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vendredi 21 novembre 2025

genèse d’un secret radioactif

 

Aux confins du mensonge d’État : genèse d’un secret radioactif !
Dans les canyons écarlates du Nouveau-Mexique, à deux pas de la réserve Jicarilla Apache, un labyrinthe souterrain siphonne l’argent public depuis un demi-siècle.


 Dulce n’est pas une légende de bar : c’est un site classifié, financé par des lignes budgétaires noires, où l’on croise des badges du DOE, du NSA et de contractors sans visage.
 Les premiers rapports crédibles surgissent dans les années 80, quand deux enquêteurs indépendants – l’historien Richard Dolan, auteur de la référence UFOs and the National Security State,




 et le Britannique Nick Redfern, plume acérée de Final Events   commencent à croiser les témoignages.







 Mutilations de bétail, enlèvements, fœtus hybrides : le puzzle est trop cohérent pour être folklorique. 

Dolan, en 2025 lors d’un panel Disclosure diffusé sur YouTube, lâche : « Le black budget n’a jamais été aussi opaque. Dulce n’est pas un centre de recherche ; c’est une machine à effacer la preuve. »

Premiers indices : un flic seul face à l’horreur
Gabriel Valdez, shérif du comté de Rio Arriba, découvre une vache vidée de son sang, incisions laser, fœtus mi-humain mi-reptilien. 
Le rapport officiel classe l’affaire « prédation coyote ».





Valdez, ancien Marine, n’avale pas la pilule. Il photographie, conserve les échantillons, témoigne. Ses supérieurs le mettent au placard.
 Vingt ans plus tard, Linda Moulton Howe , Peabody Award, documentaire A Strange Harvest (1980) – 
 
       
       



analyse les mêmes tissus : ADN recombinant, absence de coagulation, traces de nanites. Howe, en voix off : « Les militaires ont pris le relais des éleveurs. 
Le bétail n’était qu’un banc d’essai. »

Cartographie d’un cauchemar : sept niveaux, zéro éthique

Thomas Edwin Castello, ex-superviseur vidéo du site, fuit en 1987 avec 28 photos et 12 heures de bandes. 



Les « Dulce Papers » décrivent :
  • Niveau 4 : contrôle mental. Patients psychiatriques recrutés via les VA hospitals, soumis à des fréquences ELF, implants cochléaires, scénarios de rêve induits.



  • Niveau 5 : génétique. Cuves de gestation, hybrides viables à 60 %. Un biologiste anonyme du National Recon Group : « On ne crée pas des soldats ; on crée des organes. »


  • Niveau 6 – « Nightmare Hall » :   rangées de cylindres translucides. Humains, grays, chimères. Castello, 1999 : « Certains pleurent encore. On les entend à travers le verre. »




  • Niveau 7 : stock.     Cages, sédatifs, étiquettes « disparu depuis 1974 ». Un technicien : « Les entités grises prélèvent 8 % de la biomasse. 
  • Le reste est incinéré. »


1979 : la guerre que personne n’a déclarée

Fin 1979, rupture de contrat. Les Delta Force chargés de la sécurité refusent de livrer un nouveau lot de civils.
 Échange de tirs dans les couloirs. 
Castello compte 66 corps humains,   44 non-humains.
 Les archives officielles parlent d’un « exercice de tir réel » soldé par 22 pertes. Linda Howe récupère des photos de réservoirs éventrés : fluide amniotique rose, fragments de combinaisons NBC.

Désinformation : le cas Bennewitz

Paul Bennewitz, ingénieur chez Thunder Scientific, capte des signaux pulsés à 2,4 GHz depuis sa maison de Albuquerque. 



   



Il alerte l’AFOSI. Réponse : campagne de gazlighting  .   (  Le gaslighting, c'est une forme d'abus mental  )




Fausses soucoupes en carton, appels nocturnes, mise en scène d’enlèvements. Bennewitz finit interné.
Redfern, dans Final Events : « Le but n’était pas de le faire taire ; c’était de le faire passer pour fou. Mission accomplie. »


Le miroir brisé
Dulce n’est pas une base extraterrestre ; c’est un laboratoire où l’État teste jusqu’où il peut aller avant que le peuple ne se réveille.

 Dolan, 2025 : « La question n’est pas de savoir si les aliens existent. La question est : qui a signé le contrat de sous-traitance ? »

José bouillon  



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