianos des solistes sont généralement accordés à 442 Hz, pour rendre la sonorité plus "brillante".

La Résonance de Schumann (onde électromagnétique produit par le couple ionosphère-écorce terrestre) correspond à 432 Hz (8 x 54 multiplication d'un cycle de 8 Hz) 8 Hz est également le rythme de notre fréquence cérébrale Alpha par laquelle nos deux hémisphères cérébraux sont synchronisés pour fonctionner en harmonie. Le néocortex dont 90% est inutilisé, commence à s'éveiller avec cette synchronisation qui opère par un flux d'information maximal dans tous les neurones via les dendrites.


Les Dauphins peuvent entendre nos pensées, car ils captent les ultrasons (fréquences supérieures à 20 kHz). Ainsi, nos ondes cérébrales Alpha, autour de 8 Hz, leur parviennent telle une musique.

Les humains, dans un état non chamanique, ne peuvent pas entendre les 8 Hz, étant limités à une gamme comprise entre 20 et 20 000 Hz. Mais ces harmoniques nous sont audibles à 72 Hz (9 x 8 Hz), 144 Hz (18 x 8 Hz) et bien sûr 432 Hz évoqués plus haut. Toutes ces harmoniques sont semblables à des miroirs qui se réfléchissent en cascade et à travers lesquels passent les 8 Hz.

En accordant les instruments sur un "la" à 432Hz (au lieu de 440 ou 442), cela a pour effet d'"ouvrir" le système énergétique du corps humain. A l'écoute d'une musique accordée à 432 Hz, l'état de bien-être est extraordinaire, sans avoir recours à une quelconque substance artificielle, unifient la lumière, le temps, l'espace, la matière, le son, le magnétisme, l'ADN, l'intelligence, et la conscience, invitant à une transformation planétaire qui emprunte la voie du milieu.



Cymatics experiment tonoscope 432-440Hz

« En comprenant les différences entre les figures géométriques causées par les fréquences du LA à 432 VS 440 hertz, vous réaliserez comment ils ont brisé et brouillé nos harmonie vibratoires et champs magnétiques. Ça prendra une révolution musicale pour faire réaliser cela au monde entier. À regarder et entendre jusqu'à la fin. Sans paroles. »




Qu'est-ce que le La 432Hz ?



En 1936, l' American Standards Association a recommandé que le La au-dessus du Do moyen soit réglé en 440 Hz. Cette norme a été embrassée par l' International Organisation for Standardisation en 1955 en tant qu' ISO 16. Depuis, elle a servi de référence pour l' étalonnage des pianos, violons, et tout les autres instruments de musique.

Cependant, tout les instruments datant d'il y a plus de 70 ans sont réglés sur le La 432 Hz : Pourquoi?

Le La 432 Hz (environ 1/2 ton en dessous du 440Hz) est une harmonique (ou fréquence de résonnance) de la fréquence vibratoire de la Terre  et de l'eau. L'eau est le constituant principale de toute vie terrestre, notre corps y compris!

Un instrument  ou une musique en La 432Hz ont donc un impact important sur notre cops. 1ls nous font "vibrer" bien plus qu'au son d'une musique (ou d' un instrument) en 440Hz (qui n'est pas du tout une harmonique de la fréquence de l'eau!). La musique "résonne" donc au plus profond de nos cellules et les imprègne de toutes ses vibrations.

D'après des études fréquencielles, on a constaté que les musiciens des siècles précédants accordaient leurs instruments sur le La 432Hz ( Bach, Mozart,...)

On remarque aussi qu'un grand nombre d'artistes contemporains diminuaient leur fréquence d'accordage ou leur chant, car ils trouvaient que "ça sonnait mieux'. Et devinez à quelle fréquence ils s'arrêtaient ?  
Le La 432Hz !
Parmis ces artistes, on trouve entres autres : Jim Morrison, Jimi Hendrix, Stevie Ray Vaughan, Janis Joplin, John Lennon, Elvis Presley, Kurt Cobain...

Pour plus de renseignements, nous vous invitons à consulter le site de Franck Nabet : Harmony Music.



Frank Nabet – 1re partie par TV-SOIS



 Parlons d’une vérité qui dérange.

Connaissez-vous la fréquence de résonance de l’Univers, la Lumière ?! 432 Hz
Quasiment toutes les musiques (pas celle que vous entendez là) sont réglées en… 440 Hz
Donc logiquement… Quasiment tous les instruments sont réglés en 440 Hz
Seuls les instruments qui datent d’il y a plus de 63 ans sont réglés dans la bonne fréquence de 432 Hz…

 Nous sommes complètement déréglés !

Pourquoi ?

En 1936, cette fréquence a été modifiée par cet homme : J. Goebbels

Pourquoi ? Il a réglé la fréquence avec… 1,776%
Vous reconnaissez quelque chose ? 1776

Avant la standardisation de 440Hz, de nombreux pays et organisations suivaient la recommandation de 435Hz émise par le gouvernement Autrichien en 1885.

L’industrie de la musique américaine a atteint son propre compromis non-officiel de 440 Hz en 1926, et l’a utilisé dans la fabrication des instruments.

En 1936, l’American Standards Association a recommandé que le La au-dessus du Do moyen soit réglé en 440 Hz. Cette norme a été embrassée par l’International Organization for Standardization en 1955 (et fut réaffirmée par eux en 1975) en tant qu’ISO 16. Depuis, elle a servie de fréquence audio de référence pour l’étalonnage des pianos, violons, et des autres instruments de musique (WikipediA).





http://i32.servimg.com/u/f32/14/12/58/20/jn10.jpg


« Si tu veux contrôler le peuple, commence par contrôler sa musique. »

 Platon

Mise à jour 04/06/2013
Source et plus sur  : DJP

"QUAND LE LA N'EST PAS LA"

 

Texte écrit en 2008  et adapté au sonore  pour l'occasion d'une diffusion sur différents  faisceaux hertziens  d'Europe, dans le cadre du projet "Radia"  en janvier 2009. Le programme de" Radia" est à trouver sur radioswap.net


Part 1


On sait d’ores et déjà tous et toutes que le « la (3)» est une vibration sonore de 440 « ondulations » par seconde. Que ces ondulations par secondes se nomment Hertz de par le nom de celui qui les a mises en évidence. On sait moins que la fréquence du « sol (3) » est de 392Hz et celle du « si (3) de 494Hz, hors, sans ces 2 valeurs pour compléter l’information, la valeur isolée de 440Hz n’a pas de raison particulière  d’être nommée « la » et on ferait mieux d’y associer une tonalité plutôt qu’un mot.

Tant qu’à envisager qu’il s’agit d’un « la » et que donc il participe de l’harmonie au sein de la gamme, les notes voisines ( en l’occurrence à 2 demi-tons vers le bas : le « sol » et  vers le haut : le « si » ) avec leur valeur, éclairent au moins sur            l’échelle physique et mathématique qu’arpentent les octaves, à la source, en réalité, de leur sens. Les échelons et paliers qu’on y trouve révèlent une toute autre logique que celle qu’on dénote pour les degrés, centimètres, secondes ou même pour les notes de musique.

Il y a 48 « unités » (hertz) qui séparent le « sol(3) » du « la(3) » contre 54 entre « la(3) » et « si(3) »
Donc en principe 96hz entre « sol(4) » et « la(4) » et 108 jusque « si(4) »

Le nombre de ces « unités » va s’amplifiant de façon proportionnellement accélérée au cours de la progression en fréquence, progression qu’on dit logarithmique alors que le même phénomène interprété en notes apparaît linéaire.

Le statut particulier du « la » lui vient du fait qu’à 440 (multiple de 11 découlant d’un système proto-décimal de fractions par 9), il tombe mathématiquement juste dans saprogression d’octaves : 220 pour le « la(2) », 440 pour « la(3) » , 880 pour « la(4) » et 1760 pour « la(5) » alors que les autres notes doivent se décaler de façon un peu arbitraire pour s’inscrire dans la courbe (mi(3,4,5) équivaut respectivement à 330, 659, 1319 et « re » à 294, 587, 1175). Ce sont ces décalages qui tempèrent la gamme depuis le XVIème siècle. Une vraie rigueur mathématique imposerait des décimales mais une demi-ondulation, un quart ou 73% d’ondulation n’est « rien du tout » en matière d’ondes.

Ainsi, le « la » apparaît comme le pilier de l’édifice : issu d’un système tridimensionnel par 11, il le transpose dans du bidimensionnel en 12demi-tons. Il en a découlé un monde de déclinaisons où se proclame souveraine l’harmonie. Il a s’agit, comme pour les mois de l’année de faire plier au duodécimal un système plus complexe et subtil, rendant nécessaire le recours aux années bissextiles d’un côté et de l’autre, imposant un canevas rigoureux, inaccessible à la conceptualisation purement intuitive et aux imperfections faisant loi.

 
Si effectivement l’exploitation de cette gamme a offert aux oreilles des choses délicieuses pour à peu près tous les goûts, elle n’en a pas moins limité le champs d’appréciation à certaines fréquences plutôt qu’à d’autres et j’ai peine à croire que nous « êtres humains » au contraire d’instruments, avons en toutes circonstances besoin d’un « la 440 » A ses débuts pendant la Renaissance, on l’accordait dit-on à 436 et à présent à 442. Certains jours ou ailleurs ne serait-il pas plus « juste » à  450 ? à 402 ou à 500hz ?

Qu’en était-il avant que ce « la » ne devienne « étalon universel » ? Les créateurs d’instruments se retrouvaient-ils vraiment façe à ces choix ?

Il reste à constater que ce qu’était une réelle diversité d’accordage parmis tous les folklores du monde à généralement tendu à se mettre au diapason, petit à petit pour s’aligner sur les instruments tempérés et se trouver, non sans compromis, une place dans la gamme.

Part 2

C’est évidemment le commerce des instruments,  conçus depuis la renaissance sur ce mode tempéré, qui le premier a profité de cette uniformisation tout en la motivant.

 De nos jours, l’approche intuitive du clavier d’un piano n’ouvre pas sur les secrets etsubtilités de la composition, tout au contraire, les noires offrent « petit cow-boy » ou « petit chinois » et les blanches : de vagues comptines. Il en va de même pour le manche d’une guitare conformément accordée, qui offre à vide ou en simples barrés de « vilains accords ». Ces instruments ne dévoilent ni n’offrent généreusement leur sens de l’harmonie mais font miroiter qu’un savoir est à acquérir pour recevoir quelques applaudissements.
Applaudissements qui souvent s’adressent avant tout au « la ».

Qu’aurait donc la fréquence de 440Hz de plus que les autres à nos oreilles,  pour qu’on en produise ainsi des diapasons ? Serait-elle source autonome de plus de plaisir ou d’équilibre que les fréquences voisine ? Existe-t-il une phase avec le biologique, le magnétique ou l’atomique à cette cadence ?  ( Certes avec le digital à 44100 il peut y avoir  « phénomène » ).

N’est-ce là qu’un artifice pour que tous les musiciens du monde soient potentiellement toujours accordés au cas où ils seraient amenés à réunir leurs musiques ? Le plus vraisemblable doit être dans cette dernière hypothèse mais il s’agit surtout des différents instruments qui sont amenés à se mélanger, se combiner, se remplacer et s’interchanger dans des arrangements pour toutes sortes de formations.

Ainsi il me semble étrange que les solistes (au moins dans leurs travaux en solos) n’aient pas développés plus d’intérêt à explorer des décalage

s d’avec le « la ». Une des seules pratiques en usage avant l’avènement de nouvelles musiques dites « contemporaines » et « bruitiste » aura été d’augmenter de quelques hertz l’instrument qui devait se démarquer dans l’orchestre, comme « plus fougueux et énergique ».

 
Les voies expérimentales qui nous ont conduits par-delà le bruit, devant des musiques auxsonorités atonales, hasardeuses désordonnées ou réordonnées semblent avoir été ouvertes principalement au tout début du XXème siècle, suivant de près les avancements scientifiques dont  l’apparition du cinéma, de la radio et la production de sons électr(on)iques. Ces scientifiques et chercheurs ont étés amenés à explorer de nouvelles textures sonores et à les présenter à la curiosité et l’imaginaire collectif. Ce sont des compositeurs comme Arnold Schoenberg et Anton Webern qui les premiers ont osé avec « l’Ecole de Vienne » une totale libération des dogmes harmoniques directement au sein de l’orchestre classique. Un peu plus tard et parallèlement, des artistes souvent issus ouproches de mouvements aux propos plus plastiques ou littéraire à la base, comme « Dada » et le « Futurisme » et qui transposaient au sonore ce que le visuel avait mis en évidence pour une révolution de la perception, les Marcel Duchamp, Luigi Russolo, John Cage par exemple ont fait valoir en tant que pionniers, des déclinaisons de la musique qui s’inscrivent dans une quête de la libération de l’expression artistique en général. Ne nous leurrons pas, depuis le temps, ces domaines sonores du moins acoustiques avaient dût être explorés avant eux, au cours d’expériences sans lendemains ou sans traces.

Les vestiges d’instruments préhistoriques dont les différents accordages restent évaluables de nos jours, comme des flûtes, sifflets à trous, puis flûtes de Pan semblent avoir démontrés l’absence totale de système ou de référence commune. Ceci tend à démontrer qu’aucune prédominance formelle ne se soit imposée de par la nature physique de ces expériences primales et que comme « la » ne s’imposait pas, et bien on l’a imposé à sa place.

Jusqu’à nos jours, les centrales téléphonique câblées offrent encore « généreusement » à leurs abonnés de plus en plus rares, une tonalité censée énoncer le « la ». S’en est fini chez les opérateurs en téléphonie mobile.

Notons au passage que nos anciens médias de reproduction des sons, comme les disques vinyles et les bandes magnétiques, présentaient la particularité d’être analogiques et moins précis dans la pratique qu’en théorie, ainsi la vitesse de défilement pouvait varier d’un appareil à l’autre ou en fonction de l’alimentation électrique. Il était donc quasi-impossible pour tout-un-chacun de distinguer si les tonalités reproduites étaient conformément accordées avec la gamme tempérée, sauf s’il s’agissait d’accompagner cette source d’un instrument qu’il fallait alors généralement « detuner ». Ainsi, inévitablement, tout utilisateur pouvait sciemment ou involontairement modifier la vitesse de déroulement et par-là, les hauteurs de notes, par de simples actions mécaniques ou électriques, ce qui cesse d’être vrai avec le CD et les procédés numériques.


 Part 3

Le digital garantit cette fidélité de reproduction. Ce qui sera joué aura exactement les mêmes propriétés sonores que ce qui y aura été déposé et seules des actions digitales pourront dès-lors influer. Les évolutions de ce matériel numérique tendent au contraire à proposer aux simples utilisateurs, de pouvoir modifier la vitesse tout en gardant intactes les tonalités, rendant à-priori de plus en plus improbable à nos oreilles de se nourrire « lyriquement » de fréquences en dehors de ce crible qu’impose la gamme. Les effets subtils qu’entraîne cette sélection arbitraire sont difficilement évaluables.

 L’audio-psycho-phonologie ou « méthode Tomatis », en temps que thérapie ou comme procédé diagnostique, dresse des profils pour rendre compte du fait que pour chacun(e)s, certaines fréquences sont devenues plus ou moins audibles ou identifiables au cours des différentes évolutions. Des influences psychologiques et mêmes pathologiques pourraient y correspondre ou s’y mêler.

 Néanmoins, depuis des siècles et des siècles, comme pilier de l’Harmonie qui souvent nous accompagne en boite à musiques depuis nos premières heures, la majorité de ceux et celles qui même auraient voué leur vie à la musique, sont totalement incapables d’évaluer de leur chef, donc sans point de comparaison, la hauteur sonore d’un « la », un « vrai », un « 440 », en le faisant sonner de la voix à l’improviste et avec certitude.

C’est consternant, merci. Clap, Clap, Clap.


Texte et voix, montages, musiques originales et sons par djp
Solo de flute traversière par Quentin Manfroy
Merci à tous ceux et celles qui m'ont prêtés leur LA...

djp 12/2008



Musique 432Hz récemment proposée et composée par Eldeweiss Concept, merci à lui pour le lien.


 A consulter egalement :


Trois Singes Sages

http://www.presse-people.com/wp-content/uploads/2008/11/3-singes.jpg

Par Richard Cassaro,  

Les  »trois singes sages » (appelés également les  »trois singes mystiques ») est une ancienne icône sacrée dont la signification originale nous a intentionnellement été cachée par l’Élite. 

Connaître la vérité secrète de la directive du symbole ancien 

 »Ne pas voir le Mal,

 ne pas entendre le Mal,

 ne pas dire le Mal »

  (alors qu’en français on traduit de manière simpliste par  »ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire ») peut vous doter de moyens que vous ne pensiez pas possibles et changer votre vie à jamais.

 Dans cet article, nous dévoilerons la signification ancienne authentique du symbole, et nous verrons pourquoi cette signification a intentionnellement été dissimulée.

 

Si vous pensiez connaître la signification du symbolisme des trois singes sages, vous allez y repenser peut-être autrement. 

 L’Élite nous a appris (c’est à dire les médias de masse et leurs sociétés commanditaires) qu’il signifie de feindre l’ignorance devant la conduite fautive des autres plutôt que de la dénoncer :

 »Dans le monde occidental, la phrase est souvent utilisée pour se référer à ceux qui font les choses de manière impropre, en regardant ailleurs, en refusant de le reconnaître, ou en feignant l’ignorance. »

  (ou dit autrement, ne pas vouloir voir ce qui pourrait poser problème, ne rien vouloir dire de ce qu’on sait pour ne pas prendre de risque et ne pas vouloir entendre pour pouvoir faire « comme si on ne savait pas »)

—Wikipédia

Le problème est que  »fermer les yeux » sur la mauvaise conduite des autres n’est pas la signification authentique ou le message spirituel original oriental. 

C’est une signification de remplacement fausse et corrompue.



L’importance de l’ancien symbole d’origine



La portée du symbolisme original nous a été caché pour de bonnes raisons : la vérité est bien plus puissante, bien plus porteuse de force, plus magique et plus évolutive spirituellement que ce que l’Élite veut faire connaître aux masses.

 »Le Mahatma Gandhi a fait une seule exception à son mode de vie non matérialiste, ce fut une petite statue des trois singes »

—Wikipédia

 Le Mahatma Gandhi, l’un des héros mondiaux les plus aimés

Mizaru, cachant ses yeux, ne voit pas le mal. 

Kikazaru, couvrant ses oreilles, n’entend pas le mal.

 Iwararu, recouvrant sa bouche, ne dit pas le mal. Ils incarnent tous les trois le principe proverbial. 

 Mais qu’est-ce que cela veut dire exactement ?

Prenons la première phrase :  »Ne pas voir le Mal ». Elle veut dire juste ce qu’elle dit :  »Ne pas voir le mal, » ou dédaigne le mal. Ne regarde pas le mal, ne l’observe ni ne sois séduit par lui, ne le désire pas, ne le laisse pas entrer dans ton système, pas même pour un seul instant.

Pourquoi non ?

Vous n’avez jamais bu du lait périmé ? Mangé de la viande avariée ? Du mauvais fromage ? Quand vous l’avalez, vous le digérez. Et quand vous le digérez vous en devenez malade. 

Votre corps l’absorbe, et quand votre corps réalise que ce n’est pas bon, il a besoin de l’expulser rapidement, d’une manière ou d’une autre.
C’est la même chose avec le mal. Quand nous voyons le mal, nous le digérons, et en le digérant le mal devient une partie de nous.
 Nous devons alors l’enlever d’une certaine façon, ce qui donne souvent un résultat négatif.
Pour beaucoup, cette idée de  »voir » le mal équivaloir à  »digérer » le mal peut sembler une ânerie. 

Mais il y a ici un puissant et profond principe à l’œuvre.
 Pour utiliser une comparaison simple, il y a un fait prouvé que voir la violence dans les médias (TV, films, jeux vidéo) nous fait penser et agir de manière plus violente :

 »Des milliers d’études depuis 1950 ont posé la question de savoir s’il y a un lien entre le spectacle de la violence dans les médias et un comportement violent

. Toutes, sauf 18 ont répondu oui.

 Une preuve écrasante venant de la recherche.

 La violence médiatisée peut contribuer à un comportement agressif, une désensibilisation vis à vis de la violence, des cauchemars et la peur des blessures.

 Regarder des émissions violentes est relié aussi à une moindre empathie envers les autres. »



Université du Michigan, système de santé



Voir de la violence nous fait agir avec plus de violence.

 Pareillement, quand nous  »voyons le mal », nous l’intériorisons.

 Et quand nous l’intériorisons, il devient une part de nous, ce qui veut dire en fait que le mal a besoin de faire son chemin. S’il n’a pas d’exutoire, le mal ravage nos corps et nos esprits.

L’ancienne directive de  »Ne pas voir le Mal » est une sage maxime qui cherche à nous protéger du mal en nous avertissant en premier lieu de ne pas le  »voir ».

Sculpture du 17ème siècle au-dessus de la porte d’un temple Toshogu à Nikko, Japon
 

La phrase suivante,  »Ne pas entendre le Mal », repose sur le même principe.

 Quand nous entendons le mal, il devient une partie de nous. Notre corps l’absorbe comme une éponge. 

À nouveau, c’est comme manger de la viande avariée ; le corps ne peut le supporter, et a besoin de l’évacuer.
 »Ne pas dire le Mal » est un peu différent. 

Voir et entendre représentent deux des cinq sens (avec le toucher, le goût et l’odorat). 

Mais parler n’est pas l’un des sens.

 Voir et entendre impliquent tous deux d’intégrer quelque choses dans le corps, alors que parler implique d’en sortir quelque chose. 

 Le principe  »Ne pas dire le Mal » est donc différent des deux autres.

 Dans un sens, on peut le voir comme le résultat des deux autres. En d’autres mots, si vous ne voyez pas le mal et n’entendez pas le mal vous ne direz pas de mal parce que vous serez purs.

 C’est la formule 1 + 1 = 2. La question est :pourquoi cette simple sagesse nous reste cachée ?  

Si bien cachée que de nombreux américains se moqueront de l’explication authentique des trois singes sages que je viens de présenter ? 

 Ceux qui se moquent devraient réaliser que cette sagesse est ancienne et on peut remonter 2500 ans en arrière pour ce code de sagesse suivi par de multiples civilisations évoluées en Chine, en Inde, au Japon et ailleurs. 

Sa sagesse a été adoptée par de grands penseurs comme Confucius :

 »Ne regarde pas ce qui est contraire à la droiture ; n’écoute pas ce qui est contraire à la droiture ; ne dis pas ce qui est contraire à la droiture ; ne fais aucun geste contraire à la droiture. » —Confucius, 500 avt JC

Nous trouvons des idées semblables dans d’autres religions éloignées et systèmes spirituels.

 

 

Un exemple en est le bouddhisme,  »Voie noble et juste » qui est la directive pratique du Bouddha pour un développement éthique et mental dans le but de libérer l’individu de la souffrance, des attachements et de l’illusion ; et qui conduit finalement à comprendre la vérité de toute chose :



Compréhension juste

Pensées justes

Discours juste

Action juste

Mode de vie juste

Effort juste

Conscience juste

Concentration juste



Dans l’ancien zoroastrisme (1200 avt JC), les mots  »Humata, Hukhta, Hvarshta, » exprimaient la principale idée de la religion. Ils définissaient la maxime  »bonnes pensées, bons mots, bonnes actions ».

Comme cette philosophie est simple et pure. Pour revenir d’un négativisme destructif, pour garder nos yeux des images et impressions qui ne sont pas constructifs pour notre croissance spirituelle.

Cette philosophie, qui a certainement été adoptée par Gandhi comme une vérité universelle, compare l’esprit à une feuille blanche, qui garde sa pure couleur quand elle est associée à ceux qui poursuivent des idéaux spirituels avec la même vision, qui refusent d’exposer leur esprit et l’esprit des autres à  »l’ordre inférieur des choses ».



Caché par l’Élite



Pourquoi, alors, les médias de masse propulsent-ils de plus en plus le mal sur nous ? 

Pourquoi sommes-nous bombardés de mal, de violence et de peur par tous les côtés ? 

Obligés de l’absorber, comme le lait périmé, la viande avariée et le mauvais fromage ?

Les films hollywoodiens deviennent de plus en plus tordus, maléfiques et sinistres.

 

Les films d’Hollywood nous obligent à violer l’ancienne maxime  »Ne pas voir le Mal »

Les jeux vidéo des enfants deviennent plus violents, sanglants, crus :

À gauche : photo d’un jeu vidéo pour enfant violent. À droite : les enfants réagissent à la violence de Columbine.

Les chaînes de télévision diffusent des programmes de plus en plus perturbants et imagés.

Des images et sons du mal venant de programmes TV sont stockés dans nos cerveaux. Quand le poste est éteint, ils hantent nos esprits – consciemment et inconsciemment – et rejaillissent en mauvais comportement

La musique est devenue plus violente avec les années, une bonne partie creuse, en termes de paroles, couvertures d’album, vidéos et art associé :

L’industrie musicale, possédée et distribuée par l’Élite, fait la promotion de la violence aux jeunes générations

Ajoutez à cela le poison qu’on est obligé d’ingurgiter avec les journaux d’informations à la TV et sur le câble.

 Les nouvelles chaque jour à la une sur toutes les chaînes se ressemblent :  »Dix morts, six enlèvements, quatre tués, deux assassinés, un brûlé, des bombes, le terrorisme arabe, la haine, la violence raciste, la corruption, les arrestations de masse, l’effondrement de l’économie, la guerre des sexes et al Qaida ».

 

Regarder les nouvelles à la TV ramène sur nous le mal, la violence, la peur et la négativité.

En regardant les nouvelles, nous voyons et entendons le mal tout le temps.

 Nous en sommes bombardés. Comment le ressentez-vous ? Triste, effrayant, nerveux, en colère, dépressif, etc.. D’accord ?

  Qu’en est-il maintenant si vous découvrez que ce Mal vous est destiné…exprès ?

 L’Élite fait vraiment cela exprès. Leur but est de déstabiliser la société et de nous empêcher d’avoir de l’énergie.

 En même temps, ils nous cachent l’ancienne sagesse des trois singes, nous dérobant vraiment le principal outil/enseignement dont nous avons besoin pour nous défendre.  

 

Comme de nombreuses grandes sagesses, l’ancien enseignement nous avertissant de ne pas voir, entendre et dire le mal a été subtilement mis à l’envers et il sert d’arme contre nous.

 La maxime a été transformée en outil de perversion –  »vois le mal, entends le mal, dis le mal » – un mécanisme de contrôle qui bloque la lumière, arrête la croissance spirituelle et entrave la noble et graduelle révélation d’une plus grande vérité, sagesse et réalisation spirituelles.

 

« Nous avons un quatrième frère, il n’admet pas le Mal, mais il a quitté le groupe pour une carrière politique »

Le mal qu’on nous a fait avaler de force fait beaucoup plus de dégâts qu’on ne l’imagine.

 Il a plus d’effet négatif qu’on ne le réalise.

 Il crée le cancer dans notre corps.

 Dans nos esprits. Nous sommes constamment exposés à un mal puissant et comme nous ne réalisons pas les dommages qu’il nous fait nous ne sommes pas conscients que nous essayons de le rejeter.

 Pire, nous sommes participants volontaires dans sa consommation, non par choix, mais parce que nous pensons que c’est normal, étant nés et ayant grandi dans la société, dans ce système. Nous ne réalisons pas qu’il a été conçu à dessein pour nous déstabiliser mentalement et physiquement, laissant le contrôle à l’Élite et maintenant les masses malades, réprimées, effrayées et serviles.



Se défendre



Que faire pour se défendre ?

Éteignez la TV ! Arrêtez de soutenir Hollywood ! 

Arrêtez d’acheter des tickets de cinéma ! N’achetez pas de journaux, ni de magazines. Résistez en ne regardant pas les nouvelles.

 

 Diffusez l’info et avertissez surtout les jeunes que le système est truqué, que le jeu a fait ’tilt’.

Prenez conscience qu’il y a de nombreux moyens positifs de rejeter le mal qui nous bouffe.
 L’exercice, la méditation, l’écriture, la lecture, la course à pied, le chant, le vélo. 
Dans l’antiquité les jeux olympiques ont été institués pour que les cités-états et les royaumes puissent exprimer la colère l’hostilité et le mal refoulés envers les autres par un moyen positif et même joyeux.

Les anciens organisaient des jeux olympiques pour canaliser de manière constructive le mal qu’ils ressentaient les uns pour les autres. Cette sagesse a été aujourd’hui perdue.

Oui, il existe un mal réel dans le monde (les terroristes avec des bombes, des meurtres, des lois qui enlèvent nos libertés et des difficultés économiques authentiques).

 Mais souvenez-vous toujours que le mal et la peur n’arrivent en réalité qu’en  »dehors » et non pas  »en » vous.

 Tout le négatif arrivant au dehors est hors de notre contrôle jusqu’à ce que nous puissions contrôler ce qu’il se passe en nous.

 Ceci commence avec le contrôle de nos sentiments et réactions aux événements extérieurs.

 Nous avons le pouvoir de changer ces événements et ce pouvoir réside dans un changement personnel. Ainsi, nous possédons chacun un immense pouvoir.

Dès que vous vous sentez apeuré, reconnaissez-le comme juste une pensée et demandez-vous consciemment : pourquoi ai-je peur ?

 La cause de ma peur est-elle une menace immédiate pour ma sécurité ou mon bien-être ?

 Si non, elle est alors complètement illusoire et devrait être éliminée. 

Nous sentons très souvent des choses que notre mental invente. Des choses qui peuvent arriver dans l’avenir, mais ne sont pas encore réelles pour nous. 

Si nous permettons à cette peur de persister, nous attirerons probablement les choses mêmes que nous redoutons.

 

 Repoussez ces pensées et concentrez-vous, en fait méditez, uniquement sur les choses positives que vous souhaitez voir arriver et non les résultats qui vous font peur.



En conclusion



L’ancienne signification authentique des trois singes sages a été censurée, bannie et éloignée de vous. Originaire de l’orient, la signification du symbole a été changée à l’ouest par les  »puissants qui ne devraient pas l’être » et aujourd’hui l’icône des trois singes sages présentent quelque chose qui est totalement étranger à sa nature.

Si vous souhaitez voir un réel changement dans votre vie, vous voudrez peut-être imprimer une photo du symbole des singes et la garder sur votre bureau ou dans votre voiture. Faites ainsi comme Gandhi. 


Traduit par Hélios du Bistro bar Blog
Trouve sur : http://leveil2011.syl20jonathan.net/

Aller plus loin : Le Jeu de la mort (Documentaire) [VF]