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samedi 19 avril 2014

Vol à l’intérieur de la Terre creuse

La Terre creuse

Vol à l’intérieur de la Terre creuse


19 Février 1947, l’amiral Richard E. Byrd

Quitte le camp de base arctique et a volé au nord


Que s’est-il passé sur ce vol ?

Pendant des années, les rumeurs ont persisté que sur son vol historique au Pôle Nord, amiral Byrd a volé jusqu’au Pôle dans une ouverture conduisant à l’intérieur de la Terre.
amiral Byrd

 A cet endroit il a rencontré des êtres évolués qui lui ont remis un message sobre à remettre à l’humanité vivant à la surface de la Terre.
A son retour à Washington le 11 mars 1947, Byrd fut interrogé minutieusement par les forces de sécurité supérieures et par une équipe médicale.
 Étant un militaire, Byrd senti qu’il devait coopérer.

Voici, du journal de bord secret et de l’agenda de l’amiral Byrd, le message censé avoir été entendu 45 ans auparavant !
Extraits de la Terre Creuse ( no ISBN )

“ Durant son vol artic de 1700 mille (2736 km) AU -DELÀ du Pôle Nord, il a rapporté par radio qu’il vit sous lui, non pas de la glace et de la neige, mais une région de terres composées de montagnes, forêts, végétation verte, lacs et rivières, et dans la brousse souterraine il vit un étrange animal ressemblant à un mammouth….”


En janvier 1956, l’amiral Byrd conduisit une autre expédition vers l’ Antarctique et là pénétra 2300 mille [3700 km] AU-DELÀ du Pôle sud. 
L’annonce à la radio à cette époque ( 13 janvier 1956 ) disait : “ Le 13 janvier, des membres de l’expédition américaine ont pénétré une région s’étendant 2300 mille ( 3700 km ) AU -DELÀ du Pôle. 
Le vol fut effectué par le contre-amiral George Dufek de l’unité aéronavale des États-Unis.” Byrd a dit le 13 mars 1956 : “ La présente expédition nous a ouverts une nouvelle terre très vaste.”
L’amiral Byrd a dit en février 1947, avant son vol vers le Pôle Nord : “
J’aimerais voir cette région au-delà du Pôle. Cette région au-delà du Pôle est le centre d’un grand inconnu. “

Extraits de :   Un vol vers la région Au-delà du Pôle Nord :

“ Je vous souhaite la bienvenue sur notre domaine, amiral. “ Je vois un homme avec des traits fins et avec les années gravées sur son visage.
 Il est assis à une longue table. Il me fait signe de m’asseoir sur une des chaises. Après que je fus assis, il joint les mains ensembles et sourit. 
Il parle doucement encore, et me transmet ce qui suit : 
Nous vous avons laissé entrer parce que vous avez un caractère noble et que vous êtes bien connu du Monde de la Surface, amiral. “


“ Le Monde de la Surface, “ dis-je le souffle à moitié coupé! “ Oui “ répondit le Maître avec un sourire, " vous êtes dans le domaine
 d’ Arianni, le Monde intérieur de la Terre. 

Nous ne retarderons pas longtemps votre mission et vous serez escorté sans risques à la surface et à bonne distance. Mais maintenant. Amiral, je vais vous dire pourquoi vous avez été convoqué ici.
 Notre intérêt commence véritablement après que votre race a fait exploser les premières bombes atomiques sur Hiroshima et sur Nagasaki au Japon. 


C’est dans ces temps alarmants que nous avons envoyé nos machines volantes, les «Flugelrads», dans votre Monde de Surface pour enquêter sur ce que votre race avait fait. “
 C’est, bien sur, de l’histoire ancienne maintenant, mon cher amiral, mais je dois continuer. 

Voyez-vous, nous ne sommes jamais intervenus auparavant dans vos guerres raciales, et vos barbaries, mais nous le devons, maintenant que vous avez appris à manipuler une certaine puissance qui n’est pas pour l’homme, à savoir, celle de l’énergie atomique. 


Nos émissaires ont déjà livré des messages aux puissances de votre monde, et elles n’y prêtent pas encore attention. Vous avez été maintenant choisi comme témoin que notre monde existe. Voyez-vous, notre culture et notre science sont en avance de plusieurs milliers d’années sur votre race, amiral. 

“ Je l’ai interrompu, mais qu’est-ce que ceci a à faire avec moi, Monsieur “

Les yeux du Maître ont semblé pénétrer profondément dans ma pensée et après m’avoir étudier un moment, Il répliqua, “ Votre race a maintenant atteint le point de non-retour, parce qu’il y en a parmi vous qui préférerait détruire votre monde plutôt que de renoncer au pouvoir tel qu’ils le connaissent…”


J’ai incliné la tête, et le Maître a continué. “ En 1945 et par la suite, nous avons essayé d’entrer en contact avec votre race, mais nos efforts ont rencontré de l’hostilité. 
Nos Flugelrads ont été la cible et même poursuivi avec malice et animosité par vos avions de chasse.


Aussi, je vous dis maintenant, mon fils, il y a une grande tempête qui sommeille dans votre monde, une fureur noire qui ne s’éteindra pas avant plusieurs années.

 Il n’y aura aucune réponse dans vos armées, il n’y aura aucune sécurité dans votre science. Elle peut faire rage jusqu’à ce que chaque fleur de votre culture soit piétinée et que toutes les réalisations humaines soient réduites à néant dans un vaste chaos.


“ Votre récente guerre n’était seulement qu’un prélude à ce qui est encore à venir pour votre race. 
Nous ici le voyons plus clairement d’heure en heure…. Dites-vous que je me trompe ? “
“ Non, “ répondis-je, “ il est arrivé une fois auparavant, les Années de Noirceur sont venues et ont duré plus de cinq cents ans. “ “ Oui, mon fils, “ répliqua le Maître, “ les Années de Noirceur qui vont venir maintenant pour votre race vont couvrir la Terre comme un linceul, mais je crois que quelques-uns de votre race survivront à la tempête, au-delà de cela, je ne peux dire.

 Nous voyons dans le lointain un monde nouveau émergent des ruines de votre race, cherchant ses trésors et ses légendes perdues, et ils seront ici, mon fils, en sécurité sous notre garde. Quand ce temps sera venu, nous viendrons à nouveau aider à revivifier votre culture et votre race.
“ Peut-être, alors, aurez-vous appris la futilité de la guerre et de ses querelles…. Et après cela, certaines de vos cultures et de votre science vous seront retournées pour renaître à nouveau. Toi, mon fils, tu dois retourner au Monde de la Surface avec ce message…”




Avec ces derniers mots, notre réunion a semblé terminée. Je me suis cru un moment comme dans un rêve… mais, pourtant, je savais que c’était la réalité, et étrangement, je me suis incliné légèrement, soit par respect, soit par humilité, je ne sais trop.



Soudain je me suis rendu compte que les deux hôtes magnifiques qui m’avaient amené ici étaient à mes cotés. “ De ce coté, amiral “ me mentionna l’un d’eux. 
Je me suis retourné encore une fois avant de quitter et j’ai regardé vers le Maître. Un sourire doux était dessiné sur son délicat visage âgé. “ Adieu, mon fils, “ dit-il, de sa main gracieuse et mince, il fit un geste de paix et notre réunion fut vraiment fini.

Rapidement, nous sommes retournés par la grande porte de la chambre du Maître et encore une fois nous sommes entrés dans l’ascenseur.
 La porte a glissé silencieusement vers le bas et nous avons immédiatement commencé à monter.
 Un de mes hôtes parla à nouveau, “ Nous devons maintenant nous hâter, amiral, puisque le Maître ne désire pas vous retarder plus longtemps sur votre cédule et que vous devez retourner avec son message vers votre race.”


De : Un vol au-delà du Pôle Nord; Le journal intime manquant de l’amiral Richard E. Byrd, Inner Light Publications, Box 753, New Brunswick, NJ 08903. $10.00

Les secrets des villes souterraines


Réseau d’ascension mondial
Stephen Spielberg, 
Récemment, l’ Amérique a regardé, du directeur de télévision Stephen Spielberg, une reconstitution du roman de Jules Verne, “ Voyage au Centre de la Terre. “ Une équipe de scientifiques non-conformistes à bord de leur vaisseau indestructible pénètre dans la Terre par un volcan en activité. Quand l’environnement se refroidit, ils découvrent et explorent une terre immense et ensoleillée …un monde magique et invitant avec suffisamment d’espace pour voler.

Leur aventure ressemble beaucoup au récit réel d’un marin norvégien nommé Olaf Jensen. Son histoire, se déroulant dans les années 1800, est racontée dans la biographie de Willis Emerson intitulée “ Le Dieu Fumant “. 

La petite embarcation de Olaf fut emportée si loin au nord par la tempête qu’il navigua au travers d’une entrée polaire et vécut deux ans dans une des colonies du réseau Agartha, appelée “ Shamballa the Lesser.


“ Il décrivit ses hôtes comme étant ceux du siège du gouvernement central pour le continent intérieur…mesurant un bon 12 pieds de hauteur… d’une grande courtoisie et montrant de la bonté…riant de bon cœur quand ils eurent à improviser des chaises pour mon père et moi-même pour que nous puissions nous asseoir. “ Olaf parle d’un soleil intérieur fumant, un monde formé de trois quarts de terre et de un quart d’eau.

Le réseau Agartha


Imaginé Shamballa the Lesser comme les Nations Unies de plus de 100 cités souterraines qui forment le réseau Agartha. 
Il s’agit, en fait, du siège du gouvernement pour le monde intérieur.
 Pendant que Shamballa the Lesser est un continent intérieur, ses colonies satellites sont de plus petits écosystèmes fermés situés juste sous la croûte terrestre ou cachés discrètement dans les montagnes.
 Toutes les cités du réseau Agartha sont physique et proviennent de la Lumière, signifiant qu’elles sont la tradition des grandes écoles de mystère de la surface, honorant des êtres tel Jésus/Sananda, Buddha, Isis et Osiris…tous les Maîtres Supérieurs que nous de la surface connaissons et aimons, en plus des professeurs spirituels de leur long héritage.


Pourquoi ont-ils choisis de vivre sous terre ? Considérez l’importance des changements géologiques de la Terre qui ont balayé sa surface au cours des 100,000 dernières années. Considérez la guerre interminable entre Atlantéen et Lémurien et la puissance de l’armement thermonucléaire qui a par la suite diminué et détruit ces deux civilisations hautement avancées. 
Le Sahara, le Gobi, l’arrière-pays australien et les déserts américains sont quelques-uns des exemples de la dévastation qui en a résulté. Les cités souterraines ont été créées comme refuge pour les gens et comme asiles sécuritaires pour les textes, enseignements et technologies sacrés qui étaient aimés par ces anciennes cultures.

Les Citées Capitales

POSID : Avant-poste primaire de l’ Atlantide, situé sous la région des plaines du Mato Grosso au Brésil
Population 1,3 millions
SHONSHE : Refuge de la culture Uighur, une section de la Lémurie qui a choisi de former sa propre colonie il y a 50,000 ans. L’entrée est gardée par une lamaserie himalayenne.
Population ¾ million
RAMA : Vestige de la ville extérieure de Rama, en Inde, situé près de Jaipur. Ses habitants sont reconnus pour leurs traits hindous classiques.
Population 1 million
SHINGWA : Vestige de la migration nordique des Uighurs. Situé près de la frontière de la Mongolie et de la China, avec une petite ville secondaire dans le mont Lessens, en Californie. La traduction de Telos signifie “ communication avec l’Esprit “.
Population 1,5 millions
Aperçu sur TÉLOS

Comment un million de personnes peuvent-elles construire leur maison à l’intérieur du mont Shasta? 
Pendant que nous nous creusons l’imagination, nos voisins japonais ont déjà dessiné les plans de villes souterraines pour répondre à leur problème de superficie. L’habitat de villes souterraines a été, pour des milliers d’années, un véhicule naturel pour l’évolution humaine. Voici maintenant un coup d’œil à un écosystème bien pensé.


Les dimensions de cette ville sous dôme sont d’environ 1,5 mille (2,4 km) de largeur par 2 milles (3,2 km ) de profondeur.
 Télos   est constituée de cinq niveaux

NIVEAU 1 : Ce niveau supérieur est le centre du commerce, de l’éducation et de l’administration. Le temple en forme de pyramide est la structure centrale et a une capacité de 50,000 personnes. 

Autour sont les édifices gouvernementaux, l’équivalent d’un palais de justice qui favorise un système juridique éclairé, des salles d’archives, d’arts et d’équipements de divertissement, un hôtel pour les émissaires étrangers en visite, un palais abritant le Ra et le Rana Mu ( le roi et la reine régnants de la lignée royale lémurienne qui sont les Maîtres ancestraux), une tour de communication, un port spatial, des écoles, des dépôts de vêtements et de nourriture et la plupart des résidences.

NIVEAU 2 : Un centre manufacturier ainsi qu’un niveau résidentiel. Les maisons sont de forme circulaire et de ce fait absentes de poussière. Comme en surface, les logements pour célibataires, couples et familles étendues sont la norme.

NIVEAU 3 : Des jardins hydroponiques. Une technologie hydroponique hautement avancée nourrit la ville entière, avec certains surplus pour le commerce inter-cité. Toutes les récoltes produisent des fruits plus gros et plus savoureux, des légumes et des produits du soya qui constituent une diète variée et plaisante pour les télosiens. 
Maintenant complètement végétariennes, les villes d’ Agartha ont atteint de nouveau standards concernant les substituts de la viande.

NIVEAU 4 : Plus de jardins hydroponiques, plus de manufactures et quelques parcs naturels.

NIVEAU 5 : Le niveau naturel. Situé à environ 1 mille ( 1,6 km ) sous la surface terrestre, cette région est un grand environnement naturel. 
Il sert d’habitat pour une large variété d’animaux, incluant plusieurs espèces en voie de disparition à la surface.
 Toutes les espèces se sont reproduites dans une atmosphère non-violente, et celles considérées comme carnivores à la surface apprécient les biftecks de soya et la présence humaine.
 Vous pouvez jouer vigoureusement avec un tigre “ Saber-Toothed “ avec une liberté sauvage. 
Ce niveau ainsi que les autres niveaux comportant des végétaux produisent suffisamment d’oxygène pour subvenir aux besoins de la biosphère.

Le Langage : Bien que les dialectes varient d’une cité à l’autre, “ Solara Maru “ qui se traduit par “ Langage solaire “ est couramment parlé. 
Il s’agit de la langue racine pour nos langues sacrées telles le Sanscrit et l’Hébreu.

Gouvernement : Un Conseil des Douze, six hommes et six femmes, conjointement avec Ra et Rana Mu règlent les problèmes collectifs et servent de guides et de gardiens pour le peuple.
 Les positions royales comme celles tenues par Ra et Rana Mu sont considérées comme responsables de conserver les aspirations du divin plan de Dieu. 
Le Grand Prêtre, un Maître ancestral nommé Adama est également un représentant officiel.

Ordinateurs : Le système informatique aghartien est à base d’acide-aminé et dessert de multiples fonctions. 
Toutes les villes souterraines sont reliées par ce réseau d’information hautement spiritualisé. Le système gère les communications inter-cité et galactique, et simultanément sert les besoins individuels à la maison. 
Il peut, par exemple, faire un rapport sur les déficiences en vitamines et minéraux de votre corps ou, si nécessaire, fournir l’information pertinente à partir de vos archives akashiques pour votre croissance personnelle.

Argent : Inexistant. Les besoins de base de tous les habitants sont pris en charge. Tout ce qui est luxe est échangé via un système sophistiqué de troc.

Transport : Trottoirs mobiles, ascenseurs inter-niveau et traîneaux électromagnétiques ressemblant à nos motoneiges sont utilisés dans la ville. 
Pour voyager entre les villes, les résidents utilisent “ Le Tube “, un système de métro souterrain électromagnétique capable de vitesse jusqu’à 3,000 m.p.h. ( 4,828 km/h ).
 Oui, les agarthiens sont bien au fait de l’étiquette intergalactique et sont membres de la Confédération des Planètes. 

Les voyage dans l’espace ont été perfectionnés ainsi que la capacité de changements interdimensionnels qui rendent les vaisseaux indécelables.

Divertissement : Théâtre, concerts et une large variété de domaines artistiques. Aussi, pour vous, Trekkies, les Holodecks. Programmez votre film favori ou un chapitre dans l’Histoire de la Terre et faites-en partie!

Naissance : Un trois mois sans douleur, au lieu de neuf.
 Un processus très sacré où, dès la conception, une femme va au temple pour trois jours, souhaitant immédiatement la bienvenue à l’enfant avec de la belle musique, de belles pensées et de belles images.
 La naissance dans l’eau accompagnée des deux parents est standard.

Taille : En raison des différences culturelles, la taille moyenne des citoyens souterrains varie. Généralement de 6’5’’ à 7’5’’ à Talos, à près de 12 ‘ à Shamballa the Lesser.

Âge : Illimité. La mort par dégénérescence n’est simplement pas une réalité dans Telos. 

La plupart des Agarthiens choisissent d’avoir l’apparence de 30 à 40 ans et en rester là, alors que techniquement, ils peuvent avoir des milliers d’années. En ne croyant pas à la mort, la société n’est pas limitée par elle. 
Après être parvenu à une expérience désirée, la désincarnation est possible à volonté.

Ascension : Absolument, et de façon plus facile et plus commune qu’à la surface. L’ Ascension est le but ultime de l’entraînement au temple.

Pourquoi sont-ils demeurés souterrains tout ce temps?
 En partie parce que les agarthiens ont appris la futilité de la guerre et de la violence et qu’ils attendent patiemment de notre part que nous en arrivions à la même conclusion. 
Ils sont des gens si gentils que même nos pensées jugeantes leur sont physiquement nuisibles.
Le secret a été leur protection. 
Jusqu’à maintenant, la vérité sur leur existence masquer par l’Esprit.
 Quand pourrons-nous les visiter? 
Nos entrées vers les cités souterraines dépendent de la pureté de nos intentions et de notre capacité de penser positivement.
 Un chaleureux accueil des deux mondes est idéal et doit être exprimé par plus que simplement une partie de la communauté.
Couramment, quelques centaines de braves des régions souterraines travaillent à la surface.
Afin de se confondre avec les masses, ils ont subi un changement cellulaire temporaire de sorte qu’ils n’émergent pas du reste des gens.
 Ils peuvent être reconnus par leur nature gentille et sensible et par un accent quelque peu mystérieux. 
Nous désirons vous présenter la princesse Sharula Aurora Dux, la fille de Ra et Rana Mu de Telos. 
Sharula a officiellement été nommée Ambassadrice auprès du monde de la surface par le réseau Agartha.
 Elle a 267 ans et en paraît 30. Cet article est une courtoisie de sa première expérience littéraire.
Son rôle d’ambassadrice est de préparer la voie au rapprochement des deux mondes…
d’apporter les idées, l’information et les nouveaux archétypes qui aideront à unir notre planète.
 Sharula est venu dans le but de présenter un plan pour des changements pacifiques à ceux qui veulent bien l’écouter.
 Les agarthiens sont arrivés à une étape où ils ne peuvent plus progresser spirituellement à moins que ce rapprochement s’accomplisse. Essentiellement, nous sommes une planète évoluant, pas une demi-planète. C’est la volonté de Dieu que nous franchissions ensemble l’étape suivante.







Le plus tôt nous parvenons à cette unité, le plus tôt la magie s’opérera. La Hiérarchie a fait de l’émergence des villes souterraines un projet prioritaire. Ils nous demandent de faire notre part en accueillant nos frères. La synchronisation dépend beaucoup de notre réceptivité et de notre condescendance. Un rapprochement réussi est évalué entre 10 et 20 ans.


Mes bien aimés, il n’y a rien à craindre et tout à gagner. Les bienfaits que les agarthiens nous apportent sont nombreux. Le secret de l’immortalité est un droit inné.
 La liberté de vivre dans l’abondance est également un droit inné. Vous n’avez pas vécu si vous n’avez pas goûté une tomate hydroponique et n’avez eu du plaisir sur l’ Holodeck.


Appendices :

Ce concept de terre Creuse peut sembler étrange à première vue, mais dans le contexte de OBE et du Voyage Astral, il devient plus compréhensible.
Ces vaisseaux des couches intérieures ( non-physique ou semi-physique ) contiennent aussi des formes de vie comme les vaisseaux astraux contiennent des entités astrales avec leurs propres villes et leur propre forme.

“ Semi-physique “ signifie, des corps sensiblement plus subtils que les nôtres, mais avec la capacité de vivre dans la matière.

Court fragment d’une discussion trouvée sur : alt.alien.visitor : StarWolf (roger.myhre@niva.no) 18 Mar 1995 écrit :

D’un autre coté, si la Terre était creuse, cela aurait été découvert depuis très longtemps. Sans le dernier siècle, plusieurs expéditions ont été menées au Pôle Sud, et aucune d’elles n’a fait rapport d’activité d’ OVNI, ni aucune ouvertures au Pôle Sud. Et nous pouvons oublier le Pôle Nord puisqu’il flotte sur l’eau, laquelle se situe sous la glace.

Mark Hammons (m-hamm@vm1.spcs.umn.edu) 22 Mar 1995 réplique :
La Terre est creuse dans la quatrième dimension. Dans cette perspective, la Terre existe comme un renflement. Il y a deux “entrées” qui correspondent dans le monde physique aux pôles nord et sud magnétiques. Notez que le pôle nord physique et le pôle nord magnétique sont différents quant à l’endroit, mais divergent en ce qui concerne leur similitude.

Lisez “Stalking the Wild Pendulum” de Bentov pour une explication facile de ce phénomène, lequel préconise une certaine mécanique de la conscience humaine plutôt qu’une réelle ouverture physique dans la croûte terrestre.

Extrait de “Erreur! Signet non défini. “ fourni par Jananda

Question:      Je ne sais pas si cela conviendra au sujet dont il est question, mais récemment, beaucoup de nouvelles sont sorties de la part de Walberg au sujet d’une Terre intérieure et des gens y demeurant, de l’amiral Byrd au début du siècle, d’entrées possibles aux pôles, et que ce gouvernement les aide. J’ai lu beaucoup de livres traitant de ce sujet dernièrement. L’information semble sortir. Y a-t-il quelques choses que je doive savoir concernant les êtres de la Terre intérieure? 

Réponse:     Il y a des êtres vivant sur cette planète dans la terre intérieure. Ils n’ont pas de corps physique. Quelques-uns uns d’entre eux ont un corps physique. Ils vivent actuellement dans la quatrième dimension. Il y a beaucoup d’êtres vivant dans la Terre intérieure. Vous ne les voyez pas. Nous avons un autre monde entier vivant autour de nous dans une autre dimension. Ils sont là. Il y a également un grand nombre de peuples dans la Terre intérieure.
Source : Ascension planétaire.com

La NASA et la Terre Creuse

De nombreux documents photos ramenés par les astronautes américains des missions Apollo successives, sont aujourd’hui classifiés Top Secret. Or, ces documents ne concernent pas uniquement la Lune. Certains concernent les pôles de la Terre. Voici par exemple une photo prise par l’équipage d’Apollo XI en juillet 1969, et qui est miraculeusement passée au travers des mailles des filets de la censure de l’administration américaine.





dossagar17bLe trou du pôle nord photographié par Apollo XI ( juillet 1969 )


Cette photo en apparence « anodine », révèle cependant la présence d’un trou noir à proximité du pôle nord. 

Ce trou noir semble absorber les nuages vers l’intérieur de la Terre.


Les calculs effectués à partir de l’échelle de la photo aboutissent grosso modo à un diamètre du trou d’environ 900 à 950 Km, soit une circonférence de 2900 à 3000 mètres. 
Si ce trou correspondait à une ouverture dans la calotte polaire, elle serait située à environ 86° de latitude Nord. Or on sait que des rapports d’explorateurs, dont les conclusions sont restées secrètes (celles de l’Amiral Byrd notamment) mentionnaient un trou de 716 Km, pour une circonférence de 2250 Km, et une ouverture dans la calotte polaire à partir de 86,8° de latitude Nord. 
Cette photo semble donc confirmer à peu de chose près les conclusions du livre de R. Bernard, " the hollow Earth " paru bien avant la première mission Apollo.


Par ailleurs, en regardant ce trou de plus près, on constate une dénivellation dans la hauteur des nuages visibles sur son pourtour. Le dénivelé correspond environ à la moitié du diamètre du trou, soit une épaisseur d’environ 400 km. 

Or on sait que lesplus hautes couches de nuages de l’atmosphère dépassent rarement une altitude de 50 000 pieds {soit 15 km}. Cela signifie que les nuages photographiés à l’intérieur du pourtour du trou sont à environ 385 km en dessous du niveau du sol !!!

Voilà pourquoi cette photo aurait dû faire partie de l’ensemble des documents de la NASA classifiés Top-Secret, car en démontrant l’existence d’un trou béant à l’extrême nord de notre planète, elle contredit toutes les données scientifiques habituellement acceptées par la science officielle.
 Il s’agit d’un trou tellement immense que l’on arrive même pas à en voir le fond ! Cette photo a été prise au mois de juillet, époque de l’année où il fait jour au Pôle Nord 24 heures sur 24 ; c’est pourquoi le trou dans les nuages est si clair et si visible. 

Or le fond de ce trou n’est pas blanc, comme devrait le refléter la couche de glace et de neige qui est supposée y rester 365 jours par an.
 Pourquoi ? simplement parce qu’il n’y en a pas. Et pourquoi n’y en a-t-il pas ? parce que ce trou communique avec le centre de la Terre qui est une région au climat tempéré et agréable en toutes saisons !

Signaux radio du centre de la Terre reçus par la NASA :



Le très sérieux journal canadien "Weekly World News" a publié le 14 février 1995 un article qui prouve à nouveau la théorie de la Terre creuse. 

Voici le titre de cet article : Cap Canaveral, Floride – La NASA reçoit des signaux radio qui viennent de l’intérieur de la Terre.

 Des experts pensent que ces signaux sont émis par une forme de vie intelligente et très développée.

Un haut responsable de la NASA qui ne veut pas dire son nom affirme dans l’article qu’il existe sous terre des êtres qui cherchent à entrer en communication avec nous.
 « Quels qu’ils soient, – dit-il – ils disposent d’une technologie qui est capable d’envoyer des signaux à travers l’écorce terrestre, des centaines de kilomètres de terre et de roche ».

Des scientifiques auraient perçu les premiers signaux le 30 octobre 1994, grâce à des satellites très sensibles. Depuis ce jour, les émissions se sont renouvelées à intervalles réguliers, déclare le responsable de la NASA.

 « Les signaux radio seraient composés d’un code mathématique très complexe, qui nous a convaincus que nous étions en contact avec une colonie d’êtres vivants dont l’intelligence est sans doute supérieure à la nôtre ».




 Il précise que les scientifiques n’ont pas eu trop de mal à déchiffrer les messages, mais il a refusé plusieurs fois de révéler ce qu’ils contenaient.

« Je ne dirais pas que les messages sont de nature hostile, mais leur contenu pourrait provoquer des controverses et des inquiétudes», ajoute-t-il. 

« Comme beaucoup d’éléments dépendent de l’interprétation, je suis d’avis d’attendre avant de déclarer quoi que ce soit qui pourrait mettre l’opinion publique dans un état d’excitation et d’anxiété ».

L’informateur continue en expliquant que les scientifiques de la NASA sont frustrés par le fait qu’ils n’ont pas réussi à localiser cette « civilisation souterraine », et qu’ils ne sont pas en mesure, avec la technologie dont ils disposent, de répondre aux messages.

 « Ils en savent plus sur nous, que nous sur eux. Ils ont ainsi trouvé un moyen de communiquer avec nous, de façon régulière; nous, par contre, ne savons mêmes pas comment les joindre. Leurs messages montrent qu’ils ont des connaissances étendues sur la vie à la surface de la Terre, alors que nous n’avons pas d’explications sur la possibilité du développement et de la survie d’une vie intelligente dépourvue d’oxygène et de soleil» 

- remarque (Note d’O.D.R. : à moins que la Terre ne soit creuse, qu’il n’y ait à l’intérieur une source d’énergie et de lumière, et de l’oxygène en abondance, comme cela a été confirmé par Omraam Mikhaël Aïvanhov et de nombreux clairvoyants).

Le responsable de la NASA ajoute que les scientifiques estiment que cela pourrait être la découverte la plus importante et la plus retentissante depuis des siècles. 

Et l’article finit par cette phrase : « Nous avons longtemps espéré devenir les maîtres de l’univers; maintenant nous reconnaissons qu’il existe des territoires inexplorés à l’intérieur même de notre planète, ce qui pourrait être de première importance pour notre avenir ».

Que contiennent réellement ces messages ?

 Pourquoi la NASA se sent-elle mal à l’aise de révéler à l’opinion publique qu’elle est en communication avec l’intérieur de la Terre?

 Quelles sont les exigences contenues dans ces messages qui poussent la NASA à refuser d’en parler ?

 Comme les messages ne semblent pas hostiles, ils ne peuvent donc pas mettre sérieusement les populations en danger. Ce sont donc une fois de plus les forces politiques et économiques qui se sentent menacées et qui imposent leur veto à la diffusion de l’information.

 C’est certainement la raison pour laquelle les scientifiques ont soi disant « besoin de temps pour interpréter correctement » les messages souterrains, avant qu’ils ne soient rendus publics.

Tout cela rappelle étrangement les aventures de l’amiral Byrd, au cours de son vol du 19 février 1947 dans la région polaire, et ce qu’il lui est ensuite advenu, quand il a voulu publier les messages des habitants du Centre de la Terre.

Mais, contrairement à ce qui s’était passé à cette époque, où l’on l’avait réduit au silence en ridiculisant la théorie très ancienne de la Terre creuse, les scientifiques semblent aujourd’hui vouloir préparer l’humanité pas à pas à la réalité d’une Terre Creuse. 

C’est aussi un acte d’humilité qui leur est demandé, car indirectement, cela les amènera à admettre que la théorie du noyau terrestre ferrugineux en fusion qu’ils ont soutenue depuis des décennies ne tient pas.

Mais pour le moment, chacun continue à mentir, y compris le responsable de la NASA cité dans l’article, puisqu’il affirme que « nous n’avons aucun moyen de communiquer avec cette civilisation. » 

D’autres sources affirment pourtant que ces êtres essaient au contraire depuis longtemps de faire comprendre à nos dirigeants que le surarmement et l’énergie nucléaire peuvent signifier notre perte, ce qui implique que des échanges ont bien eu lieu et que s’ils en avaient la possibilité, les êtres de la Terre Creuse ne se contenteraient pas d’une communication à sens unique. 

En réalité, ce mensonge de la part de la NASA la dégage de la responsabilité de publier toute information à ce sujet.
Apparemment, la civilisation souterraine n’est pas seulement plus développée que la nôtre, elle connaît également les conditions qui règnent dans notre monde, et elle est capable non seulement d’envoyer des messages codés que la NASA n’a aucun mal à déchiffrer, mais également de recevoir la totalité des informations émises depuis l’ensemble la surface de notre planète.

Expédition de l’Amiral Byrd :




Si vous tenez à vérifier par vous-mêmes, pour la modique somme de 18.950 $ vous pourrez vous joindre à l’expédition « voyage to our Hollow Earth » pour le pôle Nord, en 2006 !
Quelques liens en vrac (sur lesquels je décline toute responsabilité) :

vendredi 18 avril 2014

Les. Americains auraient ils descendu le vol MH 370. ??





J'ai reçu ce message de la part d'un ami.
Je tiens à vous en faire part car  le scénario décrit
En vaut bien un autre .
Dommage  que l'auteur est resté anonyme .

Les Pléiades


Écrit par un ancien pilote : intéressant !


Bonjour,

Je me prends aujourd'hui pour Sherlock Holmes, la disparition
mystérieuse de l'avion de la Malaysian Airlines m'intrigue, je ne suis certainement pas le seul à réfléchir à cette affaire.

Mon pif me dit que le mystère du Boeing 777 de la d Airlines est à la veille d'être dévoilé, mais partiellement.
 J'y ai bien réfléchi, depuis le début j'avais des soupçons et certains
 indices les confirment actuellement.



Les autorités malaisienes et américaines nous donnent les informations au compte-goutte. À présent elles confirment ce qu'elles savent depuis le début, à savoir que c'est un pilote expérimenté qui a délibérément détourné l'avion de son
trajet et l'a amené en direction de l'Ouest au lieu du Nord comme il
 était prévu.






On nous confirme aujourd'hui que l'avion a volé durant 7 heures avant que tout contact soit interrompu.

Les américains disent qu'il avait pris une direction l'amenant au Sud de l'océan indien. Or qu'y a-t-il dans cette région qui pourrait intéresser un pirate de l'air ou un pilote musulman fanatisé?
La réponse la plus limpide et la plus évidente est l'île de Diego Garcia.




Et qu'y a-t-il sur cette île: une grosse base américaine qui abrite un aéroport pour les bombardiers stratégiques B1 et B52, les mêmes qui ont bombardé à  partir de cette base les talibans en octobre et novembre 2001.


On y trouve des bombes thermonucléaires également.



 


Moi je pense que le pilote djihadiste, sans doute le capitaine (très
expérimenté) et probablement le copilote plus jeune mais sans doute fanatisé lui aussi, avaient pour mission une opération suicide contre ladite base, compte tenu de la distance l'avion l'aurait atteint à l'aube.

Les américains ont été mis au courant dès le début du détournement de l'avion, ils ont sans doute suivi son trajet et quand ils ont compris qu'il s'en allait droit sur la base de Diego Garcia      ils n'ont eu d'autres choix que de l'abattre.

J'imagine qu'ils ont   tenté à plus d'une reprise de forcer le pilote à changer de trajet  mais en vain.

 Le cinéma monté sur toute cette affaire a pour but de gagner du temps :

1.       Faire croire à la thèse d'un accident d'ordre technique au
 début et par la suite à la thèse d'un détournement sans raison
 apparente


 2.       Récupérer rapidement pour les cacher les débris de l'avion,
 et les  boîtes noires pour en tirer le plus d'informations possibles



 3.       Evaluer l'étendue de l'infiltration d'al Qaeda dans le staff
 des pilotes et des techniciens de la Malaysian Airlines

 4.       Retarder d'au moins une semaine les recherches officielles
 dans l'océan indien et faire en sorte qu'elles se fassent loin de
 Diego Garcia.

 5.       Préparer le plan de communication conjointement avec les
 chinois et les malais, à savoir qu'il s'agit d'un détournement d'avion sans but apparent, l'avion à bout de carburant se serait abîmé dans l'océan indien.

 6.       Last but not least exonérer l'islam de toute responsabilité



Il est sans doute difficile pour les américains de reconnaître
 ouvertement avoir abattu un avion civil pour protéger leur base, même si les passagers à bord étaient de toutes façons condamnés à mourir.
 L'odieux tomberait inévitablement sur les américains, on n'arrêterait  pas de dire que le pilote s'est simplement égaré, qu'il ne savait pas  trop où aller, qu'il cherchait un aéroport où atterrir, que son système de communication est tombé en panne, etc. Bref l'acte
 terroriste se transformerait en erreur de navigation et la destruction
 de l'avion par les américains en crime contre l'humanité.


Le public chinois et le public malais ne l'accepteraient pas et les
gouvernements chinois et malais se sentiraient obligés de protester et de condamner les Etats-Unis.


 Bon tout ça n'est qu'une théorie, on ne saura pas ce qui est arrivé au juste.

 Si al Qaeda n'a pas revendiqué l'attentat manqué, c'est qu'elle ne
 veut pas ébruiter l'étendue de son infiltration des compagnies
 aériennes, elle prépare sans aucun doute d'autres attentats.

 Donc prudence, il est préférable de ne pas voler sur des compagnies aériennes islamiques !!!



A vous de voir .....Une théorie qui en vaut bien une autre...

jeudi 17 avril 2014

Un éclairage électrique dans l'Egypte antique ?( 2/2)


  Un éclairage électriquedans l'Egypte antique ?


Cet étrange bas-relief dans une des chambres souterraines de Denderah, ressemble à une grosse ampoule électrique. Cet artefact est à rapprocher de la pile de Bagdad.    Ces bas-relief dans le Temple d'Hathor à Denderah, laissent à penser que l'Egypte antique connaissait peut-être l'éclairage électrique.
Bas-reliefs des chambres souterraines du Temple d'Hathor à Denderah en Egypte.
montrant d'étranges objets d'apparence technique.

Le bas-relief ci-dessus, une fois reconstitué, montre la structure de cet étonnant objet technique qui ressemble à une grosse ampoule électrique.    Le bas-relief ci-dessus, une fois reconstitué, montre deux objets étranges ressemblant à un système d'éclairage de l'Egypte antique.
Cette reconstitution des bas-reliefs de Denderah montre l'étonnante structure
de ces objets ressemblant à un étrange système d'éclairage.

les lampes de Denderah

Dans les chambres souterraines du Temple de la déesse Hathor à Denderah en Egypte, on trouve sur les murs de curieux bas-reliefs représentant des objets techniques ressemblant étrangement à de grosses lampes électriques. Dans l'Egypte antique, le nom d'Hathor signifiait « demeure du Soleil ». La métaphore est donc claire. Hathor symbolisait la lumière et l'énergie.

Le temple de la déesse Hathor à Denderah en Egypte, aurait été construit vers l'an 1000 avant Jésus-Christ.

Le Temple de Denderah aurait été construit il y a environ 3000 ans.
Il n'a jamais été achevé, mais Grecs et Romains l'ont modifié en 54 av JC.
On y vénérait la déesse Hathor dont le nom allégorique signifie « demeure du Soleil ».


Ces étranges bas-reliefs de Denderah, montrant d'inexplicables artefacts, sont à rapprocher d'un autre antique artefact : la pile de Bagdad. Peut-on en conclure que certains initiés (prêtres, pharaons, rois, dignitaires,...) des civilisations antiques de l'Egypte et de la Mésopotamie possèdaient une certaine technologie électrique qui faisaient partie de leur savoir caché ?

L'électricité, un savoir caché de l'Egypte antique


La connaissance de l'électricité par les civilisations antiques est basée sur des fondements modernes solides. C'est ainsi que dans l'antiquité grecque, l'ambre jaune (en grec êlektron) a donné son nom à l'électricité, et a permis de découvrir les effets électrostatiques.
Cependant, les anciens grecs ne sont pas allés au delà de ces effets électrostatiques, alors que l'Egypte antique semble avoir eu un savoir caché en ce domaine si l'on considère les inexplicables artefacts de Denderah, et aussi les déclarations de Solon et Platon sur les Premiers Temps de l'Egypte. D'ailleurs les quelques savoirs technologiques des anciens grecs semblent issus de ceux de l'Egypte antique. Tout semble indiquer que ces connaissances ésotériques faisaient partie des secrets dont l'élite des prêtres d'Héliopolis avait la garde, et dont les textes des temples et des pyramides ne parlent que sous forme de métaphores et d'allégories.
Le message ésotérique des bas-reliefs de Denderah


Mais quel message ésotérique les anciens égyptiens ont-ils laissés à travers ces étonnants bas-reliefs de Denderah ? Que voit-on exactement si on les regarde avec l'oeil de celui qui possède une culture technique ?

L'omniprésent dieu Anubis (1) à tête de chacal ou de chien (dieu du passage vers l'autre monde) semble présider la scène. S'agit-il du dieu ou du Chef des prêtres revêtu du masque d'Anubis et surveillant l'opération ? On voit ce qui ressemble fortement à une énorme lampe (6) dont la taille, par rapport à l'égyptien (4) qui la tient (les égyptiens avaient une taille moyenne d'environ 160 cm, si l'on en croit les momies et les sarcophages), est d'environ 230 à 250 cm de long sur 50 à 70 cm dans son plus grand diamètre. Un « fil électrique » (8) part de la « cathode » de cette lampe et va vers une sorte de « boîtier d'alimentation » (10) sur lequel le dieu Amon-Rê ou Amon-Râ (2), lumière cachée, est assis.
Le dieu Amon-Rê supporte la lampe avec l'aide de Nehebka, la déesse de la magie (3). Ils se trouvent de part et d'autre de ce qui ressemble étrangement à un isolateur haute tension, le pilier Djed (9). Sur le haut de cet isolateur se trouve une « anode haute tension ». Les deux dieux, Nehebka et Amon-Rê de part et d'autre de cette anode, ne semblent pas affectés par la magie de l'électricité. Le « serpent dont la morsure de feu est mortelle » (7) est enfermé en toute sécurité dans cette grosse lampe (6), sous contrôle humain (4).

Comment ces bas-reliefs sont-ils décrits traditionnellement ?


Ces bas-reliefs embarrassent les égyptologues qui les considèrent comme obscurs. Pour eux il s'agit du « culte du serpent ». Toutes ces représentations ne sont que des symboles religieux et rien de plus. On voit donc avec cette interprétation que le savoir ésotérique des prêtres égyptiens antiques est bien protégé. La compréhension de certains bas-reliefs et textes antiques, considérés comme obscurs par les égyptologues, serait donc peut-être seulement un problème de culture technique.




Un essai de décodage des métaphores et des allégories des inscriptions
Qu'en conclure ? Doit-on regarder les messages (hiéroglyphes, inscriptions, bas-reliefs, monuments) de l'antique Egypte uniquement avec un oeil d'égyptologue traditionnel ? Il ne faut pas perdre de vue que l'égyptologie traditionnelle est une discipline relativement récente qui date de la fin du 18ème siècle (fondation de l'Institut d'Égypte par Bonaparte en 1798), et qui a été, aux 19ème et 20ème siècles, l'apanage très fermé de quelques spécialistes.

Comme on le voit dans le tableau comparatif ci-dessus, la compréhension des métaphores et des allégories des inscriptions du Premier Temps est peut-être avant tout un problème de culture technique. L'évolution scientifique et technique du 21ème siècle nous permet maintenant de porter un nouveau regard sur ces messages.
L'égyptologue traditionnel admire et étudie ces messages comme on admire et on étudie un tableau. L'égyptologue de terrain les découvre d'une façon très physique en faisant des fouilles avec pelle, truelle et pinceau en mains. Ces messages ont un sens souvent obscur et les seuls outils disponibles pour les décoder sont d'une part la pierre de Rosette (qui n'a pas permis de traduire correctement tous les textes, notamment plusieurs textes d'Abydos, d'Edfou, et de Denderah qui restent obscurs) et d'autre part un certain nombre de bâtiments, d'objets, de maquettes, et d'inscriptions sur mur, stèle, sarcophage et papyrus qui lui permettent de faire des hypothèses et d'avancer des explications. Mais ces hypothèses et ces explications sont-elles les seules valables dans tous les cas ?
Les étranges « machines » de Denderah sont elles des systèmes d'éclairage antiques ? Est-ce ainsi que l'Egypte antique éclairait l'intérieur de ses Temples et de ses Pyramides ? Ou bien, du fait de la présence d'Anubis et du pilier Djed, serait-ce un étrange « processus technique » de résurrection ? Qu'en conclure ?

Un éclairage électrique dans l'Egypte antique ?

Dans la vie courante, on sait que les anciens égyptiens employaient des lampes à huile ou des torches, qui laissaient des traces de suie et autres résidus gras de combustion sur les murs et les plafonds.
Mais dans les tombeaux de la vallée des rois, tel que par exemple celui de Seti II, creusé dans la montagne sur plus de 100 mètres, on ne trouve aucune trace de suie sur les murs ou les plafonds qui sont tous peints et gravés dans la roche. C'est la même chose dans les tombeaux des artistes réputés et des hauts fonctionnaires qui étaient enterrés près des rois. Dans la photographie ci-dessous, qui montre l'intérieur du tombeau de Sennedjem, « gardien de la Place de la Vérité », les fresques ne présentent aucune trace de suie et sont d'une extraordinaire fraîcheur.


L'intérieur du tombeau de Sennedjem, gardien de la Place de la Vérité, montre des fresques sans traces de suie et d'une extraordinaire fraîcheur.

A Thèbes, l'intérieur du tombeau de Sennedjem,
montre des murs et un plafond sans traces de suie
ou autres résidus gras de combustion,
et les fresques sont d'une extraordinaire fraîcheur.

Alors comment ont-ils fait ? Connaissaient-ils réellement le principe de l'éclairage électrique et l'utilisaient-ils dans la vie courante, ou était-ce réservé uniquement aux prêtres et aux initiés ? Avaient-ils découvert ce savoir technique par eux-mêmes ou le tenaient-ils d'une autre civilisation plus ancienne encore ?
Certains chercheurs ont émis l'hypothèse qu'ils s'étaient simplement servis de miroirs pour réfléchir la lumière du soleil à l'intérieur des couloirs profonds et des salles souterraines. Malheureusement on ne peut pas retenir cette hypothèse. Les miroirs d'argent des égyptiens ne pouvaient refléter au mieux que 40% de la lumière, ce qui fait qu'après l'utilisation de quelques miroirs seulement, l'obscurité reprend sa place.
D'autres chercheurs disent que l'on trouve des traces de suie et autres résidus gras de combustion sur les murs de certains monuments, comme c'est le cas, par exemple, à Denderah. Ce n'est pas une preuve en soi, ni dans un sens ni dans l'autre. Nombreux sont les monuments de l'Egypte antique qui ont été visités et pillés au cours des siècles à lueur de torches et de lampes à huile. Ces traces, quand elles existent, sont donc à mettre plus sur le compte des visiteurs et des pilleurs que sur celui des bâtisseurs.

Avaient-ils la technologie nécessaire pour le faire ?

Peut-on donc raisonnablement supposer qu'il existait une sorte d'éclairage électrique dans l'Egypte antique et que les égyptiens du Premier Temps d'Horus avaient la technologie nécessaire pour le réaliser ? Si oui, comment ont-ils pu produire ces grosses ampoules et y faire le vide ? (si tant est, évidemment, qu'il s'agit bien d'ampoules de verre dans lesquelles on aurait fait le vide).
Dans la pyramide de Dahshur, construite par Snefru (2613 à 2589 avant JC), on aurait trouvé, au niveau des fondations, une grosse dalle de verre fabriquée artificiellement, et dont le poids a été évalué à 35 tonnes. Cette dalle pourrait apporter la preuve que les anciens égyptiens savaient travailler d'importantes masses de verre.


La question est donc de savoir si les « lampes » de ces étranges bas-reliefs de Denderah pouvaient fonctionner et étaient réalisables avec les moyens de l'Egypte des Premiers Temps ? Différents chercheurs, électriciens ou électroniciens, ont étudié ces bas-reliefs et ont démontré qu'ils pouvaient fonctionner comme des lampes.
Deux chercheurs, W. Garn et Erich Von Däniken, ont même réalisé une maquette de ces lampes en laboratoire. Cette maquette fonctionne comme on peut le voir sur les photographies ci-dessous.


La lampe de Denderah a été reconstruite en laboratoire.  La haute tension est appliquée entre cathode et anode.  Une lumière rose-violette apparaît dans l'ampoule.

Une « lampe de Denderah » a été reconstruite en laboratoire,
prouvant ainsi qu'une telle lampe pouvait fonctionner.
Malheureusement l'éclairage obtenu est faible
et l'énergie électrique nécessaire pour le rendre efficace serait importante.

Cette lampe ainsi reconstituée reste cependant une maquette. Bien sûr elle ressemble aux bas-reliefs de Denderah, mais elle est beaucoup plus petite et c'est ce qui a permis sa réalisation. Comme nous l'avons montré plus haut, la taille des lampes de Denderah (par rapport à l'égyptien représenté sur le bas-relief et qui sert de référence) doit être de l'ordre de 2 à 2,50 mètres de long sur 50 à 70 cm de diamètre. La maquette ne fait qu'environ 60 cm de long sur 20 cm de diamètre.
Cette maquette est assimilable à une lampe fluorescente remplie d'un gaz sous basse pression. La lumière violette est produite par la décharge électrique dans le gaz. C'est une expérience que l'on fait en dernière année dans les écoles, en travaux pratiques de physique, avec des tubes formés d'une ampoule contenant un vide suffisant (tube à vide) ou un gaz ionisé (tube à gaz) et deux électrodes qui émettent un faisceau électronique sous l'action de la haute tension qui leur est appliquée.
Sur le bas-relief de Denderah, comme sur la maquette, l'une des électrodes est située dans le culot (en forme de fleur sur le bas-relief), et l'autre est constituée par les deux petits bras du pilier isolateur émergeant dans l'ampoule. Cependant, le faisceau de lumière qui apparaît entre les électrodes de la maquette ne ressemble pas vraiment au serpent filamenteux du bas relief. De plus, la lumière produite est très insuffisante pour fournir un système d'éclairage valable, car elle n'est vraiment visible que dans une chambre obscure. Cette expérience, bien que très intéressante, ne démontre pas pour l'instant qu'il pourrait s'agir d'un système efficace d'éclairage de l'Egypte antique.

Le mystère reste entier ! ...

Qu'en conclure ? Ce ne sont peut-être pas des lampes, ou le problème est peut-être mal posé. D'autant que l'on trouve sur les murs de Denderahdifférentes sortes d'ampoule. Certaines ont les deux petits bras du pilier isolateur émergeant dans l'ampoule, d'autres sont « branchées » au milieu du pilier, d'autres encore ont ces deux petits bras (représentant l'indispensable anode) hors de l'ampoule. Tout se passe comme si le sculpteur, qui a réalisé ces bas-reliefs, ne comprenait pas vraiment ce qu'on lui avait demandé de représenter ...





L'un des bas-reliefs de Denderah en Egypte, redessiné pour une explication détaillée de ses différents éléments.
   1 : Anubis (dieu du passage).
   2 : Amon-Rê (lumière cachée).
   3 : Nehebka (déesse de la magie).
   4 : Egyptien (taille: environ 160 cm).
   5 : Petits dieux servant de support.
   6 : Lampe? (taille: 240 cm x 60 cm).
   7 : Lumière? (serpent de feu).
   8 : Fil électrique? (queue du serpent).
   9 : Isolateur? (pilier Djed).
 10 : Alimentation? (autel).

Comparaison de deux descriptions des « lampes de Denderah »
TECHNIQUE
La « lampe » vue par un électronicien
TRADITIONNELLE
La « lampe » vue par un égyptologue
L'électronicien du 21ème siècle donnera la description de ce qu'il voit: « C'est une étrange lampe électrique. Par rapport à l'égyptien qui la tient (taille entre 1,50 et 1,60 mètres) ses dimensions sont d'environ 2 à 2,50 mètres de long sur 50 à 70 cm dans son plus grand diamètre. Tout ceci ressemble à un énorme système d'éclairage inconnu. »
Une lampe à incandescence de notre époque.  Une lampe halogène de notre époque.
Ces deux lampes de notre époque,
à incandescence à gauche,
halogène à droite,
ressemblent étrangement
à la « lampe de Denderah » ci-contre.

Les égyptologues traditionnels, qui n'ont pas une vision technique, décriront la scène de la façon suivante: « Tout ceci est symbolique: c'est le culte du serpent. Le serpent est le symbole du soleil levant, du feu cosmique. La lampe est le symbole du ciel matinal. Les personnages les entourant sont des représentations de l'éternité. ».
La lampe de Denderah.
Cet objet dit du « culte du serpent »
ressemble étrangement aux lampes ci-contre.

L'électronicien du 21ème siècle ajoutera qu'il voit: « un fil électrique partant du culot (en forme de fleur) de la lampe et allant vers une sorte de boîtier d'alimentation »
Pour fonctionner une lampe de notre époque doit être alimentée par une source d'énergie.
Cette lampe de notre époque a besoin
pour fonctionner d'être raccordée à une « alimentation » électrique.
Les égyptologues traditionnels diront que: « le dieu serpent est dans le ciel matinal et que sa queue sort de cet espace pour aller dans l'autel sur lequel est assis Amon-Rê ».
La lampe de Denderah.
Le dieu « serpent avec sa queue »
connectée à l'autel d'Amon-Rê
ressemble au branchement ci-contre.
L'électronicien du 21ème siècle ajoutera encore: « entre le dieu Amon-Rê (ou Amon-Râ) à droite, et la déesse de la magie Nehebka à gauche, se trouve un étrange support qui ressemble curieusement à un isolateur haute tension de notre 21ème siècle ».
Un isolateur haute tension d'aujourd'hui.   Un isolateur haute tension d'aujourd'hui.   Un isolateur haute tension d'aujourd'hui.
Trois isolateurs haute tension d'aujourd'hui
à comparer avec le pilier « Djed » ci-contre.
Les égyptologues traditionnels diront encore que: « ce qui touche le serpent, c'est le pilier Djed, assimilé à la colonne vertébrale d'Osiris, siège du fluide vital. Ce pilier représenterait un arbre aux branches coupées jouant un rôle dans les rites de fertilité ».
Le djed ou arbre-pilier de Denderah.
La métaphore de l'arbre-pilier aux branches coupées cache peut-être un savoir technique.
L'électronicien du 21ème siècle résumera ainsi cette description: « Ce que nous voyons est donc, probablement, une sorte de grosse lampe électronique ayant sur le côté gauche une cathode sur laquelle arrive un fil d'alimentation, et sur le côté droit une anode constituée par deux bras montés sur un isolateur haute tension.
La taille de cet isolateur haute tension et le nombre de ses anneaux d'isolation, permettent théoriquement d'estimer la tension qui pourrait être de l'ordre de 12 à 48 kilovolts (4 anneaux de 3 à 12 kilovolts), peut-être même plus. Entre la cathode et l'anode apparaît, sous la forme d'un serpent, une décharge électrique provoquée par la haute tension présente entre ces deux électrodes. »
Les égyptologues traditionnels donneront probablement le résumé suivant: « Ce bas-relief est symbolique. Il représente, sous forme allégorique, un culte égyptien très ancien, celui du serpent. Le serpent est le symbole du soleil levant, du feu cosmique, et surtout il est le symbole de l'autorité du pharaon. C'est une divinité des Premiers Tempsde l'Egypte.
Le dieu serpent, dont la morsure de feu est mortelle, est dans le ciel matinal et sa queue sort de cet espace pour aller rejoindre l'autel d'Amon-Rê accolé au pilier Djed. Les 4 barres horizontales du pilier sont les vertèbres cervicales d'Osiris, dieu de la fécondité, de la résurrection et de la stabilité ».

L'Egypte des Premiers Temps connaissait l'industrie du verre soufflé.
Par ailleurs, il semblerait que l'Egypte des Premiers Temps connaissait l'industrie du verre soufflé. Cette industrie antique aurait été très florissante, au temps des pharaons, dans la ville secrète de Tantah (située entre le Caire et Alexandrie). Cependant, l'invention du verre lui-même est attribuée, soit aux Phéniciens, soit aux Egyptiens (les Phéniciens n'auraient été, dans ce dernier cas, que de simples propagateurs).

Selon certaines théories récentes, l'origine de l'industrie antique du verre serait mésopotamienne. De Mésopotamie elle serait ensuite passée en Egypte pour revenir à nouveau en Mésopotamie, au gré des évolutions historiques et politiques de ces pays.



Feyd Harkonnen