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samedi 24 janvier 2015

Coucou

Bonjour à vous tous qui lisez ce blog 

Je vous adresse mes Meilleurs Vœux de Bonheur et Santé 2015

Voilà plusieurs mois que je n'ai pas posté d'articles du monde spirituel ; pourquoi ?
Je ne peux vous répondre .
Nous avons tous en nous des hauts et des bas dans la façon de gérer notre amour intérieur .
Autant je peux consacrer  des journées a la méditation , ou de dévorer tous les articles du monde spirituel;autant il y a des semaines c'est inexistant ; nul
Il faut prendre ce qui vient ,et gérer sans se prendre la tete .
Ce qui est acquit et acquit ;tant que la ligne zéro reste stable .


Comme la synchronicité existe 1 semaine après avoir écrit ces lignes je rencontre ce texte 
qui me donne la réponse à mon état :



Question : Que signifie le fait de ne plus avoir envie de rien?

Bien Aimé, la réponse à cela est fort simple et je te la présenterai de deux façons, illustrant, par là même, ce que vient d’exprimer le Bien Aimé Jean avant moi (ndr : intervention de Sri Aurobindo du 1er décembre 2012).
L’envie de ne rien faire peut être considérée, du point de vue de la personnalité, comme une démission d’un rôle ou d’une fonction (sociale, morale, affective, professionnelle ou encore liée à ce que vous nommez, de votre point de vue, la vie), se traduisant aussi bien par le besoin de se nourrir, de se vêtir, de gagner sa vie, ou encore de manifester des interactions au sein de ce monde dans différents secteurs qui vous sont parfaitement connus.

Du point de vue de l’Éternité, ne rien faire c’est justement rentrer en Éternité.

Le fait de moins avoir envie de faire ou, plus directement, de ne plus rien faire, est une démission de la personnalité qui se dirige non pas vers le Néant mais vers l‘Éternité. Ta lucidité va correspondre simplement à l’endroit où tu te situes par rapport à ta propre interrogation.
Il convient toutefois de replacer aussi ce sentiment de ne plus rien avoir envie de faire dans le cadre de ce qui est nommé « habitudes », tel que l’avait exprimé FRÈRE K voilà peu de temps (ndr : son intervention du 24 novembre 2012).
Ainsi, les habitudes, au sein de l’Humanité, sont extrêmement puissantes. Elles participent, à leur façon, à l’instauration et au maintien du système de contrôle du mental humain : l’égrégore social et humanitaire et de l’humanité visant à une pseudo cohésion d’une humanité Une, évoluant vers l’Amour.
Ne plus avoir envie de rien faire peut donc se traduire, réellement, comme une problématique de la personnalité elle-même, que tu nommes ceci dépression ou inversion de l’humeur, stress ou anxiété. En effet, il est différent de ne rien avoir envie de faire, en étant Tranquille, de ne rien avoir envie de faire comme vécu comme une agitation, une anxiété, ou une démission de tout ce qui faisait vos interactions au sein de la vie.
Soit cela est réellement une démission et cela concernera, de toute façon, l’éphémère que tu es. Soit c’est une impulsion à changer de point de vue et à t’établir dans quelque chose qui ne t’es pas encore connu, de manière globale et totale.
L’observation du « ne rien faire » peut donc résulter d’une même cause mais aboutissant à une perception ou à un point de vue qui est différent. Je te rappelle, pour te rassurer, toutefois, qu’il te suffit de regarder, de lire, de voir la vie de certains Êtres, ayant réalisé leur être profond ou étant Libérés de la matrice, se comporter dans leur vie.


Il est évident que, dans toute vie humaine, il existe un certain nombre de composantes variant selon le temps, selon la temporalité, selon l’humeur ou encore selon l’époque qui est vécue sur cette Terre. Seul celui qui stabilise sa propre Éternité est capable de voir, de manière lucide, claire et sans aucune appréhension, la Dissolution de son propre éphémère, la Dissolution de ses propres habitudes.


Du point de vue de celui qui est inscrit dans la personnalité : cela représente une erreur magistrale de défaut de prise en charge de sa propre vie. Du point de vue de l’Éternité : là est la Vérité Absolue. Je vous rappelle que ce « ne rien faire » ne s’inscrit pas dans une temporalité que je qualifirais « usuelle » et « normale » ou « habituelle » de la Terre, mais dans une temporalité altérée correspondant à la fin de tout cycle.
Ainsi donc, ne rien faire et ne plus avoir envie de ne rien faire peut être aussi bien l’expression d’une pathologie que l’expression d’une finalité la plus élevée. Tout dépendra, comme toujours, du point de vue de celui qui regarde comme de ton propre point de vue, en tant qu’observateur au sein du Soi de ta propre vie.

Question : Accueillir tout ce qui se présente peut-il être considéré comme « ne rien faire »?

Bien Aimé, le « faire » et « ne rien faire » correspondent à des actions menées au sein de ce monde : des actions les plus usuelles et habituelles pour un corps (comme se laver ou se restaurer) qui se trouvent, je le rappelle, profondément modifiées, là aussi, par le changement d’habitude lié à la superposition et à la juxtaposition.
Accueillir la Lumière en est l’une des étapes. La deuxième étape (permettant d’aboutir, en quelque sorte, au « ne rien faire ») c’est, bien évidemment, accueillir la Lumière mais accepter de la laisser œuvrer, en vous, sans interférer, en aucune manière, avec elle.


L’Abandon à la Lumière, puis l’Abandon du Soi (tels que je les ai largement expliqués et développés, durant ces années) trouvent, aujourd’hui, de manière fort naturelle, pour vous, son accomplissement. Si ce « ne rien faire » se traduit par un questionnement, par une anxiété, par un sentiment d’anormalité, alors, à ce moment-là, vous savez où se place votre point de vue.
Par contre, si ce « ne rien faire » se traduit par la plus grande des béatitudes, alors vous touchez la Vérité Absolue. Le « rien faire » n’est pas une finalité, surtout que, selon le point de vue, ce « ne rien faire » est profondément différent, selon que vous êtes inscrits dans une histoire logique et temporelle ou selon que vous êtes, dorénavant, placés au sein de ce que vous Êtes, en Éternité.
Ainsi donc, l’observation courante de ces préceptes que nous vous avons donnés, pour cette période, de « ne rien faire » ou de « rester Tranquilles », ne concernent absolument pas une démission d’une des quelconques activités de la personnalité, elle-même, mais résulte et découle directement de la capacité, pour la Lumière, à s’établir en vous, en ce que vous Êtes (parce que vous êtes la Lumière), sans interférences (je nommais cela : frange d’interférences liée à l’éphémère, au transitoire et à la personne). Il existe toutefois (et comme cela a été exprimé, de différentes façons, ces dernières semaines écoulées de votre temps Terrestre) plusieurs façons d’appréhender ce Choc de l’humanité, différentes façons de le vivre.
Rappelez-vous que les circonstances (comme je l’ai exprimé, voilà trois semaines et quatre semaines) qui se déroulent en vous sont très exactement celles que vous avez crées pour vivre cette période, de manière la plus adéquate selon votre point de vue et selon ce que vous Êtes, en Vérité, et la distance pouvant exister entre ce que vous Êtes, en Vérité, et ce que vous en percevez.
Plus cette distance s’amenuise, et plus elle tend à disparaître, plus vous serez dans ce que nous avons nommé Shantinilaya ou Béatitude. Quel que soit ce que devient ce corps, quelle que soit ce que devient cette vie, quel que soit ce que devient ce monde, à ce moment-là vous n’êtes plus concerné, à ce moment-là vous réalisez les paroles du Christ : « je suis sur ce monde mais je ne suis pas de ce monde ».
Ceci est la meilleure façon de vivre la Vie Éternelle et Absolue. Dans les moments où la Lumière vous appelle, comme dans les moments où vous accueillez la Lumière, la résultante sera différente, selon votre point de vue, selon l’endroit, en quelque sorte, où est placée votre conscience : dans l’éphémère de la personnalité et du déroulement de votre vie ou dans l’Éternité de ce que vous Êtes. Le principe même de ce que nous avons appelé « superposition » et « juxtaposition » vous donne à vivre la Tranquillité ou la non-Tranquillité qui ne découlera jamais d’une circonstance extérieure, d’une circonstance physique, sociale, morale, affective ou professionnelle.
Ce qui veut dire, autrement dit, que tant que vous croyez que, pour être Tranquille, vous dépendez de l’état de votre corps, de l’état de vos finances, de l’état de vos interactions, vous n’êtes que dans la personnalité. Ce n’est que lorsque la Béatitude, la Tranquillité et la Paix s’installent, sans aucun effort, sans aucune volonté, sans aucune poursuite de but (quel qu’il soit), que vous trouvez réellement la Paix qui est votre Éternité, votre Présence et votre Absolu. Ainsi donc, la Tranquillité ou le « ne rien faire » peut être vécu de différentes façons selon, bien sûr, où tu te places toi-même.
Extrait de : ANAËL  
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