Une piqûre de rappel à l’usage des nouveaux arrivants.

Le siège de « Bank of America » de la ville de Charlotte en Caroline du Nord contient 3 fresques remplies de symboles occultes. 

Construites sur le même modèle que celles de l’aéroport de Denver, elles décrivent les différentes phases que l’humanité va traverser avant l’établissement du fameux nouvel ordre mondial.
Ces fresques exposent donc « caché à la vue de tous », le plan final des mondialistes. 

Apparemment, ils semblent penser que le commun des mortels est incapable de décoder des oeuvres dont eux seuls détiennent les clefs. 

Ou bien s’agit il peut être de narguer les chercheurs de vérité tout en sachant pertinemment que le public ordinaire n’est pas réceptif aux messages symboliques. 
Dans tous les cas, une analyse s’impose.
Tout d’abord, nous pouvons observer que les tableaux décrivent chacun 3 époques différentes 
:  L’ére actuelle, celle des bouleversements et celle de la reconstruction.
 Ils se lisent donc de droite à gauche alors qu’en principe c’est dans le sens inverse.
 Cette inversion est la marque de ce que la Tradition appelle  » la contre-initiation  » autrement dit le satanisme.

 D’ailleurs beaucoup d’oeuvres artistiques sataniques dégagent un sens caché quand elles sont lues à l’envers. 
C’est le cas par exemple de certains discours de Barack Obama où le slogan
 « Yes We Can » ponctué à chaque phrase devient « Thank You Satan« .

 On a donc affaire à un message des abysses comme le confirmera le décryptage symbolique.

Le premier tableau en partant de la droite contient le symbole maçonnique du sol en forme de damier.
 Il représente un endroit où se rencontrent l’ombre et la lumière, en d’autres termes  les forces du monde occulte et celles du monde terrestre.
 D’autres symboles maçonniques sont visibles comme la pyramide égyptienne et un escalier qui monte de la Terre au ciel, ils désignent les différents degrés qui séparent le franc-maçon novice du grand maître qui a atteint l’illumination et qui dés lors peut « voir le soleil en face ».

En bas à gauche, se tiennent un groupe de gens situés en dehors du damier, ce qui signifie qu’ils n’appartiennent pas au monde des initiés mais à celui des profanes.

Deux d’entre eux désignent un jeune enfant blond qui se tient debout sur le damier (lui est donc un initié), un troisième l’observe d’un air pensif tandis que l’homme noir regarde du côté opposé.
 Ces gens représentent la foule des profanes qui sera confrontée à l’enfant blond.
 L’homme noir symbolise celui qui se détourne du grand initié maçonnique que représente l’enfant et qui restera esclave.
On remarquera que cet enfant positionne ses pieds en équerre conformément à l’initiation maçonnique.
 Il est blond et porte un manteau autrichien ce qui implique une ascendance germanique.  
Ces détails désignent la secte des « illuminés de Baviére » responsables de la révolution française et qui se seraient implantés en Amérique.



Autre détail significatif : L’enfant blond a le visage et la moitié de la poitrine séparés par un rectangle foncé et translucide.

 Cet objet représente sa part d’ombre, c’est à dire l’entité démoniaque qui a été greffée à son psychisme.
 Comme tant d’autres vedettes du monde du spectacle, cet enfant recèle 2 aspects : L’humain et celui du démon qui le possède.

 On remarquera que le rectangle recouvre son oeil gauche ce qui en fait un parfait candidat au rôle de l’Antéchrist selon la Tradition  islamique.


Dernier détail révélateur : la forme de sa mèche de cheveux rappelle le lion de Juda, un symbole judaïque désignant le Messie. 

Voilà qui conforte l’idée que cet enfant pourrait être l’Antéchrist annoncé par les écritures.
On retrouve cet enfant blond de type germanique dans l’une des fresques de l’aéroport de Denver, haut lieu de symbolique occulte qui est appelé à devenir le point passage obligé des membres de l’élite dirigeante en cas de cataclysme majeur.


Sur cette autre  fresque,  on le voit en costume tyrolien détruire l’épée de la guerre pour instaurer une ère de paix entre tous les peuples.
Le premier tableau décrit donc le moment où la secte des illuminatti présentera au monde son « élu », celui qui prétendra restaurer la paix et la fraternité entre les peuples.
 Autrement dit, celui qui sera intronisé à la tête du système esclavagiste du nouvel ordre mondial.
Mais le tableau recèle d’autres détails qui méritent que l’on s’y attarde.
 Il y a tout d’abord un homme assit sur une pelouse située à la base de la pyramide, en train semble t-il, de lire un livre tout en restant indifférent à l’olivier qui est en train de s’enflammer prés de lui.
 L’olivier est un symbole universel de paix, ce feu est donc celui de la guerre. 
Cet homme représente donc le public distrait par les médias et qui ne prête guère attention à la situation dangereuse dans laquelle il se trouve.
Mais ce symbole du feu dans l’olivier peut avoir un autre sens qui se superpose au premier.
 On remarquera en effet que la fumée ne s’élève pas vers le ciel mais se dirige vers la gauche. 
En mettant de côté l’olivier, on peut aisément visualiser une boule de feu qui s’apparenterait à une météorite voire une comète.


Est ce que le tableau ferait également référence à des événements d’ordre astronomiques ?

La suite nous le confirme, il contient en effet un symbole très célèbre : Le soleil noir des occultistes.
Pour les occultistes,  2 soleils existent, celui que nous voyons tous les jours et celui qu’eux seuls peuvent distinguer car étant invisible aux sens humains, seuls ceux qui maîtrisent les arcanes de la science occulte peuvent le voir.

 Un soleil noir pourrait correspondre à ce que les astronomes appellent une naine brune, c’est à dire une planète géante gazeuse qui n’est pas assez grosse pour pourvoir initier les réactions nucléaires en son sein.
 Elle reste donc obscure et froide à une température proche du zéro absolu et seuls ceux qui maîtrisent les arcanes de l’astrologie peuvent déceler sa position à partir de son influence sur les autres planètes.

Ce pourrait être la fameuse planète X que les astronomes recherchaient afin d’expliquer les perturbations dans l’orbite de Neptune et plus récemment dans le mouvement des sondes pioneers.

Ce pourrait être également cet astre de nature inconnue qui à intervalles réguliers engendre ces terribles cataclysmes qui nous été transmis par la mémoire ancestrale des peuples  sous forme de mythes.

Plusieurs faisceaux traversent le soleil noir et vont jusqu’à une femme suspendue telle une marionnette à l’intérieur d’un cube transparent. 

Ils représentent l’énergie éthérique qui circule entre les astres.
 Ce qui est signifié, c’est que le soleil noir transmet cette énergie à la femme dans le cube et que celle ci semble danser comme une marionnette suspendue à ces fils invisibles.
Du point de vue de la symbolique maçonnique, le cube représente la Terre, le monde d’ici bas, l’équerre à laquelle s’oppose le compas, le cercle, le monde céleste.

 La femme qui danse suspendue telle une marionnette représente donc la nature soumise aux soubresauts de cette énergie éthérique que le soleil noir transmet à chacun de ses alignements. 
Elle correspond aux divers cataclysmes climatiques et géologiques que la Terre traverse actuellement dans l’indifférence générale du public distrait par les médias (l’homme juste à côté).
Loin d »être une oeuvre d’art naïve, ce premier tableau recèle donc divers signes que seuls ceux qui sont instruits dans le décodage symbolique peuvent déceler.
 En les mettant en corrélation, on obtient une représentation du contexte actuel :  Un enfant conduit par l’organisation des illuminés a commencé son cheminement initiatique qui fera de lui une figure messianique.
 Cette époque est celle où dans l’indifférence générale, un astre invisible est en train d’influencer notre planète. 
C’est également celle de la fin d’une ère de paix et elle verra le passage d’une grande comète.
Le triptyque mural de Bank Of América contient 2 autres fresques qui décrivent la suite des événements qui vont précéder l’instauration du nouvel ordre mondial.

Nous procéderons également à leur analyse dans la suite de cet exposé
À suivre…
http://leschroniquesderorschach.blogspot.fr/2015/02/les-fresques-apocalyptiques-de-bank-of.html


Phase 2 : La transmutation du chaos



On a vu précédemment que la première fresque  de « Bank of América » à Charlotte en Caroline du Nord contient divers codes ésotériques de type maçonnique.
Elle s’intitule « The great Work » (le grand oeuvre) et dans le contexte de notre époque, elle raconte comment l’élite illuministe se prépare à présenter au monde son « élu ».
La seconde fresque de Bank of America se déroule dans un futur proche, elle s’intitule « Chaos/Creativity ».
 Le choix de ces 2 titres n’a rien d’anodin, ils font référence au travail alchimique qui consiste à transformer les métaux vils en « or philosophal ».


« le grand oeuvre alchimique » est un processus extrêmement long pouvant durer des années voir des décennies. 

Au pied de la lettre, ce travail consiste à obtenir de l’or par transmutation.
Mais pour l’élite occidentale d’antan, ce travail concernait en réalité la création et la manipulation des énergies subtiles du corps humain. 

Quand l’alchimiste de base cherchait à transmuter la matière, l’alchimiste véritable faisait de son corps un creuset pour la manifestation du divin. 

Le premier avait quelques grammes d’or pour récompense d’une vie de travail  quand le second pouvait atteindre l’immortalité comme l’attestent les légendes encore vivaces de Nicolas Flamel et de Fulcanelli.
De ce point de  vue, le plan mondialiste exposé dans ces fresques se voudrait donc une allégorie du processus alchimique aboutissant à l’incorruptibilité, c’est à dire à quelque chose qui résistera à l’épreuve du temps. 

Autrement dit, ces fresques désignent bien les étapes nécessaires à l’accomplissement du « Novus ordo seclorum », un nouvel ordre pour les siècles.

D’ailleurs, on pourra vérifier que le grands sceau des états unis qui contient cette devise, contient également l’expression latine « Annuit Coeptis » inspirée des aneiedes de Virgile et qui peut se traduire par  » notre oeuvre (ou projet) est approuvée ».

 Celui qui approuve le projet mondialiste n’étant nul autre que Jupiter « le roi des dieux » représenté par l’oeil de l’illumination au sommet de la pyramide (symbole également  présent dans la première fresque). 
Au dos du grand sceau des USA, nous trouvons également l’aigle qui symbolise le phénix qui renaît de ses cendres, c’est à dire le corps subtil et incorruptible de l’adepte ayant passé le stade de l’initiation ou encore celui de l’alchimiste qui par le biais d’une  » destruction libératrice » est parvenu à transmuter les composantes de son corps charnel en un « corps de gloire », le chaos initial laissant place à un ordre de perfection (d’ailleurs « Ordo Ab Chaos » est une autre devise illuministe).


L’intitulé des fresques ainsi que leur contenu est donc corrélé à la fois au travail alchimique et à divers autres symboles occultes américains.
 Un travail de longue haleine est donc mené depuis des siècles pour amener une transformation globale à l’échelle de tout le genre humain.
De ce point de vue, la première fresque intitulée « le grand oeuvre » peut également se lire comme la mise en place du système pyramidal dont la base est la franc maçonnerie spéculative. 
Instaurée à partir du XVIII ème siècle, peu après la grande convention satanique de 1717 dont l’un des buts principaux fut d’abolir la croyance au diable (voir entretien avec Roger Morneau), la franc maçonnerie prend sa base dans le petit peuple recrutant et contrôlant les éléments les plus intelligents afin d’en faire les rouages du grand oeuvre qu’est la transmutation des vils métaux (les hommes) en or alchimique (les illuminés), en d’autres termes, il s’agirait d’une oeuvre prométhéenne consistant à apporter la lumière aux hommes.
Évidement, à ce stade il faut rappeler que nous sommes dans un schéma contre-initiatique où le plagiat et l’inversion sont la règle. 


La lumière que le nouvel ordre mondial prétend apporter aux hommes n’est rien d’autre qu’une forme très poussée d’esclavage qui fait d’eux des objets de consommation (comme l’avoue Jacques Attali) soumis par le biais de la technologie à diverses influences démoniaques telles la biochip.
La fresque « The Great Work » nous informe que la première partie du projet mondialiste entamé depuis 3 siècles se terminera au moment où un enfant fruit de ce réseau occulte sera présenté au monde

Cette époque sera marquée par le dévoilement du soleil noir puis l’apparition d’une comète dans le ciel à une époque ou commencerons des guerres et des troubles civils ( représentés par le feu qui consume l’olivier).
Aprés ces présages célestes vient la deuxième partie du « grand oeuvre » néo-mondialiste, intitulé Chaos/Creativity la deuxième fresque expose un contexte apocalyptique où une foule de gens disparates sont réunis derrière les murs de ce qui semble être un camp.

 Nous voyons entre autres, des militaires, des protestataires et des religieux (un évêque et une nonne). 
C’est une ère de confusion et d’oppression, les protestataires brandissent des pancartes blanches, cela signifie qu’ils sont mécontents mais qu’ils ne peuvent s’exprimer.

 Les panneaux de signalisation sont également blancs, cela veut dire qu’il n’y a nulle part où aller.
On distingue un homme décharné, ce qui est le signe d’une période de famine ainsi qu’un homme en tenue de protection « hazmat » ce qui signifie que ces évènements se déroulent dans le contexte d’une grande épidémie.


Là encore le contenu de ce tableau renvoie aux fresques de l’aéroport de Denver

Dans les 2 cas, sont évoqués une ère de conflits et d’épidémies, où règne la loi martiale alors que la civilisation tombe en ruines.




C’est la période de transition où seront employés les 600 camps de 
concentration que la FEMA destine à 12 millions d’américains.


 Ce sera une ère de Chaos (ce qui justifie le titre) mais également une ère de création (idem) puisque c’est à partir de cette population concentrationnaire que germera la future humanité représentée par la femme enceinte au centre de l’image.
Les 3 drapeaux placés sur la droite représentent, les 3 phases du travail alchimique,  de ce pont de vue, l’aigle est le phénix, le corps glorieux qui renaît à partir des cendres de l’ancien.
On remarque que l’horizon est obstrué par d’innombrables cheminées d’où jaillit de la fumée. Il s’agit des incinérateurs où sont brûlés les corps de ceux qui meurent dans ces camps.

Un gigantesque filet est suspendu entre la tête des gens et un astre symbolisant le soleil. Il s’agit tout simplement de la représentation des chemtrails qui sont destinés à nous protéger des rayons nocifs du soleil.
Les chemtrails ont étés mis en place depuis des années car le champ magnétique terrestre qui nous protège des radiations solaires est en train de faiblir à cause de l’influence de la planète X.

Dans le contexte qui est décrit ici, les radiations solaires sont plus intenses et nécessitent un bouclier encore plus renforcé.
Le soleil quand à lui est représenté sous la forme d’une grosse boule de feu d’où jaillissent des flammes, autrement dit des éruptions solaires.

 Le soleil contient plusieurs corps d’hommes et de femmes, c’est à dire qu’il est le siège de forces de polarité masculine et féminine imbriquées les unes dans les autres.


Sans rentrer dans les détails, pris dans ce contexte cette image correspond au symbole universel et ambivalent qu’est le svastika.
Le svastika est universel car contrairement à ce que l’on pourrait penser, il ne s’agit pas d’un signe spécifiquement hindou (et encore moins nazi).

 En effet, c’est tout autour du monde qu’il a été retrouvé gravé dans des poteries, des assiettes, des pierres, sur le fronton des temples et à même à l’intérieur des églises, d’ailleurs  Notre Dame de Paris abrite des svastikas.


Source : http://atlantides.free.fr/svastikas.htm

Le svastika remonte à la préhistoire, c’est le plus ancien symbole humain connu. 
Il sert à représenter des notions multiples, c’est à la fois l’axe du monde et le souffle de vie mais dans le cas qui nous préoccupe ici, c’est sous son aspect solaire qu’il faut l’appréhender.

Les différentes représentations du svatiska concordent avec le schéma des éruption solaires (en haut à gauche).

Peu de gens le savent mais le soleil présente un champ magnétique quadripoliare avec 2 pôles nord et 2 pôles sud situés au niveau de l’équateur.
 Les lignes de force de ce champ sont tordues du fait de leur interaction avec le gaz ionisé de l’environnement 
Ces lignes canalisent les éruptions solaires, cela veut dire que si de multiples éruptions surviennent à la surface du soleil, elles seront visibles sous cette forme depuis la Terre. 

Et on a toutes les raisons de croire que ce fut le cas par le passé puisque diverses civilisations qui n’avaient aucun contact entre elles, ont reproduit ce motif en lui attribuant des vertues magiques.


Ces éruptions auraient étés causées par le passage du soleil noir (la planéte X ) à proximité du soleil et elles auraient entraîné par la même occasion une inversion provisoire du sens de rotation de la Terre. 


Le soleil se serait alors levé à l’ouest, ce qui concorde avec ce qui est raconté dans le Timée de Platon.

A cette époque, tout autour du monde, les gens auraient donc observé 4 bras (et même plus) autour du soleil, ce qui rappelle beaucoup l’image de Kali, déesse de la mort et de la destruction dont le retour marquera la fin du cycle actuel.


Si l’astre de la seconde fresque représente bien le soleil agité de multiples soubresauts lors du passage de la naine brune, reste à déterminer pourquoi il contient des couples mâles et femelles.

 C’est le savoir Traditionnel qui nous fournira cette réponse.
 On a déjà déduit que dans son sens premier, le Svatiska désignait l’état du soleil au moment de multiples sursauts éruptifs, une étude plus poussée de ce signe révèle qu’il consiste en la combinaison des principes masculin (créateur/émetteur) et féminin (récepteur puis émetteur à son tour).
On retrouve donc sous forme allégorique le processus à la base des éruptions solaires : 2 boucles de champ magnétique émergent à la surface du soleil et créent à leur base 2 taches sombres de polarités opposées, ce qui a pour résultat une éjection de masse coronale pouvant atteindre la Terre.



Le décryptage symbolique de la seconde fresque de Bank of Amerika révèle donc un futur proche où l’activité solaire est à son comble. Les multiples tempêtes solaires ont détruit la société civilisée. les survivants sont contraints de se réfugier dans des camps de concentration où règne la loi martiale. C’est une époque d’oppression où règnent la maladie, la famine et la désolation.
Du point de vue du grand oeuvre illuministe, elle correspond à la phase alchimique de la « destruction libératrice », celle où les éléments indésirables sont éliminés tandis que les plus aptes sont transmutés vers d’autres états.  C’est le cheptel humain qui constitue la « primae materia » de ce processus initié il y a plus de 3 siècles à partir des arrières loges occultes et ce seront les camps de concentration du NOM qui serviront de creuset à cette opération alchimique de grande envergure.
Ainsi, à l’époque du grand chaos universel, la sinistre farce illuministe prendra tout son sens. 

L’humanité sera littéralement calcinée par les éruptions solaires et les incinérateurs des camps (oeuvre au noir) puis lessivée et réduite par les conflits et les maladies (oeuvre au blanc ou au jaune, un code de couleurs contenu dans la fresque).
L’oeuvre au rouge, la phase finale où les éléments qui subsistent sont portés à incandescence ou en d’autres termes, deviennent  « illuminés » est décrite dans la troisième et dernière fresque qui orne le hall de Bank Of Amerika.

Qui aurait pu croire que ces fresques pouvaient contenir autant d’informations concernant le plan de l’élite occulte ?
Et surtout qui, sinon ces illuminés imbus d’eux mêmes, aurait pu croire que le public soit assez bête pour ne pas voir ce message qu’ils ont caché à la vue de tous ?
Désormais, ces fresques de Bank Of America sont promises au même avenir que d’autres oeuvres sinistres comme celles de l’aéroport de Denver. Des milliers de gens les contemplent et s’interrogent. Peut être  qu’un jour la vérité finira par jaillir…
À suivre en troisième partie…
http://leschroniquesderorschach.blogspot.it/2015/02/les-fresques-apocalyptiques-de-bank-of_21.html

Phase 3 : Reconstruction

Les 2 précédentes analyses de cette œuvre apocalyptique qui orne l’un des sièges de « Bank Of América » ont mis en évidence qu’elle était articulée autour de 2 grands thèmes. 

On tout d’abord vu qu’elle met en lumière un grand cataclysme qui aura le soleil pour élément central.  
Ensuite, on a vu qu’elle était construite comme une allégorie du « grand œuvre » alchimique. Plus exactement, ces fresques exposent cyniquement et à la vue de tous le fameux plan du « Nouvel ordre Mondial », un plan dont le matériel de base est une humanité calcinée par le feu ardent d’un soleil déchaîné et qui d’étapes en étapes sera raffinée jusqu’à l’obtention de cet « or alchimique » que sera la caste des illuminés.
On verra dans le présent article que la troisième fresque développe les mêmes thèmes et que par conséquent elle s’inscrit dans la même continuité que les 2 autres. 

Ces fresques sont conçues sur la base d’une chronologie autour de la catastrophe. 
Elle se lisent de droite à gauche et il y a un avant, un pendant et un après.
Loin d’être des peintures naïves, elles sont donc conçues de manière rationnelle et elles expriment l’idée qu’une caste élitiste ayant une connaissance préalable d’un cataclysme majeur projette de s’en servir pour faire avancer un projet grandiose au détriment du reste du genre humain réduit à l’état de matière première.
Phase 1 : Avant la catastrophe, la planification 
La première fresque intitulée « planification, savoir » montre tout d’abord un astre noir puis une comète enflammant ce qui semble être un olivier. 

La symbolique est évidente. L’astre représente le soleil noir des occultistes et celui ci apparaîtra sous la forme d’une comète au moment où cet arbre de la paix qu’est l’olivier sera enflammé c’est à dire au moment où une terrible guerre anéantira une partie de l’humanité.
Cette guerre insensée a été annoncée dans d’innombrables  prophéties, elle verra l’utilisation d’armes nucléaires et la plupart des capitales occidentales seront anéanties. 
C’est donc vers un destin funeste que l’on se dirige et ce dans l’indifférence générale de l’opinion publique symbolisée par l’homme insouciant assis à côté du feu.
Selon diverses prophéties, il s’agira d’un conflit à côté duquel les 2 guerres mondiales paraîtront insignifiantes et il est censé finir au moment où la grande comète déclenchera un phénomène s’apparentant à une gigantesque éruption solaire.

 Les soldats terrifiés quitterons alors le champ de bataille et retournerons auprès de leurs familles.
 C’est pourquoi elle est appelée « la comète de la paix », il s’agit bien entendu de la fausse paix prophétisée par la Bible et qui verra l’apparition de ce personnage charismatique qu’est l’Antéchrist.
Ce dernier est représenté sur la première fresque sous les traits d’un enfant, on le retrouve à l’aéroport de Denver, sur une autre fresque apocalyptique en train de briser joyeusement l’épée de la guerre et d’œuvrer à la réunification des peuples.

Si la première fresque s’appelle  » Planification », c’est que depuis des siècles, des architectes occultes préparent l’apparition de cet être malfaisant. 
C’est dans cette perspective qu’ils ont véhiculé cette fameuse légende du grand monarque qui restaurera la France après que celle ci ait été détruite par l’effroyable guerre.
Plus récemment, divers films mettent en scène ce personnage sous l’apparence enfantine qui sera alors la sienne et même le monde de la mode et du show-biz n’épargne guère ses efforts pour banaliser une infirmité qui le caractérisera.
 Conformément à la Tradition islamique, l’antéchrist sera en effet borgne de l’œil droit.
À l’heure actuelle, si la plupart des gens trouvent normal que toutes les stars cachent un œil sur les photos et accomplissent des signes sataniques c’est bien la preuve que le plan suit son cours.
 Et quand viendra le moment où ils seront confrontés aux horreurs de la guerre et de la destruction, la plupart d’entre eux sombreront dans le fanatisme religieux et auront en tête toutes ces pseudo prophéties annonçant le retour providentiel d’un jeune roi de droit divin.
De tout ceci, on peut facilement en conclure que cette troisième guerre mondiale que les médias annoncent désormais comme imminente n’aura pour autre but que de créer les conditions pour que le public désespéré accepte de se soumettre à ce sauveur providentiel.
Phase 2 : Pendant la catastrophe, le chaos
Comme nous le montre les fresques, après la planification vient la grande catastrophe.
 C’est le moment que la Bible appelle « jour de l’éternel », un jour long et terrible qui verra le châtiment des incrédules.
Cet événement sans pareil est représenté dans la fresque centrale du hall de « Bank of América ». 
On remarquera qu’il est séparé des autres fresques par 2 couloirs adjacents ce qui souligne le fait qu’il s’agit donc d’une époque à part que l’on peut décrire comme un véritable point de basculement entre 2 cycles cosmiques.


Le récit de cette grande catastrophe nous est parvenu par l’intermédiaire des anciens sages. On peut notamment citer les témoignages d’Hérodoteet de Platon

 Divers monuments d’inspiration ésotérique comme l’obélisque de la forêt de Crécy et la croix d’Hendaye contiennent également des informations cruciales sur le déroulement du cataclysme.
 D’une manière générale, celui ci est rapporté par pas moins de 272 mythes antiques répartis dans le monde entier.
Ce qu’il faut donc retenir, c’est que ce cataclysme cyclique n’est nullement le fruit de l’imagination fertile de certains conspirationnistes en mal de sensations fortes mais bien bel et bien un fait réel entériné par diverses sources à travers les âges.

Cette fresque centrale montre le soleil lançant des éclairs, c’est donc l’époque du Killshot annoncé par les agents PSI, les gens sont contraints de vivre dans des camps de concentration régis par le loi martiale.

 Rien qu’aux USA, les 600 camps de la FEMA ont été prévus pour abriter 12 millions de personnes. C’est à partir de ce cheptel que sont censés germer ces américains de l’ère nouvelle qui vont procéder à la reconstruction  du système.
Phase 3 : Après la catastrophe, la reconstruction
À la lumière des deux précédentes fresques, il est aisé de comprendre la signification de la fresque numéro 3 et ce d’autant plus qu’elle s’intitule « Reconstruction » et qu’elle montre des ouvriers tenant leurs outils à la main.
Après la grande catastrophe rythmée par non pas un mais par deux basculements de l’axe de rotation de la Terre (les deux espaces vides correspondant aux couloirs), c’est le moment où les survivants doivent reconstruire ce qui a été détruit. En d’autres termes c’est le moment où tel le phénix l’Amérique se prépare à renaître de ses cendres.
Entre parenthèses, le phénix est un animal mythologique qui tous les 500 ans se consume pour renaître.
Comme le savent les initiés, c’est cet animal qui au départ devait figurer sur le sceau des USA mais comme un tel symbole aurait pu mettre la puce à l’oreille du public concernant l’échéance fatidique, il fut changé en aigle.
À l’instar des deux précédentes fresques, la N°3 contient divers autres signes d’inspiration ésotérique. 
Tout d’abord, elle poursuit le travail alchimique évoqué précédemment. Pour rappel, ce travail appelé « le grand oeuvre  » est un processus extrêmement long pouvant durer des années voir des décennies. 
Au pied de la lettre, il s’agit d’un travail de transmutation qui consiste à transformer les métaux vils en « or philosophal ».
Ces métaux vils ce sont ces réfugiés qui peuplent les camps de concentration que l’on voit dans la fresque N°2 et après un intense processus de sélection et d’élimination des moins aptes (œuvre au noir et au blanc) vient cette étape cruciale appelée « l’œuvre au rouge » où les éléments qui subsistent encore sont portés à incandescence, ils deviennent alors « illuminés ». 
Cette réaction alchimique est censée produire une substance magique appelée  » pierre philosophale » qui transforme toute matière en or symbole d’incorruptibilité, une allégorie pour décrire ce nouvel ordre mondial censé régner au siècle des siècles.
En d’autres termes, la fresque N°3 représente la phase d’achèvement d’un travail initié il y a plusieurs siècles qui a principalement pour but la perpétuation d’une élite occulte à travers deux cycles ponctués par une catastrophe généralisée. 
Cette élite d’illuminés aime à se décrire complaisamment à travers diverses œuvres dont les fresques de Bank Of America ne constituent qu’un exemple parmi tant d’autres.
Dans la fresque N°3, cette caste est représentée sous la forme du travailleur qui tient fièrement une pelle dorée tandis que les autres (les métaux vils) restent cantonné dans le sous-sol ou plutôt devrait on dire la base de la pyramide.

Le chiffon rouge symbolise bien entendu la dernière étape du travail alchimique qu’il vient d’accomplir (l’œuvre au rouge), c’est d’ailleurs pour la même raison que tout le tableau est imprégné de cette couleur ocre. Autre explication possible et probablement complémentaire : le travailleur illuminé représente un nouvel Adam qui, a l’orée du renouveau des âges, s’apprête à prendre possession d’un domaine libéré de la tutelle divine (Adam signifiant à la fois argile et rouge).

L’homme couché à flanc de montagne représente  l’ensemble de l’humanité qui n’a pas survécu à la catastrophe.



  Le fait qu’il soit représenté en train de dormir est une allusion à la doctrine de la métempsychose qui veut qu’après la mort d’un individu, ses divers éléments psychiques finissent par se dissoudre dans la nature passant successivement dans les différents règnes minéral, végétal et animal avant de former à nouveau un nouvel être au terme d’un cycle long de plusieurs milliers d’années.
Mais d’une manière plus prosaïque, l’homme endormi représente tous ceux qui ont étés emportés par les flots du déluge et dont les corps ont été emprisonnés dans la gangue de boue
Pour rappel, les premiers géologues ont été stupéfaits de découvrir de multiples fosses où reposaient un nombre incroyable de restes d’humains et d’animaux appartenant à une époque reculée.
 Et ils ont été encore plus stupéfaits quand ils se sont rendu compte que ces restes étaient superposés dans plusieurs couches appartenant à des époques différentes et que chacune d’entre elles correspondait à une période de plus de 4 millénaires !
Ils sont parvenu à compter jusqu’à 14 couches superposées ce qui correspond à un intervalle de temps d’environ 60 000 ans, une durée que l’on peut rapprocher de celle du manvantara de la doctrine des âges (les yugas) de la Tradition hindoue.
Dans son ouvrage « Formes traditionnelles et cycles cosmiques » le Traditionnaliste Réné Guénon décrit cette doctrine des âges comme une ère d’une durée de 64 800 ans (le manvantara ou cycle humain complet qui correspond à la somme des 4 yugas, or, argent, cuivre et fer ) ayant pour plus petit dénominateur commun une durée de 4320 ans que l’on devine être le cycle de la grande catastrophe c’est à dire l’intervalle qui marque le retour du soleil noir que l’on aperçoit dans la première fresque.
René Guénon fournit diverses autres indications que seul le lecteur attentif sera en mesure de décrypter. 
Ainsi, il confirme que nous vivons bel et bien la fin du dernier cycle, le kali yuga et il indique même que l’an 720 de celui ci marque le début d’un calendrier.
« Quant au cataclysme qui y mit fin, certaines données concordantes semblent indiquer qu’il eut lieu sept mille deux cents ans avant l’année 720 du Kali-Yuga, année qui est elle-même le point de départ d’une ère connue, mais dont ceux qui l’emploient encore actuellement ne semblent plus savoir l’origine ni la signification. »

Il s’agit évidemment d’une allusion à peine voilée au calendrier juif.  
Celui ci débutant en -3761 av JC, un rapide calcul nous permet de fixer le début du Kali yuga en l’an – 4480 av JC (d’une durée de 6480 ans, celui ci s’est donc techniquement terminé exactement en l’an 2000).

 En outre, René Guénon fourni également la date approximative d’une des catastrophes soit -10961 Av JC (7200 + 3761) correspondant à la première submersion de l’Atlantide il y a un peu plus de 12960 ans, c’est à dire au moment de l’antépénultième passage du soleil noir (12960 = 4320 x3).
Dans le même ouvrage, René Guénon indique que le manvantara d’une durée de 64 800 est articulé autour du cycle de précession des équinoxes ou grande année platonique d’une durée de 25 920 ans à laquelle on peut faire correspondre les sous-cycles puisque ceux ci ont pour base une durée de 6480 ans (par exemple 25 920 = 6480 x 4).
La totalité du manvantara s’étire donc sur 2 fois et demi ce cycle de précession des équinoxes (64800 = 25920 x2,5) ce qui donne tout son sens à la prophétie juive qui stipule que l’ère messianique débutera après « un temps, des temps et la moitié d’un temps » (le problème c’est que les sages de la Thora s’étant coupés de la Tradition ils n’étaient plus en mesure de comprendre à quoi il était fait allusion et ont compris que le retour de l’ère messianique se ferait 3500 ans après le début de leur calendrier, c’est à dire à l’époque de Jésus).
Ce bref rappel de quelques notions Traditionnelles de base peut paraître fastidieux au premier abord mais il est néanmoins nécessaire afin de comprendre le reste des indications fournies par la dernière fresque.
 Par ailleurs, on comprend mieux pourquoi les commanditaires de cette œuvre hors du commun ont cru opportun d’exposer leur plan au grand jour et à la vue de tous. 

Le public n’étant pas initié à ces doctrines ésotériques, il y avait à leurs yeux peu de chances qu’elle connaisse un grand retentissement.
Néanmoins, à notre modeste niveau, on a pu déterminer que depuis 64 800 ans, 14 couches de fossiles divers témoignent de 14 passages du soleil noir à proximité du nôtre et d’autant de bouleversements géologiques.
D’ailleurs, n’est il est pas remarquable qu’étymologiquement le terme « bouleverser » se décompose en « boule » c’est à dire « la Terre » et « verser », c’est à dire le basculement de celle ci avec le déluge afférent ?
Et n’est il pas tout autant remarquable que l’on retrouve une étymologie semblable dans le terme « Verseau » (verse/eau) qui désigne la position du point vernal par rapport aux constellations du zodiaque au terme du cycle de précession des équinoxes ?
 Une fois muni de tous ces renseignements, il ne faut donc pas s’étonner que cette troisième fresque incorpore en son sein un panneau portant l’inscription « EQ » signifiant bien évidement que l’époque qui suit le cataclysme voit le début d’un nouveau cycle de précession des équinoxes et correspond à l’âge d’or du nouveau manvantara.
Cette doctrine de nouvel âge d’or des illuminés ou « New âge », à laquelle déjà on nous prépare, ne sera évidement qu’une contrefaçon grossière de ce que la Tradition appelle « règne du Christ » et qui sera caractérisé par un retour à l’état primordial.
Ce clergé illuministe aura à sa tête celui que la Bible appelle « antéchrist » et il sera secondé par le faux prophète « , pseudo prophetis » en grec, c’est à dire le falsificateur de la parole de Dieu. 
Il visera l’abolition des autres religions et la mise en esclavage du genre humain.
 Ce n’est donc nullement un hasard, si dans cette dernière fresque l’on retrouve la fameuse marque de la bête apposée sur la main d’un des travailleurs :
Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front (Apocalypse, chapitre 13)
Conclusion 
L’analyse de cette troisième et dernière fresque s’inscrit donc dans la parfaite continuité des 2 autres. L’oeuvre complète se veut l’illustration d’un plan grandiose en trois étapes inspirées du grand œuvre alchimique  visant à la renaissance d’une humanité régénérée par un feu purificateur
On a affaire à une œuvre construite de manière rationnelle mais tellement truffée de symboles ésotériques qu’il est difficile pour un profane d’en saisir le sens caché.
 C’est probablement pour cette raison que ses commanditaires n’ont pas eu peur d’étaler au grand jour et à la vue de tous leur plan qui réduit le reste du genre humain à l’état de matière première d’une opération de grande envergure.
Cette œuvre apocalyptique trahit l’existence d’une élite qui croit bénéficier d’un savoir la plaçant réellement au dessus du commun des mortels. 
Se croyant invulnérable, elle n’hésite même pas à exposer de quelle manière elle entend se protéger de la grande catastrophe qui marque cette fin de cycle.
 En effet, tandis que le cheptel humain se trouvera parqué dans des camps de concentration (fresque N°2), l’élite montre qu’elle compte se  protéger du feu purificateur en se  réfugiant dans des sanctuaires souterrains symbolisés par des pelles blanches.
Ces sanctuaires sont autant d’arches de Noé à partir desquelles les illuminés prévoient d’émerger après la grande catastrophe qui ferait d’eux les maîtres incontestés du genre humain.
En  fin de compte, ces fresques attestent de l’imminence d’un cataclysme planétaire et nous apprennent qu’une élite malfaisante en est parfaitement consciente et espère en profiter pour assouvir un projet global de domination.

 En cette fin de cycle, l’humanité est donc sans le savoir confrontée à 2 fléaux majeurs susceptibles d’aboutir soit à son annihilation soit à sa soumission à une caste d’illuminés.

Dans ce contexte dramatique accentué par l’ignorance des foules sur ce qui se prépare, seul un acte de la providence serait en mesure de contrecarrer ce projet malfaisant qu’est le Nouvel Ordre Mondial.
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