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samedi 3 octobre 2015

La mort est morte !

Rédigé par : Frank Hatem





L’enjeu est de taille.
La peur de la mort est souvent une des raisons principales pour lesquelles nous n’osons pas vivre ou ne vivons pas dans l’attitude mentale permettant joie et paix.
Souvent a-t-on davantage peur de la mort des autres que de soi.
Normal de ne pas vouloir abandonner ses amis et ses responsabilités, normal également de ne pas vouloir perdre ses proches.
Savoir ce qui en nous meurt et ce qui ne meurt pas, avoir la certitude que l’autre est encore là, plus proche qu’on ne le croit, peut aider.
La croyance en la mort (à part celle du corps physique évidemment) est une méconnaissance de soi, de ce que c’est que l’esprit.
 Ce n’est pas facile de comprendre, cela demande du travail sur le mental, mais le jeu en vaut la chandelle.
L’étude de la  mort,  la réincarnation, et  l’immortalité de l’esprit, permettra de tordre le cou aux vieilles croyances qui nous empoisonnent la vie en nous empêchant de croire à notre éternité métaphysique (pas physique bien sûr, les corps disparaissent et sont remplacés, mais la conscience, elle, ne disparaît jamais.
 On peut en avoir la certitude et non plus la simple croyance ou espérance).
A la question « qui suis-je », nous avons répondu. Je-suis, qui est tout, est la nécessité qu’il y ait un tout et que ce tout soit infini, rendue limitée et consciente par le fait que l’infinité est impossible.
 Si vous lisez cela pour la première fois, cela vous paraît sans doute incompréhensible, mais l’intérêt de ces chroniques hebdomadaires, c’est que semaine après semaine, vous pouvez vous habituer à une tournure d’esprit et comprendre petit à petit ce qui auparavant vous paraissait abscons.
Prenez le temps de regarder ce qui a été écrit auparavant et tout s’éclairera.
Le paradoxe de la Nécessité de l’infini impossible (ou du néant, c’est la même chose) fait que le but est toujours à distance.
C’est la source de la relativité qu’on appelle conscience.
Je me sépare de l’infini mais j’ai vocation à l’être. Répulsion, donc, puis attraction (l’amour est la contrepartie de la conscience).
Cette distance éternellement maintenue engendre l’effet d’espace et, puisque le but reste l’infinité donc l’union avec tout, la conscience se vit dans l’amour avec effet de temps (puisque ce but est toujours repoussé). L’esprit est ce double processus, impersonnel, de conscience et d’amour, et ce n’est personne qui a conscience : la conscience est le produit de ce paradoxe qui, s’il n’était vécu ainsi réellement, serait conceptuel et non effecif.
Je suis donc énergie magnétique, attractive et répulsive, et tout est cela.
 Ce qui permet d’expliquer la nature du réel, l’univers, le corps, sous forme atomique et cosmique.
Ce processus est unique, il n’y a qu’une seule conscience, mais comme elle ne peut pas être infinie, elle est fragmentée, discontinue, et ne pouvant vivre tout, elle vit chaque destin possible, sous forme de corps. C’est le même être qui anime chacun de nous.
Evidemment, puisque c’est cela la conscience, cela explique aussi notre vie concrète quotidienne : donner et recevoir, vouloir et avoir peur, échanger, communiquer pour intégrer l’autre mais tout en restant soi. Cette dualité magnétique est notre nature profonde.
L’appel de l’infini est donc permanent, même si l’impossibilité lui résiste, et c’est cette résistance qui engendre le corps et son inertie d’apparence matérielle.
La rencontre des deux volontés contraires engendre le « grain » de matière, la « résistance » extérieure du monde. Inconsciemment je refuse la fusion et maintiens le monde à l’extérieur, consciemment je fais tout ce que je peux pour m’unir à lui. Je me crois amour, mais je suis tout autant créateur.
Voilà ce que l’évolution humaine amène à comprendre progressivement, ce qui est la source de toute guérison, car c’est uniquement lorsqu’on se reconnaît créateur (inconscient) de sa vie et de son passé, que l’on peut aimer ce passé et s’en libérer.

Si je me reconnais créateur de mon passé, je peux enfin me reconnaître créateur pour mon avenir. Sinon c’est impossible d’être libre. Tant que je n’aime pas totalement mon passé, je suis un infirme au niveau création consciente et, comme je ne me crois pas responsable, ce sont les circonstances extérieures qui s’imposent à moi pour décider ma vie.
Et tant que je me crois une créature soumise à la volonté de l’univers, un corps, au lieu de me reconnaître créateur de cet univers à chaque instant (donc esprit), évidemment je me prends pour un ego limité dans l’espace et le temps, au centre d’un tout éternel, au lieu de me reconnaître éternel créateur dont l’univers est la forme toujours changeante de la pensée.
C’est l’univers, ou plutôt les univers, qui sont éphémères, et moi qui suis immuable, et non l’inverse.

Le mental nous fait croire que nous sommes nés il y a un certain temps dans un univers qui existe depuis toujours et existera bien après nous, c’est exactement l’inverse :

Je suis éternel, en tant que conscience, car la cause de la conscience, le paradoxe magnétique de l’impossible nécessité du néant, est éternelle : à tout instant elle engendre toute l’énergie créatrice de mon univers (la création dans l’espace et le temps, on l’a dit, n’étant que la résultante de ces deux fonctions contradictoires).
Et c’est donc l’univers qui change tout le temps, qui est éphémère. PAS SOI. Il n’y a pas d’univers. Il n’y a qu’une succession d’illusions instantanées toujours différentes. Mais « les jours s’en vont, JE demeure », comme disait Apollinaire.
Cette succession vient du fait que la cause déjà citée est permanente. Elle n’a aucune raison de s’éteindre. La Nécessité du Néant est absolue, on ne va pas revenir sur la démonstration.

Revenons-en à la « mort ».
Une fois qu’on a compris d’où vient la conscience on a compris pourquoi elle est éternelle. Et quand on a compris pourquoi et comment elle engendre le corps, il n’est pas difficile de comprendre pourquoi les corps disparaissent, pourquoi ils ne sont pas, eux, immortels.
 La durée d’un corps n’est pas une donnée qui va de soi, comme si tout ce qui existe devait se situer dans un temps absolu et rester là tant qu’il ne se passe rien de contraire !
Pas du tout. Il n’y a pas de temps absolu. La durée dans le temps est un miracle extraordinaire qui a besoin d’être expliqué (et qui l’a été depuis longtemps ici). Durer et ne pas être éphémère suppose un considérable travail de chaque instant, du fait que ce dont on parle est fini, n’a aucune raison d’être infini ni éternel.
La manifestation de ce qui est éternel n’est pas éternel : la conscience est éternelle parce qu’elle n’atteint jamais son but : l’infinité. Ce faisant elle se manifeste matériellement puisqu’elle est en opposition avec son but. C’est le conflit entre les deux forces qui donne l’inertie, la sensation de matière, et la DISCONTINUITÉ. Tout est délimité et séparé.
Pour que quelque chose de matériel dure, il faut que sa cause dure.
 La chose en elle-même ne peut pas avoir de durée.
La durée vient de la reproduction à chaque instant.
Si la cause était seulement dans le passé, si elle était le fait d’un instant, les corps seraient éphémères, on n’aurait même pas le temps de s’en apercevoir, car il n’y aurait aucune raison qu’ils continuent dans le temps.
S’il y a durée, si la cause se reproduit à chaque instant, c’est qu’il y a nécessité et non hasard.
La conscience est éternelle parce que la Nécessité du Néant n’a aucune raison de s’éteindre.
 Mais comme l’infinité de la nullité est éternellement impossible, le zéro se distingue perpétuellement de l’infini et se positionne donc au centre pour que l’infini lui soit « extérieur ».
C’est la conscience (d’espace). Mais à partir de là la conscience est figée dans des corps et des univers délimités qui manifestent simplement sa non-infinité. Tout paraît discontinu.
Mais chacun de ces corps peut-ils durer aussi longtemps que la cause de la vie ? L’existence de corps ne cessera pas. Il y aura toujours des corps, une discontinuité apparente de la conscience. Mais pour chaque corps le problème se pose différemment.
Ces corps ne peuvent pas être limités dans l’espace et pas dans le temps pour une raison simple : leur but, comme le but de toute chose, est l’infinité. Les limites qui manifestent l’impossibilité de cet infini, même si on s’y accroche le plus possible, finissent par être remises en cause afin qu’une progression vers l’infini ait lieu.
L’incarnation est une résistance à cet appel de l’infini, un garde-fou contre l’infini, mais la nécessité de l’infini est la plus forte, elle est première. Donc aucun fini ne peut être éternel. Le temps de la vie est discontinu tout comme les corps dans l’infini sont discontinus.
Résister à l’appel de l’infini est un effort qu’on en peut maintenir éternellement.
MA VÉRITÉ VRAIE EST UNE VOCATION A L’INFINITÉ, ET IL FAUT DONC BEAUCOUP DE COURAGE ET D’EFFORTS POUR RÉUSSIR À RESTER IDENTIFIE A QUELQUE CHOSE DE LIMITÉ ET STABLE.
Le corps vivant n’est pas le produit d’une lancée une fois pour toute, qui épuiserait petit à petit son énergie. Le corps vivant est une résistance permanente à l’infini qui nous appelle, et c’est pour cela qu’il s’use, tout en évoluant en cours de vie (on accumule de l’information).

J’ai besoin d’être infini, mais le corps, la matière en général, en manifeste l’impossibilité. Le besoin n’en reste pas moins pressant, et il y a un moment où la volonté de lui résister lâche prise.
 Alors les limites sautent, la conscience cesse de tenter de s’identifier à un corps limité, elle rend les armes, et se retrouve davantage dans sa réalité, un peu plus infinie, moins matérielle. Mais pas infinie pour autant. C’est la vie après la mort.
La vie après la mort se fait avec des corps plus subtils, moins matériels, mais des corps quand même, dans un monde où l’espace et le temps limitent beaucoup moins nos vies, et donc où, comme dans le rêve, créer est plus aisé.
Si vous préférez croire que la matière existe vraiment et qu’elle est le produit d’une cause passée qui n’est plus, une source d’énergie passée qui s’épuise petit à petit, et donc que vous êtes ce corps qui va disparaître un jour, vous ne pouvez croire à la survivance de « l’âme ». Il n’y a aucune raison pour que la conscience perdure car elle ne serait pas le moyen d’un but mais un sous-produit de la matière. Quand la matière a fini de bouger, on n’en parle plus.
Par contre, si vous avez compris que la conscience est éternelle parce que sa cause est éternelle, mais qu’elle ne peut pas s’identifier à l’infini et donc qu’elle s’identifie au fini, à des corps, à des personnalités, alors vous comprenez que ce faisant elle lutte contre sa propre nature potentiellement infinie, et donc que tôt ou tard la Vérité va l’emporter. C’est la mort.
La partie personnelle de cette conscience va donc lâcher le corps dont le maintien la fatiguait, et va pouvoir reprendre contact avec sa réalité non physique. Mais comme sa limitation reste nécessaire du fait qu’elle ne peut brûler les étapes de son évolution vers l’infini, dès qu’elle en est capable, elle recrée un corps et une personnalité pour reprendre les choses là où elle les avait laissées.
On ne peut pas ici expliquer tous les niveaux de conscience auxquels on s’identifie selon les étapes de la « mort », mais il suffit de comprendre grosso modo cette respiration qu’est la mort, la conscience ne pouvant maintenir éternellement un corps qui est constamment rappelé par l’infini.
Et en fonction du niveau spirituel auquel on meurt, on choisira quelle nouvelle vie construire physiquement par la suite.
Mais bien sûr, l’ego a peur de tous les changements, et on s’identifie à l’ego quand on est vivant, non au Soi ou à la conscience. Nous ne sommes pas conscients d’être les organisateurs et les décideurs de tout cela, et nous nous sentons in­capables de coopérer avec ces nécessités, nous n’avons pas accumulé assez d’expériences pour vivre cela confortablement ; nos peurs et nos désirs sont toujours trop forts et limitent notre capacité d’amour : alors on ne peut assumer tant d’infinité et il nous faut retourner sur la scène de l’univers pour jouer un nouvel acte et apprendre davantage. Quelque chose de nouveau qui va nous permettre d’avoir moins peur, et d’aimer plus. Nous revenons ainsi plus ou moins vite à la sécurité de la matière dans une nouvelle incarnation. Dans l’illusion bien entendu.
Pourtant, lorsque l’heure approche de prendre un nou­veau corps, de renaître, nous regrettons un peu ce monde où l’amour est plus inconditionnel, où les corps sont plus subtils, où le sentiment de fusion et de liberté est plus grand. Mais il est encore trop tôt pour y rester de façon permanente. Après ces vacances qui vont permettre à vos plaies de guérir, vous devez retourner au travail.
Qui décide de cela ? Je décide. Moi seul peux décider. Qui y a-t-il d’autre que Soi ? En fait, je ne le décide pas après ma mort, mais je le décide tous les jours pendant ma vie sur Terre : chacun de mes comportements est une déci­sion.
Chaque fois que je choisis de haïr ou d’aimer, d’être ceci ou cela, de mentir ou de dire la vérité, chaque geste, parole ou pensée dans ma vie, vont justifier de mes besoins spirituels, de mon assomption plus ou moins grande de mon potentiel infini, et donc décider de ma vie future. Ma décision est une décision de chaque instant. Seul “ je ” est responsable, et ma mort dépend de moi.
C’est pour cela que plus les gens sont amour inconditionnel, plus ils paraissent en unité avec le Tout, moins ils ont l’air de vieillir.
Dans les milieux spirituels, et ceux qui lisent la Presse Galactique peuvent se sentir visés, on n’aime pas toujours l’incarnation. On n’aime pas toujours le corps. On n’aime pas toujours la relativité. On préfère les perfections divines, on préfère jouer avec l’infini et les états de conscience auxquels habituellement la vie matérielle ne nous donne pas accès, et donc le galactique nous passionne.
On a gardé de la vie avant la vie le souvenir de plus de fusion, de plus d’amour, de plus d’indifférenciation, et revenir dans le monde où on est séparé, chacun seul face à lui-même et toujours trop éloigné de l’autre, paraît insupportable. Qu’ai-je donc fait de mal pour mériter ce nouveau destin ?
Je n’ai spécialement rien fait de mal, simplement j’expérimente la discontinuité. C’est à présent que ma vie commence car c’est maintenant que je peux faire la preuve de ma compréhension de la vie et faire de ma relation au monde une relation parfaite, d’acceptation et de création, pour manifester que je n’ai plus besoin de m’incarner et que mon évolution peut prendre une autre forme, plus subtile. Plus proche de Toi mon « Dieu-but » infini.
Ce n’est que dans la mesure où j’aimerai pleinement la vie que je pourrai ne plus la vivre. Car à un certain niveau elle ne pourra plus rien m’apporter et donc ce n’est plus de cette vie que j’aurai besoin. Et ce n’est qu’ainsi que la succession de vies et de morts cessera. Mais si je n’aime pas totalement mon passé et ma création universelle, alors j’ai encore tant de choses à apprendre de ma vraie nature qu’il me faut encore beaucoup, beaucoup d’expériences corporelles.
La spiritualité est une relation à la matière, pas une relation à « Dieu ». C’est la vie elle-même. L’acceptation, l’amour du monde, la reconnaissance qu’on en est créateur, voilà ce qui fait plaisir à notre divinité. C’est notre « but », notre vocation. Et la succession de nos vies ne sert qu’à consolider cet amour de l’incarnation. La fuir est le meilleur moyen de s’y emprisonner encore et encore, car cela montre qu’on n’a pas compris, et donc qu’on a encore besoin de souffrir un peu.
Aimer l’incarnation est la clef. Et pour l’aimer il ne faut pas s’en culpabiliser, et pour ne pas s’en culpabiliser, il faut comprende le jeu.
S’incarner totalement et pleinement est l’objectif de toute compréhension métaphysique. Ce n’est certes pas de comparer la vie à un idéal supposé immatériel, et de profiter de toutes les occasions pour échapper aux responsabilités du quotidien qui nous rappellent nos limites et nous apportent parfois la souffrance.
La vie est une relation. Vous êtes une relation. Vous êtes une manière d’aimer le monde, et votre façon de l’aimer détermine votre image actuelle, qui vous limite, pour en­suite créer votre univers environnant, votre complément pour être un.
Votre univers est exactement votre complé­ment, celui dont vous avez besoin pour devenir complet. Peut-être pas infini mais en tout cas plus libre.
Lorsque vous avez compris comment et pourquoi votre esprit crée l’univers, vous savez pourquoi et comment l’aimer : en essayant de vous y voir vous-même. Vous êtes amour, il y a l’amour dans toutes les choses de l’univers. C’est alors que vous pourrez l’aimer.
Ceux que l’on n’aime pas ou ceux à qui l’on s’oppose nous sont indispensables pour être. Ce sont ceux dont nous avons le plus besoin, et c’est pourquoi nous les retrouverons toujours sur notre chemin, nous priant de les aimer. Nous devons tous nous aimer les uns les autres, aimer les multiples facettes de Soi. Ce sont des expériences différentes de l’être. Pour qu’on soit tous d’accord, il faudrait qu’elles soient toutes identiques, et dans ce cas, à quoi serviraient- elles ? Elles ne constitueraient pas le tout qui a besoin de cette diversité, de tous ses points, de tous ces “ points de vue de l’infini ”.
Voilà pourquoi on ne peut aimer “ Dieu ” qu’en aimant ses créatures, et on ne peut vivre “ Dieu ” qu’en vivant l’uni­vers. Cela réhabilite l’existence humaine par rapport à l’Absolu. L’Absolu a bseoin du relatif. “ Dieu ” a besoin de nous.
L’imperfection de la nature humaine manifeste sa dualité. Sans l’imperfection du relatif, sans l’homme avec tous ses défauts, sans “ Satan-la-Séparation ”, l’Absolue perfection de l’instant présent divin ne serait pas. Il n’y a pas de perfec­tion sans toutes les imperfections, comme il n’y a pas d’infini en dehors de l’ensemble de toutes nos limites et de nos finitudes. Merci à vos défauts, merci aux miens, qui nous font parfois nous chamailler. Notre impatience vis-à-vis des autres n’est qu’un amour insatisfait ; car refusé. Et quand on retrouve nos ennemis après la mort, dans l’amour, on les congratule d’avoir bien joué le rôle qui nous a fait évoluer vers notre vérité.
On ne remercie jamais assez les autres d’être ce qu’ils sont ; cela nous permet d’être nous-mêmes, et réciproque­ment, dans ce grand concert universel de l’infinie multitude des limitations de l’être.
C’est cela, « 1′unité », l’unité du moi avec la réalité que JE vis, et qui est déjà du passé. Il n’y a pas d’autre unité accessi­ble à la conscience que grâce aux différences de la discontinuité. Nous sommes tous les vies futures ou les vies antérieures les uns des autres.
On est tous là pour le comprendre.
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