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mercredi 26 mars 2014

Explication de la naissance de l'Humanité selon ( David Icke 1/3 )

David Icke ( Extrait )



Depuis des milliers d'années, le pouvoir de ces lignées a pris de l'expansion à travers la planète.

 Un aspect critique a été la création d'un réseau d'écoles de mystères et de sociétés secrètes dans le but d'introduire leur Plan abscons quand, au même moment, elles créaient des institutions comme les religions pour emprisonner les masses mentalement et émotionnellement, tout en les menant à la
guerre les unes contre les autres.





 La hiérarchie de cette tribu consanguine n'est pas exclusivement mâle et certaines des positions clés sont détenues par des femmes.
Mais en terme de nombre, c'est une majorité écrasante de mâles.
 Je vais donc faire référence à ce groupe sous le nom de Fraternité.
De manière plus précise, étant donné l'importance de l'ancienne Babylone dans cette histoire, je vais aussi l'appeler la Fraternité babylonienne.
 Le Plan qu'ils nomment leur « Grand œuvre des âges », je l'appellerai le Plan de la Fraternité.
 La présente magnitude du contrôle de la Fraternité ne s'est pas produite en quelques années ni même en quelques décennies ou siècles : on peut la retracer au travers des millénaires.

 Les structures contemporaines des institutions gouvernementales, bancaires, commerciales, militaires et médiatiques n'ont pas été infiltrées par cette force, elles ont été créées par elle, dès le départ.



 Le Plan de la Fraternité est, en vérité, celui de plusieurs millénaires.
 C'est le déploiement d'un Plan, pièce par pièce, pour centraliser le contrôle de la planète.

La hiérarchie de cette lignée au sommet de la pyramide humaine de contrôle et de répression se passe le bâton à travers les générations, principalement par les fils succédant à leur pères.

 Les enfants de ces lignées familiales choisis pour hériter du bâton, sont éduqués dès la naissance à comprendre le Plan de la Fraternité et les méthodes de manipulation du « Grand œuvre » dans sa réalité.

Faire progresser le Plan devient leur mission endoctrinée dès le plus jeune âge.
Lorsque leur tour vient de joindre la hiérarchie de la Fraternité et de trans- mettre le bâton à la prochaine génération, leur éducation les a façonnés en des personnes hautement déséquilibrées.

Ils sont intellectuellement très vifs, mais sont tributaires d'une obstruction de la compassion et d'une arrogance concernant leur droit de régner sur le monde et de contrôler les masses ignorantes qu'ils considèrent inférieures.




 N'importe lesquels des enfants de la Fraternité qui menacent de défier ou de rejeter ce moule sont évincés ou pris en charge de quelque autre manière pour garantir que seules les personnes « sûres » atteignent les niveaux supérieurs de la pyramide où résident le plus haut secret et la connaissance la plus avancée.

 Certaines de ces lignées peuvent être identifiées : la maison des Windsor en est une, les Rothschild, la royauté et l'aristocratie européennes, les Rockefeller et les autres du prétendu establishment occidental des États-Unis et qui produit les présidents américains, les hommes d'affaires influents, les banquiers et les administrateurs.

 Mais, au plus haut sommet, la cabale qui contrôle l'espèce humaine agit dans l'ombre, hors du domaine public.
N'importe quel groupe qui est assez déséquilibré pour convoiter le contrôle entier de la planète combattra en son sein lorsque différentes factions rechercheront le contrôle suprême.
 Ceci est certainement vrai de la Fraternité. Il y a de terribles luttes intestines, des conflits et de la compétition.
 Un chercheur les a décrit comme une bande de voleurs de banque où tous s'accordent sur le travail à faire, mais se disputent ensuite le partage du butin. Cela est une excellente description car à travers l'Histoire, différentes factions ont guerroyé les unes contre les autres pour la prédominance.






 Cependant, et en dernière analyse, ils sont unis dans leur désir de voir le Plan mis en application et dans les moments décisifs, ils joignent irrésistiblement leurs forces pour sa progression lorsque ce dernier est menacé. Il vous faudra certes reculer des centaines de milliers d'années pour retrouver les prémices de cette histoire de manipulation humaine et des lignées familiales qui orchestrent le Grand œuvre.

Plus ma recherche avançait au cours des années et plus évident il m'apparais- sait que l'origine de ces lignées et du Plan pour la domination de la terre provenaient d'outre-planète, d'une race ou de races d'autres sphères ou de dimensions évolutives.

Extranéens (ou extraterrestres) comme nous les appelons. Si vous doutez de l'existence de vie extranéenne, considérez ceci pour un moment :

Notre soleil n'est qu'une des quelques 100 milliards d'étoiles de cette seule galaxie.
Sir Francis Crick, lauréat du prix Nobel, dit que l'on estime à 100 milliards les galaxies contenues dans notre univers et il croit qu'il y a au moins 1 million de planètes dans notre galaxie qui pourraient entretenir la vie comme nous la connaissons.
 Imaginez ce que le nombre pourrait être pour l'univers entier, bien avant de commencer à considérer d'autres dimensions d'existence au- delà du champ de fréquences de nos sens physiques.

 Si vous voyagiez à la vitesse de la lumière, 186 000 milles (300 000 km) à la seconde, cela vous prendrait 4,3 années pour atteindre l'étoile la plus proche de notre système solaire et de même, à cette vitesse, cela prend à la lumière 100 ans pour traverser juste cette galaxie.



 Cela en dit long du niveau d'endoctrinement de l'humanité quand parler de vie extraterrestre paraît excentrique et que l'écarter et suggérer qu'elle a seulement émergé sur cette petite planète est considéré digne de foi.

Vous n'avez qu'à considérer les étonnantes structures qui foisonnaient dans l'Antiquité pour conclure qu'une race évoluée existait déjà.
 On nous dit que seuls des primitifs, si on les comparent aux humains modernes, existaient à cette époque, mais cela est manifestement grotesque.

Comme la plupart de la « pensée » officielle, l'establishment historique et archéologique invente ses propres histoires, les considère comme des faits prouvés et ignore l'accablante évidence qu'elles sont fausses.
 L'idée n'est pas d'éduquer, mais d'endoctriner.

Quelqu'un qui ne se conforme pas à la ligne officielle en Histoire est isolé par ses confrères historiens et archéologues qui, ou bien savent que leur travail, leur réputation et les fonds sont plus en sécurité s'ils s'en tiennent à la version officielle, ou alors, honnêtement, ils ne peuvent voir plus loin que le bout de leur nez. Le même constat peut être fait de la plupart des gens dans l'enseignement ou dans les professions
 « intellectuelles ».

Nous retrouvons partout sur la planète des structures fantastiques construites il y a des milliers d'années et qui n'ont pu être créées que par une technologie égale, souvent même supérieure à celle que nous avons aujourd'hui.

À Baalbek, au nord-est de Beyrouth au Liban, trois blocs massifs de pierre pesant chacun 800 tonnes ont été déplacés au moins sur un tiers de mille et ont été hissés très haut sur un mur. Cela a été accompli des milliers d'années av. J.-C. !
Non loin de là, un autre bloc pèse 1,000 tonnes, le poids de trois gros avions à réaction.




 Comment cela était-il possible ?

L'Histoire officielle ne désire pas aborder de telles questions compte tenu de l'impasse où elles pourraient mener.
Vous imaginez- vous appeler un entrepreneur aujourd'hui et lui demander de faire cela ?
« Vous voulez que je fasse QUOI ? » vous dirait-il, « Vous êtes fou ! ».

Au Pérou, on retrouve les énigmatiques dessins de Nazca. Les anciens ont éraflé la surfacez du terrain pour révéler la sous-couche blanche et par cette méthode, ont créé d'incroyables
représentations d'animaux, de poissons, d'insectes et d'oiseaux.





 Certaines d'entre elles sont si grandes qu'elles ne peuvent être vues dans leur totalité qu'à 1,000 pieds d'altitude !
 La connaissance qui a permis la construction de merveilles telles que Nazca, Baalbek, la grande pyramide de Gizeh et autres créations incroyables, avec une telle précision et à une telle échelle, est venue d'une race évoluée qui, à cette époque reculée, vivait au sein d'une population générale beaucoup plus primitive.


 Cette race est décrite comme étant « les dieux » dans les textes de l'Ancien Testament, dans d'autres écrits et dans les traditions orales de l'Antiquité.

Je peux entendre les adeptes de La Bible nier que leur livre mentionne « les dieux ». Mais il le fait.
 Quand le mot « Dieu » est utilisé dans l'Ancien Testament, il est souvent la traduction d'un mot signifiant dieux, au pluriel, Elohim et Adonaï en sont deux exemples.






 Vous pouvez facilement concevoir qu'une race capable de performances technologiques d'une telle amplitude soit perçue comme des « dieux » par des gens incapables de comprendre de telles habiletés.

Dans les années '30, des pilotes américains et australiens ont atterri dans des régions isolées de la Nouvelle-Guinée afin de ravitailler leurs troupes. Les autochtones qui n'avaient jamais vu d'avion ont cru que les pilotes étaient des dieux et ils sont devenus le centre de leurs croyances religieuses.
 Cette réaction aurait été davantage extrême dans l'Antiquité si cette race évoluée avait été des êtres venus d'autres planètes, étoiles ou dimensions, volant dans des engins encore plus sophistiqués que ceux qu'utilise l'armée aujourd'hui (du moins officiellement !).

Un déferlement de connaissances provenant de l'extérieur de cette planète ou d'une autre source, expliquerait tellement ces « mystères » que l'Histoire officielle accueille avec un silence assourdissant.
 Les incroyables exploits architecturaux deviennent également compréhensibles et aussi le mystère des civilisations telles que celles de l'Egypte et de Sumer (La terre de Shinar dans La Bible) qui ont commencé au sommet de leur développement pour tomber en désuétude quand le cours normal de l'évolution est de commencer à un plus bas niveau et d'avancer lentement par le biais de l'apprentissage et de l'expérience.




 Il y a certes eu un influx de connaissances hautement avancées qui ont été plus tard perdues pour la plupart des peuples.
Dans chaque culture à travers le monde, il y a d'anciennes légendes et des textes qui décrivent « les dieux » qui ont apporté ce haut savoir.
Ceci expliquerait également le mystère par lequel les anciens avaient une compréhension phénoménale de l'astronomie.




Il existe d'intarissables légendes de par le monde d'une période que l'on appelle « l'âge d'or » et qui a été détruite par un cataclysme et la « chute de l'homme ». Le poète de la Grèce antique, Heslod, décrivait le monde avant la  chute .

Sir Austen Henry Layard 
Les récits les plus complets concernant une race évoluée sont contenus dans quelques dizaines de milliers de tablettes d'argile trouvées en 1850 à environ 250 milles de Bagdad en Irak par un Britannique, Sir Austen Henry Layard lorsqu'il travaillait au site d'excavation de Ninive, la capitale de l'Assyrie.




Le site était situé près de la ville irakienne de Mosul.



D'autres découvertes ont suivi dans cette région qui s'appelait autrefois la Mésopotamie.

 La source originelle de cette connaissance ne provenait pas des Assyriens mais plutôt des Sumériens qui ont habité cette même région de 4 000 à 2 000 av. J.-C, selon l'estimation.
 Je me référerai donc aux tablettes d'argile sous les vocables « textes sumériens » ou « tablettes sumériennes ».


Elles sont l'une des plus grandes découvertes historiques imaginables et cependant, 150 ans après leur découverte, elles sont toujours ignorées par l'Histoire et l'éducation conventionnelles.
 Pourquoi ? Parce qu'elles sabotent la version officielle des événements.
 Le plus illustre traducteur de ces tablettes est l'exégète et auteur Zecharia Sitchin, qui lit le sumérien, l'araméen, l'hébreu et d'autres langues du Moyen et du Proche-Orient2.




 Il a traduit les tablettes sumériennes, les a étudiées de manière approfondie et il n'a aucun doute qu'elles décrivent des êtres extra- terrestres.
Certains chercheurs disent qu'il a utilisé une version plus récente du sumérien pour en traduire une plus ancienne et donc, certaines de ses traductions pourraient ne pas être précises à 100 %.
 Je crois que ses thèmes sont corrects car d'autres récits et évidences les corroborent mais je doute personnellement de quelques détails.
 Je crois que certaines des interprétations de Sitchin sont extrêmement douteuses, mais j'acquiesce à sa thèse générale.

 Zecharia Sitchin

 Selon ses traductions (et d'autres) les textes disent que la civilisation sumérienne, de laquelle plusieurs traits de la société moderne dérivent, était un « don des dieux ».
Non pas des dieux mythiques, mais bel et bien physiques qui vivaient parmi eux.
 Les tablettes les appellent les AN.UNNAK.KI (ceux qui des cieux à la terre sont venus), et DIN.GIR (les justes des fusées flamboyantes).
 Le nom même de Sumer était KI.EN.GIR (la terre du seigneur des fusées flamboyantes, et aussi, la
terre des veilleurs), selon Sitchin.






L'ancien texte connu sous le nom de Livre d'Enoch appelle également les dieux « les Veilleurs », tout comme l'ont fait les Égyptiens.
Le nom égyptien pour leurs dieux, « Neteru », se traduit littéralement par Veilleurs et ils ont dit que ceux- ci étaient arrivés dans des bateaux célestes.
 Selon Zecharia Stichin, les tablettes décrivent comment les Anunnaki sont venus d'une planète appelée Nibiru (la planète du croisement) qui a, selon lui, une orbite elliptique de 3 600 années qui l'amène entre Jupiter et Mars et puis, loin dans l'espace, au-delà de Pluton. Selon Sitchin, les Sumériens l'appelaient Tiamat, ou Le Monstre Aqueux

.



 Il ajoute que ce sont les débris provenant de la collision entre Tiamat et la lune de Nibiru qui a causé la formation de la ceinture d'astéroïdes qui se situe entre Mars et Jupiter.
 Les traductions de Sitchin prétendent que les résidus de Tiamat ont été propulsés sur une autre orbite et, par la suite, sont devenus la terre (voir Tableau 2).

Le nom sumérien pour la terre, selon Sitchin, signifie le Fendu parce qu'un vaste trou a été créé par la collision. Bien sûr, en retirant l'eau de l'océan Pacifique, il y resterait toujours un trou gigantesque.

 D'autres chercheurs, cependant, disent que les Sumériens ont vu le système stellaire du Dragon, comme le dragon légendaire et l'ont appelé Tiamat, une déesse babylonienne qui se transformait elle-même en dragon pour s'assurer d'un avantage au combat quand les autres dieux commençaient à la défier.
 Cette relation au système stellaire du Dragon deviendra très pertinente dans le prochain chapitre.

Les tablettes sont le compte-rendu écrit de traditions orales qui remontent très loin dans le temps et nous devons être attentifs à ce que des détails n'aient été rajoutés ou perdus de sorte que nous ne prenions le symbolisme ou la parabole comme vérité littérale.

 Je suis convaincu que des confusions se sont produites de cette manière.
J'ai personnellement des doutes sur le scénario de Nibiru-Tiamat et sur l'estimation temporelle de la séquence.
Toutefois, il y a beaucoup de vérités dans les textes qui peuvent être prouvées et leur connaissance de l'astronomie ne serait pas la moindre.
 Les tablettes décrivent correctement le système solaire avec ses planètes dans leurs positions, orbites et grosseurs relatives et leur précision n'a été confirmée qu'au cours des 150 dernières années, depuis que certaines de ces planètes ont été découvertes.

Les tablettes décrivent la nature et la couleur de Neptune et d'Uranus qui n'ont été corroborées que depuis les dernières années.




De plus, les « experts » modernes ne s'attendaient pas à ce que les planètes ressemblent à ce à quoi elles ressemblaient et malgré cela, les Sumériens eux, savaient des milliers d'années av. J.-C, ce que notre science « évoluée » vient tout juste de découvrir.

Le plus étonnant à propos des tablettes sumériennes c'est la manière dont elles décrivent la création de l'homo sapiens.
Selon Sitchin, les Anunnaki sont venus sur terre il y a environ 450 000 ans, pour exploiter des mines d'or sur l'emplacement du continent africain.


Le site minier principal était dans la région du Zimbabwe contemporain, une zone que les Sumériens appelaient AB.ZU (dépôt profond), selon lui.
 Des études faites par la Corporation anglo-américaine en Afrique ont avancé de nombreuses preuves d'exploitation aurifère qui datent d'au moins 60 000 ans, si ce n'est 100 000 ans.

 Sitchin rapporte que d'après les tablettes, l'or extrait par les Anunnaki était expédié sur leur planète d'origine à partir de bases situées au Moyen-Orient.




 Je crois qu'il y a beaucoup plus de choses à découvrir sur cette histoire de mines d'or, mais je doute que c'était là la raison principale de leur venue.
Selon Sitchin, l'extraction de l'or était au début confiée à la classe ouvrière, dans sa version anunnaki, mais finalement les mineurs se sont rebellés et l'élite royale anunnaki a décidé de créer une nouvelle race d'esclaves pour accomplir le travail.
 Les tablettes décrivent comment les gènes des Anunnaki et ceux des indigènes humains ont été combinés en éprouvette afin de créer un humain « amélioré », capable d'accomplir les tâches que les Anunnaki requéraient.
 L'idée de bébés éprouvettes aurait semblé ridicule lors de la découverte des tablettes en 1850, mais c'est précisément ce dont les scientifiques sont maintenant capables. Encore et encore, les recherches
modernes corroborent les thèmes des tablettes sumériennes.






Par exemple, une soudaine amélioration de la forme physique humaine, et jusqu'à présent inexpliquée, est survenue il y a environ 200 000 ans.
La science officielle garde le silence sur la cause et murmure des termes comme « le chaînon manquant ».

Mais certains faits inévitables doivent être abordés.
 Soudainement, la forme physique précédente connue sous le vocable d'homo erectus, est devenu ce que nous appelons maintenant l'homo sapiens.
Dès le départ, le nouvel homo sapiens avait l'habileté de parler un langage complexe et le volume du cerveau humain a augmenté considérablement.
 Pourtant, le biologiste Thomas Huxley disait que de tels changements majeurs peuvent prendre des dizaines de millions d'années à s'accomplir.
 Cette vision est soutenue par l'évidence de l'homo erectus qui aurait émergé en Afrique, il y a environ 1,5 million d'années. Pendant une période excédant de beaucoup le million d'années, sa forme physique semble être demeurée la même et, soudainement, venant de nulle part, est apparu le  changement radical vers l'homo sapiens.



Il y a environ 35 000 ans, une autre soudaine amélioration s'est produite et l'homo sapiens sapiens a émergé sous la forme physique que nous connaissons aujourd'hui.
 Les tablettes sumériennes identifient les deux personnes impliquées dans la création de la race d'esclaves. C'était le chef scientifique nommé Enki, Maître de la terre (Ki=terre), et Ninkharsag, aussi connu sous le nom de Ninti (Dame vie) à cause de son expertise en médecine.
Enki
 Plus tard, on faisait référence à elle sous le nom de Mammi d'où dérivent mama et mère. Dans les représentations mésopotamiennes, Ninkharsag est symbolisée par l'outil servant à couper le cordon ombilical.
Il était en forme de fer à cheval et était utilisé dans l'Antiquité. Elle est aussi devenue la déesse mère de tout un flot de religions sous les noms suivants : reine Sémiramis, Isis, Barati, Diane, Marie et de beaucoup d'autres qui ont émergé des légendes partout dans le monde.




 Elle est souvent représentée comme une femme enceinte.
 Voici ce que disent les textes à propos des chefs anunnaki :
Ils convoquèrent et demandèrent à la déesse, La sage-femme des dieux, la sage génitrice qui dit : « Donne la vie à une créature, crée des travailleurs ! Crée un travailleur primitif, Qu'il puisse porter le joug ! Laisse-le porter le joug assigné par Enlil, Laisse le travailleur porter le labeur des dieux ! »

Enlil était le commandant des Anunnaki et Enki était son demi- frère. Les tablettes décrivent comment Enki et Ninkharsag ont essuyé plusieurs échecs avant de trouver la formule génétique appropriée.

 Certains récits décrivent comment ils ont créé des êtres affligés de tares majeures et même d'hybrides homme-animal. Des horreurs qui ressemblent exactement à ce qu'on dit trouver aujourd'hui dans des bases souterraines humano-extranéennes autour du monde.

 L'histoire de Frankenstein, l'homme créé en laboratoire, pourrait être un rappel symbolique de ces événements.
Elle a été écrite par Mary Shelley, l'épouse du poète renommé. Ils étaient tous les deux de hauts initiés du réseau de sociétés secrètes qui ont encoffré puis étouffé cette connaissance depuis l'Antiquité.

Les tablettes disent que Enki et Ninkharsag ont éventuellement trouver le juste amalgame qui a donné le premier hotno sapiens, un être que les Sumériens appelaient un LU.LU (celui qui a été mélangé).
 Il a été probablement l'Adam de La Bible.




LU.LU. était un hybride génétique, la fusion de l'homo erectus avec les gènes des dieux dans le but de créer un esclave, une abeille ouvrière humaine, il y a de cela 200 000 à 300 000 ans.
 Une version femelle a également été créée. Le nom sumérien pour humain était LU, dont la racine étymologique est « ouvrier » ou « serviteur » et était aussi utilisé pour désigner les animaux domestiques.
Voici ce que l'espèce humaine n'a plus cessé d'être depuis.
 Les Anunnaki ont, manifestement puis secrètement, gouverné la planète depuis des millénaires.

 La traduction erronée de la Bible et des expressions symboliques prises au pied de la lettre en ont dévasté la signification originelle et nous ont légué une légende fantastique.





Et ce qui a été utilisé à ce moment-là l'est encore actuellement.
 La connaissance ésotérique dont les Nazis ont fait usage pour hypnotiser massivement le peuple allemand est présentement utilisée pour accroître l'hypnose mondiale sur la race humaine.
 Joseph Goebbels 
 Les symboles, les mots, les couleurs, les sons, et autres techniques dont le public n'est pas informé, sont employés par les médias et la publicité pour nous hypnotiser.
Le ministre de la propagande Joseph Goebbels se basait sur la connaissance ésotérique du psychisme humain.




Il savait reconnaître les gens qui croiraient tout ce qu'on leur dirait, si on leur répétait assez souvent, et si on manigançait, dans l'esprit du public, des événements qui pouvaient créer la pensée que « quelque chose doit être fait ». Il utilisait les couleurs, les symboles et les slogans pour obtenir de grands effets. Les slogans étaient utilisés comme des mantras et ils étaient répétés inlassablement, hypnotisant ainsi le psychisme du peuple.

Toutes les informations et les opinions différentes étaient censurées et les gens étaient programmés à répondre tel qu'il était désiré. Quelle est la différence entre cela et le constant goutte à goutte d'informations biaisées et inexactes qui nous sont données, à nous et à nos enfants aujourd'hui ?

Il n'y a peut être pas d'affiches de croix gammées, mais c'est le même hypnotisme de masse. Il pourrait sembler contradictoire qu'Hitler ait cherché à détruire les sociétés secrètes comme les francs-maçons et qu'il interdise l'utilisation de la connaissance ésotérique dans la société allemande, mais ça ne l'est pas.
                                             ............................................................................



(NDR) Pour ne pas provoquer une vibration négative ,j'ai choisi ce revers de drapeau pour l'illustration :


La croix de Svastika inscrite dans un carré peut être  retournée, donnant deux versions de sens opposé, facilement identifiables visuellement, mais difficilement différentiables dans certaines langues. 

En sanscrit, les deux formes portent des noms qui diffèrent par le radical : « bon » pour l'une   et            « mauvais » pour l'autre. 

En Occident, on considère en général que le svastika « tourne ».
 On le qualifie donc de « dextrogyre » lorsqu'il tourne dans le sens de aiguilles d'une montre, et de lévogyre dans le cas contraire.

 Mais l'emploi de ces adjectifs ne fait qu'entretenir la confusion, car il existe deux interprétations possibles du sens de rotation.

 Si l'on considère qu'il s'agit à l'origine de la représentation symbolique d'une rotation, celle-ci s'effectue dans le sens inverse de celui indiqué par les pointes : les coudes de la croix, et non la pointe des barres, indiquent donc le sens de rotation.


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 Il savait autant que les autres que le pouvoir était disponible pour ceux qui comprenaient, et il voulait garder cela pour lui. En 1934, toutes les formes de divination sont devenues interdites à Berlin et, plus tard, les livres ésotériques ont été interdits dans toute l'Allemagne.

 Les sociétés secrètes ont été démantelées, même la Société Thulé et l'Ordre Allemand (qui ont fondé le nazisme ensemble...) ont été visés !
 Les astrologues étaient attaqués et assassinés, et des gens comme Lanz von Liebenfels se sont vus empêcher de publier leurs livres.
 Cette inquisition avait deux raisons principales : distancer Hitler et les Nazis de l'occultisme dans les pensées du peuple et des autres pays et, plus important encore, dresser un mur pour empêcher quiconque d'utiliser la connaissance ésotérique contre eux, comme ils se permettaient de le faire.

 C'est le reflet des tactiques utilisées par les Aryens-reptiliens à travers l'Histoire, de la même manière qu'ils utilisaient la connaissance pour contrôler et supprimer, pendant qu'ils créaient une dictature
religieuse afin de retirer cette même connaissance de la circulation.




 En réalité, les Nazis ont été créés et contrôlés à tous les niveaux par le réseau de sociétés secrètes et, finalement, par les reptiliens.
Ils croyaient que les dieux sumériens étaient la race supérieure extranéenne ; ils croyaient en l'existence de l'Atlantide ; ils ont envoyé des expéditions en Afrique du Nord, à Rennes-le-Château et à Montségur en contrée cathare, ainsi qu'au Tibet où ils situaient le souterrain des surhommes.

Il y a un courant de croyances bouddhistes très positif, de même qu'un très négatif. Les Nazis étaient reliés au courant négatif et, lorsque les Russes sont arrivés à Berlin à la fin de la guerre, ils ont trouvé les cadavres de plusieurs moines bouddhistes qui avaient travaillé avec les Nazis.


Fin de narration -----
David Icke        ( A suivre )

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