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samedi 11 juin 2016

LES ANIMAUX ONT-ILS UNE CONSCIENCE?


LES ANIMAUX ONT-ILS UNE CONSCIENCE?

Il y a 50 ans les animaux étaient encore considérés comme des automates, sans pensée et sans ressenti, guidés exclusivement par leurs instincts.
Aujourd’hui la science permet de mettre en lumière ce que les amis des bêtes savent depuis longtemps : les animaux sont doués d’intelligence.       
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Leurs capacités cognitives étudiées, nous comprenons que nous ne sommes pas les seuls à pouvoir résoudre des problèmes.
Mais peut-on vraiment dire qu’ils ont une conscience ?
Grâce aux scientifiques et aux spécialistes du comportement animal, il sera peut-être plus facile de se rapprocher de la vérité à travers des exemples, vu au cours du reportage.

Laboratoire privé. Sankt Pölten Basse-Autriche
Une zoologiste étudie un cacatoès. 
But de l’expérience, savoir s’il sera capable d’ouvrir 5 mécanismes de fermetures complexes afin d’obtenir sa récompense. L’exercice n’est pas aisé, et chaque fermeture fait appelle à une nouvelle réflexion.
 Afin d’obtenir la friandise, il est obligé de mémoriser chacune de ses erreurs pour trouver la solution, bien que celle-ci ne fasse pas appel à ses compétences naturelles.

De suite, il se montre curieux et inventif. À force de persévérance, il finit par débloquer chaque système.

Mais l’oiseau a-t-il réellement comprit le fonctionnement des mécanismes ou a-t-il apprit par cœur le bon déroulement de la séquence ?

Pour cela, la zoologiste supprime une fermeture, ce qui rend les autres verrous inutiles. S’il est capable de penser par lui-même, il comprendra très vite l’astuce.
Et c’est ce qui se passe. Il réussit le test.
Résultat de recherche d'images pour "LES ANIMAUX ONT-ILS UNE CONSCIENCE?"La scientifique ne peut affirmer que le cacatoès agit avec sa conscience mais plutôt grâce à une identification des liens de causalités qui régissent la compréhension.
Mais sont-ils capables de communiquer aux autres en cas de situation inconnue et imprévue ?
La forêt des singes, Rocamadour.
Les singes magots y vivent en presque totale autonomie.
Une scientifique, habituée aux expériences sur cette espèce de singe, a étudié leurs facultés de communication.
Beaucoup de chercheurs, pensent que le langage est une condition indispensable de la pensée.
Pour son expérience, elle enregistre des cris de singes, puis les retransmet à d’autres singes.
Par exemple, elle enregistre les cris d’une femelle en danger et les retransmet à un male.
Celui-ci semble étonner mais ne semble pas alarmer.

Le résultat est étonnant, car dans d’autres expériences, il a été prouvé que les males venaient toujours en aide à une femelle en danger.
Les singes magots ont un répertoire étendu de communication. Mais il semble néanmoins évident qu’ils ne possèdent pas de langage parlé.

Dominique Perler, partage cette vision sur le langage et la conscience.
Ce spécialiste du comportement animal, sait qu’il manque une dimension syntaxique, soit une armature grammaticale pour que le langage des animaux soit une vraie langue.
Pour prouver qu’il existe une pensée même sans un langage structuré, le spécialiste Josep Call tente une expérience avec des Orangs outans.
Il place une cacahuète au fond d’un tube à essai, trop profond pour que l’animal puisse attraper la friandise. On ne met à sa disposition que de la nourriture et de l’eau.
Pour résoudre ce problème, l’orang outan a élaboré une stratégie ingénieuse. Il prend de l’eau dans sa bouche, qu’il recrache dans le tube essai, ce qui fait monter la cacahuète.
Ensuite, l’expérience va être retentée mais avec des enfants humains âgés de 4, 6 et 10 ans.
Ils finissent tous par trouver la solution, mais ils prennent aussi beaucoup plus de temps.
Pour être efficace il ne faut pas agir avant de réfléchir. Il faut analyser. Et les animaux, dont l’instinct de survie est plus développé, perdent moins de temps que nous, qui luttons avec notre raisonnement guidé par la conscience.
Nous pensons tout le temps, nous analysons, réfléchissons, pensons, doutons.
Et les animaux ont-ils conscience de leurs sentiments ? Ont-ils de l’empathie ?
Laboratoire privé. Sankt Pölten Basse-Autriche
La prochaine expérience avec les cacatoès se fait avec le jeu.
Le jeu permet de voir les approches cognitives et la créativité que ces oiseaux mettent en place.
Leurs comportements, face à des jeux ludiques de développement, se rapprochent fortement du comportement d’enfants humain de 2 ou 3 ans. Pour jouer à un simple jeu de construction il faut aussi penser.
Le même genre de rapprochement peut se faire aussi avec des chiens.
Les petits enfants qui ne disposent pas encore d’un langage verbal, arrivent pourtant à communiquer avec l’entourage. Tout comme les chiens, habitués à se calquer à l’homme, sans pour autant passer par une communication verbale.
Japon, près de Kyoto.
Dans le plus grand institut de recherche sur l’intelligence des primates, les grands singes ont appris à reconnaitre les chiffres arabes.
Résultat de recherche d'images pour "CONSCIENCE animal"Un des chimpanzés du centre, est capable de reconnaitre 15 nombres et de les classer dans le bon ordre sans problème, alors même que ceux-là n’apparaissent que quelques secondes à l’écran puis sont masquer. Cet exercice ne lui prend que 5/100ème de secondes.
Le même défi est proposé à des étudiants de l’institut.
Pour le cerveau humain, il faut 20/100eme de secondes pour classer 5 chiffres.
Pour cette expérience, les chimpanzés s’avèrent meilleurs et plus efficaces sur le plan cognitif que les humains.
Institut de zoologie d’Oxford en Bavière.
Les corbeaux calédoniens y sont étudiés. Ses oiseaux ont des facultés cognitives spécifiques à leur espèce, ce sont les seuls oiseaux qui utilisent des outils afin de résoudre des problèmes, ce qui nécessite une pensée logique.
La biologiste s’occupant de ces volatiles, tente de comprendre si les animaux comprennent réellement ce qu’ils font, ou s’ils se contentent d’agir grâce à des comportements innés.
Pour cela elle place des friandises dans plusieurs compartiments. L’oiseau a le choix entre plusieurs outils pour chaque problème à résoudre. Très rapidement il analyse la situation et est en mesure de récupérer les friandises.
Dans une autre expérience, la biologiste tente de prouver que les corbeaux comprennent dans leur globalité le problème qui leur fait fasse, et l’utilité exacte des outils dont ils se servent.
Pour cela elle place une friandise dans une boite qui ne peut délivrer la récompense qu’en appuyant sur un système de bascule. L’oiseau trouve de suite le mécanisme et récupère la friandise. Puis on retente l’opération, cette fois en bloquant le mécanisme, qui ne peut être activé qu’avec un système de poids. On pose donc de petits cailloux à coté, qui serviront de poids. En quelques secondes l’oiseau trouve la solution.
Marcos Bockle, un autre spécialiste des corvidés, va tenter le même genre d’expérience faite sur les singes Magots avec des cris enregistrés ; Il veut savoir si les corbeaux ont une mémoire à long terme.
Pour cela il trouve des corbeaux qui se sont connus par le passé, qui ont partagés des expériences communes et ont été envoyé dans différents centres par la suite. En enregistrant les cris des uns et en les faisant écouter à d’autres, il découvre que ces animaux ont une mémoire du passé, et peuvent enregistrer des souvenirs d’anciens compagnons, analyser si ce qu’ils connaissent est bon au mauvais et reconnaitre les visages sur une durée de 3 ans environ.
Et les orangs outans ont-ils aussi une mémoire à long terme ?
Cette fois on effectue un nouveau test. On suspend un morceau de banane hors de la portée de l’animal. Un crochet est mis à sa disposition dans sa cage. Après une brève analyse de la situation, Il s’en saisit sans hésiter. Le plus étonnant est qu’il garde l’outil avec lui, une fois l’expérience terminée.
Le lendemain matin, il revient avec le crochet et va directement réaliser l’expérience, sans douter.
Cet exemple prouve que les orangs outans sont capables d’anticiper les problèmes et de retenir une solution, même si le problème ne se présente pas forcement.
Institut de biopsychologie de Dresden
Un pigeon regarde des photos.
Certaines photos représentent des humains, d’autres non. Le pigeon est sensé les distinguer. Les photos sans humain ne font pas parties de la bonne catégorie, il les élimine donc facilement. Cette expérience démontre que les pigeons sont capables de former des catégories, de faire des associations.
Les Kéa, des perroquets de nouvelle Calédonie sont eux aussi capables de faire des associations. En leur montrant des cœurs, des croix, des carrés, ils sont capables de choisir la même forme sans se tromper. Mais ils ne sont pas les seuls, les singes, les chiens et d’autres animaux en sont capables.
Ceci est une réelle découverte. On a longtemps pensé que le cerveau des animaux était incapable de faire des associations.
Académie des sciences de Budapest.
Ici on s’intéresse aux compétences sociales. Ils veulent savoir si les jeunes enfants perçoivent de la même manière ce qu’on leur dit, suivant que l’interlocuteur les regarde ou non.
Le comportement des bébés est mesuré à l’aide d’un occulomètre qui perçoit les mouvements des yeux. Pour cela on leur montre une vidéo d’une femme regardant un vase. Le but est que l’enfant soit toujours attiré par cet objet.
Il s’avère que les bébés suivent les regards de leur interlocuteur. En l’absence de signaux visuels clairs, ils ne regardent pas l’objet souhaité, même si le geste le désigne.
Il en va de même pour les chiens. Si l’humain en face d’eux n’entre pas en contact visuel, et ne s’adresse pas à lui, le chien se désintéresse tout simplement.
La manière dont les deux sujets réagissent à cette expérience prouve qu’il existe bel et bien une pensée non verbale. Si le bébé humain est fait ainsi et est pourtant capable d’apprentissage et de développement donc de pensées, dans son bas âge, les animaux en sont capables aussi.
Une autre expérience montre que les animaux ont conscience de leur existence.
Un point jaune est placé sur une pie, elle-même face à son propre reflet.
Elle est intriguée par le point jaune qui se trouve sur elle. Le point est posé sous sa gorge, à un endroit qu’elle ne peut voir que dans un miroir.
Le fait qu’elle est essayée d’enlever ce point, non sur le reflet, mais bien sur elle-même, prouve qu’elle a eu conscience de se voir elle, et non un congénère.
L’image et la mémoire en va de même chez les macaques qui varient l’intensité de leur attention, selon que le portrait qu’on leur montre est un congénère de leur clan ou non. Ils ont donc conscience de l’appartenance a un groupe.
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Gerhart Roth 
Le professeur Gerhart Roth affirme qu’aujourd’hui on peut affirmer que les animaux ont bel et bien une conscience. Il n’existe pas qu’une forme de conscience mais bien une dizaine.
Mais celle que l’on pensait exclusive à l’humain, la métacognition, le fait d’avoir conscience que l’on sait quelque chose, appartient aussi aux bêtes.
Aujourd’hui, enfin nous savons qu’ils ont plus en commun avec nous que nous les pensions, et c’est aussi pour cela que notre comportement à leurs égards doit changer.
On a tous notre propre rapport au monde animal, à vous de décider quelle degrés de conscience vous préférez lire chez votre animal de compagnie…
Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer l’auteur, la source et le site :http://www.elishean.fr/
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VOTRE ENFANT VOUS A CHOISI



LE CHOIX DE L’ÂME : VOTRE ENFANT VOUS A CHOISI


choix de l'ame

Plusieurs traditions spirituelles enseignent que l’âme de l’enfant choisit ses parents. Vous vous demandez peut être ce qu’il en est ou vous vous dites que si vous aviez pu choisir vos parents, vous n’auriez surement pas choisi les vôtres !
En fait, il ne s’agit généralement pas d’un choix raisonné, intellectuel comme lorsque l’on choisit quelque chose sur un catalogue mais d’une sorte d’attraction électro magnétique.

Résultat de recherche d'images pour "futurs parents et les liens karmiques"Le Docteur Christophe Massin, psychiatre et psychothérapeute, l’exprime ainsi dans son ouvrage « le bébé et l’amour » : « Une conscience non incarnée se sent invinciblement attirée par ce couple de parent, non sous leur forme physique, mais plutôt par l’énergie particulière qui se dégage de chacun d’eux, pour le meilleur et pour le pire »
Cette attraction se fait à partir des vibrations, des émanations émises par les futurs parents et les liens karmiques peuvent jouer un rôle important.Ces liens karmiques nous amènent à retrouver les êtres avec qui nous pouvons avoir des conflits à pacifier ou avec qui nous avons eu une forte relation d’amour pour continuer à nous accompagner, nous soutenir ou accomplir quelque chose ensemble.
L’âme est attirée par des parents dont elle sait qu’ils pourront stimuler l’expression de ses qualités et l’aider à exprimer ce qu’elle est venue vivre et accomplir.
Souvent, l’âme choisit une qualité qu’elle souhaite plus particulièrement venir exprimer et /ou stimuler chez ses parents et son entourage, par exemple la compassion, le lâcher prise, la tolérance, l’amour universel. 
Chaque membre de notre famille est là pour nous aider à révéler, développer ou transcender un aspect de nous même.
Si un proche nous fait vivre l’abandon par exemple,peut être que nous avons besoin de développer notre autonomie.
Résultat de recherche d'images pour "futurs parents et les liens karmiques"Lorsqu’il y a conflit karmique, l’amour qui peut naturellement se développer au sein d’une famille notamment entre parents et enfants offre un terrain particulièrement favorable pour réparer et guérir ces relations.
Le but ultime de ces retrouvailles d’âme est de nous ouvrir à l’amour sans aucune limitation, c’est-à-dire de nous aider à nous éveiller, nous s’entraider, nous respecter, nous aimer, sans attente, sans jugement, sans comparaison ni manipulation.
La famille comme opportunité de retrouver et de guérir ses blessures karmiques.
Lorsqu’ une âme décide de revenir sur terre, elle rencontre ses Guides afin de définir ses choix d’incarnation, c’est-à-dire les facettes d’elle-même qu’elle souhaite expérimenter et développer, les leçons qu’elle a besoin d’apprendre et ce qu’elle choisit de venir guérir, créer, partager et accomplir dans la vie à venir.
Le but premier de toutes les âmes qui s’incarnent est de parfaire leur évolution en apprenant à s’aimer, à reconnaitre et à exprimer pleinement leur lumière et leur essence divine.L’âme définit ce que j’appelle ses « objectifs prioritaires de guérison » par exemple dépasser sa tendance à se rejeter et donc à attirer le rejet, ne plus remettre son pouvoir aux autres, se libérer de la dépendance affective et développer l’amour d’elle-même. Elle choisit aussi la contribution unique qu’elle souhaite apporter à la terre : « son mandat d’incarnation », c’est-à-dire les talents qu’elle souhaite exprimer et offrir à l’humanité pour contribuer à son évolution, par exemple participer à l’élévation du niveau de conscience en enseignant, en guérissant, contribuer à la préserver la nature, créer de la beauté par des œuvres d’art …
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Cela se fait à un plan très élevé de conscience et cette décision se prend environ trois mois avant la fécondation.
Elle choisit ainsi avec les conseils de ses Guides les parents et l’environnement les plus adaptés aux apprentissages et expériences qu’elle doit réaliser.
Par exemple, Laurence que j’ai guidée dans une régression sur ses choix d’incarnation a compris qu’elle avait choisi des parents de deux religions différentes car un des objectifs majeurs de son âme dans cette incarnation était de développer sa tolérance.Souvent, l’âme choisit un environnement familial et social qui lui assure la rencontre de certaines difficultés qu’elle a à revivre afin de les transcender.
Elle choisit les parents qui pourront faire émerger à la fois le meilleur d’elle-même et les parties plus sombres pour qu’elle puisse les conscientiser et s’en libérer.Au-delà des parents, l’âme est attirée par une lignée familiale avec ses forces et ses problématiques, un pays et un contexte historique.
Quelques mots pour mieux comprendre ce processus : Lorsqu’un être termine une incarnation, il revoit la totalité de sa vie pour en faire le bilan. C’est d’ailleurs ce dont témoignent les gens qui vivent des expériences de mort imminentes (NDE ).Il se peut qu’il ai vécu des expériences douloureuses, par exemple d’abandon ou de trahison qu’il va accepter. Dans ce cas, il y a transmutation immédiate de la douleur.
Et puis, il y a des expériences qu’il ne va pas accepter et dont il va tirer des jugements et des interprétations limitatives sur lui-même ou sur la vie. Par exemple, il a vécu une sensation de trahison très importante et va en conclure que plus jamais il ne pourra ouvrir son cœur et faire confiance.
Comme le but de l’âme à son niveau le plus élevé c’est de s’aimer et de s’accepter quelle que soit l’expérience vécue, elle va retrouver le même type de difficulté dans une incarnation suivante pour avoir une nouvelle opportunité de rencontrer, d’accueillir et de dépasser cette blessure et les jugements associés.
Lorsque l’âme fait ses choix d’incarnation, elle choisit les blessures karmiques qu’elle souhaite retrouver pour avoir une nouvelle opportunité de les transmuter.Cela signifie qu’en choisissant ces blessures elle sait qu’elle va attirer à elle de façon quasi magnétique les parents, les circonstances et les rencontres qui vont les réactiver.
Par exemple une âme qui doit se libérer d’une blessure de rejet, sera attirée par des parents dont elle se sentira rejetée, comme des parents qui souhaitent un garçon alors que c’est une fille. Plus tard elle pourra être inconsciemment attirée par des partenaires dont elle se sentira rejetée. 
Une âme qui a besoin de guérir une blessure d’abandon sera « magnétiquement » attirée par des parents qui l’abandonneront ou qui seront peu présents, lui donnant le sentiment qu’elle est abandonnée.
Même si ce n’est pas le cas, elle aura tendance à tout interpréter en fonction de ses blessures, c’est-à-dire que la moindre attitude ou parole un peu distante sera ressentie comme du rejet ou de l’abandon.
Lorsque l’âme fait ses choix d’incarnation, elle n’est pas en contact avec ses mémoires karmiques, donc tout lui parait léger et facile.
Totalement reliée à sa source divine, l’âme est confiante en ses capacités de réaliser son plan d’incarnation, de dépasser ses anciennes erreurs, d’apprendre ses leçons, de développer les qualités qu’elle a choisi de développer et d’accomplir ce qu’elle souhaite pour aider la terre.
Résultat de recherche d'images pour "futurs parents et les liens karmiques"Elle sait que l’incarnation lui offre une puissante opportunité de d’expérimentation et de croissance. C’est au cours de sa descente dans l’incarnation qu’elle retrouve progressivement toutes ses limitations, c’est-à-dire la somme de toutes ses mémoires, croyances limitatives, et blessures non résolues.
Plus l’âme descend vers les plans terrestres, plus elle quitte le sentiment d’unité qui prévaut dans les plans célestes pour entrer dans la dualité .
Elle retrouve l’illusion qu’elle est séparée des autres et du divin. .Elle se sent de plus en plus lourde et oublie peu à peu qui elle est dans son essence divine. Cela soulève en elle beaucoup de peurs et de doutes, notamment la peur de de ne pas réussir son « mandat d’incarnation » et de perdre l’amour qui l’habite et le contact avec la lumière divine.
Cela explique les résistances à l’incarnation qui peuvent surgir à ce moment-là.Certaines âmes ressentent au cours de cette « descente dans l’incarnation » qu’elles ne se sentent finalement pas suffisamment prête et décident de rebrousser chemin.De nombreuses fausses couches trouvent leur origine dans ce processus. Tout ce qui n’est pas accepté et guéri, va donc être reproduit par l’âme pour avoir une nouvelle opportunité de le transmuter.
 Les événements de notre vie vont stimuler nos blessures karmiques jusqu’à ce que nous nous en libérions. Nous attirons inévitablement ce qui est en résonnance avec notre blessure. 
Nous finissons ce que nous n’avons pas achevé, nous retrouvons les êtres avec lesquels une blessure est restée sans guérison et nous revivons des situations pour lesquelles nous étions restés sans solution.
Ainsi ce que nous jugeons chez nos parents, c’est ce que l’âme a choisi de venir rencontrer et guérir en nous. Cela a l’avantage de permettre une meilleure compréhension de la blessure et des prises de conscience nécessaires à notre évolution.
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Quand un être s’affranchit d’une blessure karmique, il contribue à la libération de toute sa lignée familiale.
Ainsi l’âme est attirée par des parents et par une lignée familiale avec des charges et des potentiels aptes à permettre son déploiement malgré les apparences.
Votre enfant vous « choisit » donc autant pour vos qualités et vos forces que pour vos ombres et vos faiblesses. Ainsi, à défaut d’être de parfaits parents, vous serez les parents parfaits c’est à dire les plus appropriés pour votre enfant.
Cette prise de conscience peut soulager bien des peurs et des culpabilités ! Certaines âmes choisissent également des parents dont elles savent qu’elles pourront les aider à évoluer. C’est d’ailleurs de plus en plus le cas actuellement.
Extrait du livre « vivre et transmettre le meilleur pendant sa grossesse » de Sophie Guedj Metthey
Sophie Guedj Metthey est thérapeute et channel. Son site www.sophieguedjmetthey.com
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