Comment générer des tremblements de terre, en envoyant des micro-ondes dans la stratosphère ?



impulsion micro onde


Elle a détruit une tempête près de la Nouvelle Zélande

Le site Dutchsinse a déniché la preuve qu’une impulsion d’énergie à micro-ondes très étrange a frappé la Terre. Il a déjà été démontré qu’auparavant quelques tremblements de terre présentaient des activités micro-ondes plus élevées. Pourrait-il s’agir d’une preuve que des tremblements de terre artificiels sont créés à partir de cette technologie? Ça pourrait l’être.

Dans l’article suivant de David Wilcock, ce dernier passe en revue les preuves suggérant qu’il y a eu des catastrophes produites par l’utilisation de cette technologie énergétique

Voir: David Wilcock – Terrifying Global Events: Triggers for Mass Awakening?

La MACHINE à SEISME, LE PROJET SEAL

C’est une machine imaginée par les scientifiques russes, au temps où la Guerre froide tenait le monde en haleine et que toutes les attentions étaient focalisées sur les armements classiques.

La machine à séismes a été pensée puis conçue avec l’objectif de soulager les maux des populations soumises aux aléas des tremblements de terre et ainsi parer aux conséquences désastreuses qui peuvent résulter de ces catastrophes naturelles, par essence imprévisibles.

Durant la Seconde Guerre mondiale des chercheurs néo-zélandais ont tenté d’élaborer une machine à provoquer des tsunamis qui puisse être utilisée contre le Japon.


Les travaux furent dirigés par l’Australien Thomas Leech de l’université d’Auckland, sous le nom de code « PROJET SEAL ». Plusieurs expériences à petite échelle furent réalisées, en 1944-1945, à Whangaparaoa. Elles furent couronnées de succès.
Les Etats-Unis considéraient ce programme comme aussi prometteur que le « projet Manhattan » de fabrication d’une bombe atomique. Ils désignèrent le docteur Karl T. Compton pour faire la liaison entre les deux unités de recherche.

Compton était le président du MIT. Il avait déjà recruté de nombreux savants pour l’effort de guerre et il était l’une des huit personnes chargées de conseiller de président Truman sur l’usage de la bombe atomique. Il pensait que celle-ci pouvait fournir l’énergie nécessaire à l’équipe de Leech pour provoquer de plus vastes tsunamis.


Les travaux de Thomas Leech furent poursuivis durant la Guerre froide. En 1947, George VI éleva le savant à la dignité de Chevalier de l’Empire britannique pour le récompenser d’avoir élaboré une arme nouvelle. Le Projet Seal étant toujours un secret militaire, il ne fut pas révélé à l’époque qu’il était honoré pour la bombe à tsunami. Par la suite, les services US se sont appliqués à faire croire que ces recherches n’avaient jamais existé et que tout cela n’était qu’un leurre pour impressionner les Soviétiques.


Cependant, l’authenticité des essais de Leech a été établie, en 1999, lorsque une partie de la documentation a été déclassifiée par le ministère néo-zélandais des Affaires étrangères. Officiellement les études ont repris aujourd’hui à l’université de Waikato.
On ignore si les recherches anglo-saxonnes ont été poursuivies durant les années 60, mais elles ont repris par la force des choses lorsqu’il fut décidé de procéder à l’abandon des tests nucléaires dans l’atmosphère au profit de tests sous-marins.


Les Etats-Unis craignaient de provoquer involontairement des tremblements de terre et des tsunamis. Ils voulaient donc savoir le faire volontairement. Officiellement, à la fin de la guerre du Vietnam, les Etats-Unis et l’Union soviétique ont renoncé aux guerres environnementales (tremblements de terre, tsunamis, bouleversement de l’équilibre écologique d’une région, modifications des conditions atmosphériques -nuages, précipitations, cyclones et tornades-, modification des conditions climatiques, des courants océaniques, de l’état de la couche d’ozone ou de l’ionosphère) en signantla « Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles » (1976).


Toutefois, à partir de 1975, l’URSS a ouvert de nouvelles recherches de Magnétohydrodynamique (MHD). Il s’agissait d’étudier la croute terrestre et de prévoir les séismes. Les Soviétiques étudièrent la possibilité de provoquer de petits séismes pour en éviter un grand.

Ces recherches furent bientôt militarisées. Elles aboutirent à la construction de Pamir, la machine à tremblement de terre.



Lors du démantèlement de l’URSS, des responsables de ce programme décidèrent par appât du gain de passer aux Etats-Unis, mais leur recherche étant inachevée le Pentagone refusa de payer. En 1995, alors que la Russie était gouvernée par Boris Eltsine et l’oligarque Viktor Tchernomyrdine, l’US Air Force recruta les chercheurs et leur laboratoire à Nijni Novgorod. Ils y construisirent une machine beaucoup plus puissante, Pamir 3, qui fut testée avec succès.

Le Pentagone acheta alors les hommes et le matériel et les transporta aux USA, où ils furent intégrés au programme HAARP.

Rien ne distingue un séisme provoqué d’un séisme naturel, cependant on ne sait provoquer que des séismes superficiels, comme celui d’Haïti.


Ce qui suscite le trouble, c’est la réaction des Etats-Unis. Alors que les médias atlantistes se contentent de relayer la polémique sur les violations de la souveraineté haïtienne, les médias latinos-américains s’interrogent sur la rapidité du déploiement des GI’s : dès le premier jour, plus de 10 000 soldats et contractants sont arrivés à Haïti.

Cet exploit logistique s’explique simplement. Ces hommes étaient déjà pré-positionnés dans le cadre d’un entraînement militaire. Sous l’autorité du commandant en second du SouthCom, le général P. K. Keen, ils participaient à la simulation d’une opération humanitaire, à Haïti, après un ouragan.
Keen et son équipe étaient arrivés quelques jours auparavant.
Au moment précis du tremblement de terre, ils se trouvaient tous à l’abri, à l’ambassade US qui est construite selon les normes anti-sismiques, à l’exception de deux hommes qui se trouvaient à l’hôtel Montana et qui auraient été blessés.

Le général Keen a donné de nombreuses interviews à la presse états-unienne, qui a multiplié les reportages et émissions à propos des opérations de secours. Il a souvent fait mention de sa présence à Port-au-Prince durant le séisme, mais jamais des motifs de cette présence. Parmi les objectifs de l’exercice militaire figurait le test d’un nouveau logiciel permettant de coordonner les efforts humanitaires des ONG et des armées.

Dans les minutes qui ont suivi la catastrophe, ce logiciel a été mis en ligne et 280 ONG s’y sont inscrites. Il est légitime de se demander si ces coïncidences sont ou non l’effet du hasard…. Source : « secretbase »

La « machine à tremblement de terre » par l’astrophysicien Jean-Pierre Petit,

Des informations consistantes sur la technologie de création de tremblements de terre utilisée comme « arme de guerre ».
projet sealArmes sismiques : comment mettre à genoux un pays, ou… le rayer de la carte !
Générateurs MHD impulsionnels à rafales longues : stade de recherches plus avancé, où le gaz chaud est craché à travers la tuyère durant plusieurs secondes. Quelques exemples :
Typhée : en France dans les années 1960, le CEA construisit directement un tel générateur MHD à Fontenay-aux-Roses. Le prototype Typhée, de type tuyère de Faraday à électrodes segmentées, utilisait de l’hélium ensemencé au césium chauffé à travers un échangeur à barres de tungstène à 3 000 degrés, avec des durées de fonctionnement d’une douzaine de secondes.

Pamir : En Russie, l’IVTAN (Institut des hautes températures de Moscou) conçoit depuis les années 1960 des générateurs MHD impulsionnels à moteur-fusée crachant un gaz à travers des tuyères de Faraday et débitant des millions d’ampères, tels que le modèle
PAMIR-3U sous la direction du Pr. Victor A. Novikov. Les « machines Pamir » connues également sous le nom de « générateurs MHD de Pavlowsky » sont par ailleurs capables de déclencher des séismes.



Cette machine est elle responsable de la catastrophe Japonaise. Si tout ce qui est décrit ici ne dit pas que cette machine est responsable de quoi que ce soit, cela ne dit pas non plus qu’elle ne la jamais été ou encore qu’elle ne le sera pas.


L’année dernière, le journaliste canadien Benjamin Fulford avait demandé lors d’une Interview à l’ex-ministre des finances du Japon Heizo Takenaka « Pourquoi avez vous abandonné le controle du système financier japonais à un groupe d’oligarches américains et européen? »
La réponse très surprenante de Takenaka: « Parce que le Japon fut menacé avec une machine à tremblements de terre. »

Fulford ne voulait pas y croire, mais plus tard, la police japonaise lui signala que parce qu’il avait parlé, il y aurait un tremblement de terre sur la ville de Nigata.

Deux jours plus tard, la plus grosse centrale nucléaire aux environs de Nigata se retrouvait dans l’épicentre de deux tremblements de terre (6,8).
La technologie Haarp permet de générer des tremblements de terre, en envoyant des micro-ondes dans la stratosphère, d’une puissance de un milliard de watts.

Cela provoque un soulèvement, ou compression de la stratosphère qui retombe ensuite en provoquant un tremblement de terre.

Signes avant-coureurs sont une coloration du ciel, comme celle apparue avant le dernier tremblement de terre en Chine, qui a fait 80.000 victimes.

Un satellite taiwanais a mesuré un peu avant cet événement une réduction de 50% de la ionosphère au dessus de cette région….



Source « conscience du peuple« 
http://www.reso-off.fr



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