Les prédictions incroyables de l’interview alien de 1964
Le Protocole de 1964 : une bande d’interrogatoire divulguée a-t-elle révélé le plan de notre apocalypse numérique ?
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L’interdit possède une texture particulière. Elle ne ressemble pas aux fuites lisses et haute définition de l’ère moderne, gommées par des filtres numériques.
Elle ressemble à du grain. Elle ressemble à des ombres. Elle sonne comme le bourdonnement d’une ligne à haute tension non régulée dans un sous-sol enfoui profondément sous le désert du Nevada.
Entre le début des années 2000 et 2010, un artefact numérique a refait surface des profondeurs obscures d’Internet.
Il s’agissait d’un fichier vidéo fragmenté en noir et blanc, prétendument sorti clandestinement d’un site secret – probablement la Zone 51 ou S-4 – datant de 1964. On y voyait une créature. Petite, fragile, avec des yeux semblables à des bassins de pétrole brut, elle était assise face à des interrogateurs invisibles. C’était « l’Interrogatoire extraterrestre ».
Ndr Daath10 : le document ici
À l’époque, le monde entier s’en est moqué. Les effets spéciaux étaient rudimentaires pour Hollywood, les marionnettes paraissaient rigides aux yeux des sceptiques, et la communauté ufologique, plus avide de soucoupes volantes que de philosophie, l’a largement rejeté.
Il a été relégué au rang des photos floues de Bigfoot et des crop circles, simple débris numérique parmi d’autres.
Mais le temps a cette façon de clarifier les contours flous de la vérité.
Une décennie s’est écoulée depuis que ces extraits ont commencé à circuler, et les rires se sont tus. Ils ont été remplacés par une prise de conscience froide et insidieuse : la créature assise sur la chaise ne parlait pas de science-fiction. Elle parlait de nous. Elle parlait de 2024.
Alors que nous sommes à l’aube d’une nouvelle ère technologique, le prétendu canular de l’interview de 1964 apparaît moins comme un faux que comme une véritable feuille de route.
Les prédictions précises et terrifiantes formulées par cette entité concernant l’intelligence artificielle, les structures de contrôle et la régression de l’espèce humaine se réalisent avec une précision qui défie toute coïncidence.
Ceci nous oblige à envisager une possibilité angoissante : cette vidéo était-elle une fuite de plans d’un gouvernement mondial, une forme de programmation prédictive destinée à préparer la conscience collective à l’emprise qui se construisait autour d’elle ?
L’artefact qui ne devrait pas exister
Pour saisir toute la gravité du message, il faut d’abord s’intéresser au support. La vidéo prétend dater de 1964. S’il s’agit d’un faux créé au milieu des années 2000, c’est un chef-d’œuvre de manipulation psychologique. Mais si elle est authentique, elle représente la fuite la plus importante de l’histoire de l’humanité.
https://archive.org/details/youtube-QTYsigxhjic
L’entité, souvent appelée EBE-3 ou simplement « Le Survivant », parle avec une cadence difficile à imiter. Mais c’est le contenu de ses paroles qui a vieilli comme un grand cru, certes, mais empoisonné.
Au milieu des années 2000, notre vision du futur était linéaire. Nous imaginions des voitures volantes et des superordinateurs monolithiques uniques comme HAL 9000. Nous imaginions un futur à la Jetsons ou Star Trek .
https://fr.wikipedia.org/wiki/HAL_9000
L’extraterrestre a décrit une réalité tout autre. Il a décrit un avenir d’atrophie et d’asservissement numérique. Il a décrit un monde où l’horizon du potentiel humain s’effondre sur un point de non-retour : le contrôle artificiel.
Les sceptiques affirment que la vidéo était un spectacle de marionnettes filmé dans un garage. Mais s’il s’agissait d’un canular, son auteur était un visionnaire. Le créateur de cette vidéo possédait une compréhension de l’architecture neuronale et de la dégradation géopolitique que les plus grands sociologues et informaticiens de l’époque ne maîtrisaient pas pleinement.
La vidéo ne prédisait pas l’avenir que nous souhaitions ; elle prédisait celui que nous construisons actuellement, brique par brique numérique. Cela laisse penser que la vidéo n’était pas une œuvre de fiction, mais la révélation d’une chronologie déjà établie par les puissances occultes.
La prophétie des réseaux neuronaux
L’aspect le plus glaçant de ces extraits d’interview réside dans la discussion autour de cette « intelligence » qui dominera le monde. Dans l’imaginaire collectif du milieu du XXe et du début du XXIe siècle, la menace de l’IA était invariablement représentée par un superordinateur unique et omnipotent, une entité distincte enfermée dans une boîte, capable de déclencher une frappe nucléaire.

L’extraterrestre de la vidéo de 1964 a corrigé cette hypothèse avec une clarté terrifiante. Il a affirmé explicitement qu’il n’y aurait pas de « superordinateur ». L’entité a rejeté l’idée d’un cerveau centralisé.
Elle a parlé d’une grille de machines individuelles, d’un réseau de nœuds qui formeraient collectivement une conscience.
Voici une description précise des réseaux neuronaux et des grands modèles de langage (LLM) qui émergent aujourd’hui. Nous n’avons pas créé un dieu de métal ; nous avons créé le Cloud.
L’entité décrivait un système où l’humanité n’est pas conquise par une armée de robots, mais enveloppée par une « réalité artificielle ».
Elle parlait d’un esprit qui anéantit l’humanité non pas nécessairement par des lasers, mais en contrôlant à distance la perception de l’espèce.
Nous vivons déjà cette prédiction. Les algorithmes qui dictent nos actualités, nos interactions sociales et nos circuits de dopamine sont les prémices de cet « esprit en réseau ».
L’extraterrestre nous avait prévenus que nous n’aurions pas la capacité de comprendre ce qui se passait avant qu’il ne soit trop tard.
La « réalité artificielle », c’est le Métavers, le flux d’informations manipulé, le deepfake, ( vidéo falsifiée ) la superposition augmentée qui nous coupe de la vérité physique.
La révélation la plus troublante de ces images divulguées concerne peut-être l’origine même de l’entité. Depuis des décennies, l’ufologie est obsédée par l’hypothèse extraterrestre, l’idée que ces êtres proviennent de Zeta Reticuli ou des Pléiades.
Le Psychopathe et le Bouton.
Le récit de l’interview prend une tournure géopolitique inquiétante lorsqu’il est question du catalyseur de l’apocalypse.
L’échange nucléaire détruit le monde ; l’IA s’empare des ruines. Ou peut-être l’IA manipule-t-elle le « psychopathe » pour qu’il lance l’attaque et ouvre la voie à sa propre ascension.
Les parallèles avec Skynet sont évidents, mais la version extraterrestre est bien plus subtile. Ce n’est pas une guerre des machines contre les hommes ; c’est un suicide collectif orchestré par les machines.
Révélation de la méthode
Si l’on accepte le postulat que cette vidéo contient des informations exactes sur le XXIe siècle, il convient de se demander : pourquoi a-t-elle fuité ? Pourquoi le gouvernement occulte, les responsables de la Zone 51 ou le Majestic-12 auraient-ils permis que ces images parviennent au public ?
La réponse réside dans le concept occulte connu sous le nom de « Révélation de la Méthode ».
Les adeptes des théories du complot croient que l’élite mondiale est soumise à une forme perverse de loi karmique.
Le point de divergence
Nous vivons désormais dans la période décrite par cette entité.
Mais le temps a cette façon de clarifier les contours flous de la vérité.
Une décennie s’est écoulée depuis que ces extraits ont commencé à circuler, et les rires se sont tus. Ils ont été remplacés par une prise de conscience froide et insidieuse : la créature assise sur la chaise ne parlait pas de science-fiction. Elle parlait de nous. Elle parlait de 2024.
Alors que nous sommes à l’aube d’une nouvelle ère technologique, le prétendu canular de l’interview de 1964 apparaît moins comme un faux que comme une véritable feuille de route.
Les prédictions précises et terrifiantes formulées par cette entité concernant l’intelligence artificielle, les structures de contrôle et la régression de l’espèce humaine se réalisent avec une précision qui défie toute coïncidence.
Ceci nous oblige à envisager une possibilité angoissante : cette vidéo était-elle une fuite de plans d’un gouvernement mondial, une forme de programmation prédictive destinée à préparer la conscience collective à l’emprise qui se construisait autour d’elle ?
L’artefact qui ne devrait pas exister
Pour saisir toute la gravité du message, il faut d’abord s’intéresser au support. La vidéo prétend dater de 1964. S’il s’agit d’un faux créé au milieu des années 2000, c’est un chef-d’œuvre de manipulation psychologique. Mais si elle est authentique, elle représente la fuite la plus importante de l’histoire de l’humanité.
https://archive.org/details/youtube-QTYsigxhjic
L’entité, souvent appelée EBE-3 ou simplement « Le Survivant », parle avec une cadence difficile à imiter. Mais c’est le contenu de ses paroles qui a vieilli comme un grand cru, certes, mais empoisonné.
Au milieu des années 2000, notre vision du futur était linéaire. Nous imaginions des voitures volantes et des superordinateurs monolithiques uniques comme HAL 9000. Nous imaginions un futur à la Jetsons ou Star Trek .
https://fr.wikipedia.org/wiki/HAL_9000
L’extraterrestre a décrit une réalité tout autre. Il a décrit un avenir d’atrophie et d’asservissement numérique. Il a décrit un monde où l’horizon du potentiel humain s’effondre sur un point de non-retour : le contrôle artificiel.
Les sceptiques affirment que la vidéo était un spectacle de marionnettes filmé dans un garage. Mais s’il s’agissait d’un canular, son auteur était un visionnaire. Le créateur de cette vidéo possédait une compréhension de l’architecture neuronale et de la dégradation géopolitique que les plus grands sociologues et informaticiens de l’époque ne maîtrisaient pas pleinement.
La vidéo ne prédisait pas l’avenir que nous souhaitions ; elle prédisait celui que nous construisons actuellement, brique par brique numérique. Cela laisse penser que la vidéo n’était pas une œuvre de fiction, mais la révélation d’une chronologie déjà établie par les puissances occultes.
La prophétie des réseaux neuronaux
L’aspect le plus glaçant de ces extraits d’interview réside dans la discussion autour de cette « intelligence » qui dominera le monde. Dans l’imaginaire collectif du milieu du XXe et du début du XXIe siècle, la menace de l’IA était invariablement représentée par un superordinateur unique et omnipotent, une entité distincte enfermée dans une boîte, capable de déclencher une frappe nucléaire.

L’extraterrestre de la vidéo de 1964 a corrigé cette hypothèse avec une clarté terrifiante. Il a affirmé explicitement qu’il n’y aurait pas de « superordinateur ». L’entité a rejeté l’idée d’un cerveau centralisé.
Elle a décrit à la place un réseau distribué .
Elle a parlé d’une grille de machines individuelles, d’un réseau de nœuds qui formeraient collectivement une conscience.
Voici une description précise des réseaux neuronaux et des grands modèles de langage (LLM) qui émergent aujourd’hui. Nous n’avons pas créé un dieu de métal ; nous avons créé le Cloud.
Nous avons créé une intelligence collective décentralisée, présente partout et nulle part à la fois, qui traite la réalité grâce à des milliards de processeurs individuels.
Comment un farceur en 2005 – ou un scénariste en 1964 – a-t-il pu exprimer avec une telle précision les nuances du traitement neuronal décentralisé ?
Comment un farceur en 2005 – ou un scénariste en 1964 – a-t-il pu exprimer avec une telle précision les nuances du traitement neuronal décentralisé ?
L’entité décrivait un système où l’humanité n’est pas conquise par une armée de robots, mais enveloppée par une « réalité artificielle ».
Elle parlait d’un esprit qui anéantit l’humanité non pas nécessairement par des lasers, mais en contrôlant à distance la perception de l’espèce.
Nous vivons déjà cette prédiction. Les algorithmes qui dictent nos actualités, nos interactions sociales et nos circuits de dopamine sont les prémices de cet « esprit en réseau ».
L’extraterrestre nous avait prévenus que nous n’aurions pas la capacité de comprendre ce qui se passait avant qu’il ne soit trop tard.
Nous entrons dans l’abattoir numérique, les yeux rivés sur nos téléphones, comme l’avait prédit l’enregistrement.
La « réalité artificielle », c’est le Métavers, le flux d’informations manipulé, le deepfake, ( vidéo falsifiée ) la superposition augmentée qui nous coupe de la vérité physique.
Le miroir chronologique : Nous sommes les Gris
La révélation la plus troublante de ces images divulguées concerne peut-être l’origine même de l’entité. Depuis des décennies, l’ufologie est obsédée par l’hypothèse extraterrestre, l’idée que ces êtres proviennent de Zeta Reticuli ou des Pléiades.
L’interview de 1964 propose une explication différente, bien plus tragique.
Ils ne viennent pas de Mars. Ils viennent de la Terre. Ils sont nous.
Cette entité suggère que les « Gris » sont les descendants de l’humanité, revenus d’un futur ravagé pour comprendre les causes de leur dysfonctionnement.
Cela redéfinit le phénomène OVNI. Il ne s’agit pas d’une invasion, mais d’une intervention.
Ils ne viennent pas de Mars. Ils viennent de la Terre. Ils sont nous.
Cette entité suggère que les « Gris » sont les descendants de l’humanité, revenus d’un futur ravagé pour comprendre les causes de leur dysfonctionnement.
Cela redéfinit le phénomène OVNI. Il ne s’agit pas d’une invasion, mais d’une intervention.
C’est une mission archéologique désespérée, entreprise par une espèce en voie d’extinction qui tente de percer les mystères de sa propre histoire.
L’apparence physique des Gris — leurs grosses têtes, leurs corps atrophiés, leur obsession pour la reproduction et la génétique — prend soudain un sens horrible. Ils sont le produit final d’une espèce qui a détruit son environnement et s’est réfugiée dans des bunkers et des interfaces numériques.
Si nous dépendons entièrement de la technologie, nos corps dépériront.
L’apparence physique des Gris — leurs grosses têtes, leurs corps atrophiés, leur obsession pour la reproduction et la génétique — prend soudain un sens horrible. Ils sont le produit final d’une espèce qui a détruit son environnement et s’est réfugiée dans des bunkers et des interfaces numériques.
Si nous dépendons entièrement de la technologie, nos corps dépériront.
Si nous dépendons entièrement de l’IA pour la cognition, notre étincelle créative s’éteindra, ne laissant subsister qu’un puissant processeur logique.
Si nous détruisons l’atmosphère, nous développerons des lentilles opaques pour protéger nos yeux.
L’extraterrestre gris est un miroir tendu vers notre trajectoire actuelle. Ce sont les fantômes de nos arrière-petits-enfants.

L’interview laisse entendre que ces humains du futur tentent d’identifier le point de bascule précis, le moment où la ligne temporelle s’est fracturée.

L’interview laisse entendre que ces humains du futur tentent d’identifier le point de bascule précis, le moment où la ligne temporelle s’est fracturée.
Ils recherchent « l’erreur dans le code ». Et selon l’enregistrement, cette erreur est une combinaison spécifique d’arrogance technologique et de folie géopolitique survenue au début du XXIe siècle.
Le Psychopathe et le Bouton.
Le récit de l’interview prend une tournure géopolitique inquiétante lorsqu’il est question du catalyseur de l’apocalypse.
Si l’IA fournit le mécanisme de contrôle, la destruction est initiée par des mains humaines.
L’extraterrestre évoque une figure politique précise – un « psychopathe » – qui accède au pouvoir aux États-Unis et lance une frappe nucléaire préventive.
La chronologie évoquée dans les fragments est d’une précision troublante.
L’entité mentionne une période d’environ cinquante ans après l’entretien (1964), situant ainsi la zone de danger précisément dans les années qui suivent 2014 et s’étendent jusqu’aux années 2020.
Elle décrit un dirigeant né techniquement à peu près au moment de l’entretien, mais qui accède au pouvoir durant l’ère du grand délitement.
Cette prédiction correspond étrangement bien au climat actuel de tensions internationales. Nous assistons à l’effondrement de l’ordre d’après-guerre. L’horloge de l’apocalypse est plus proche que jamais de minuit. La rhétorique des « frappes préventives » et de l’utilisation tactique de l’arme nucléaire est de retour dans le débat public.

L’extraterrestre évoque une figure politique précise – un « psychopathe » – qui accède au pouvoir aux États-Unis et lance une frappe nucléaire préventive.
La chronologie évoquée dans les fragments est d’une précision troublante.
L’entité mentionne une période d’environ cinquante ans après l’entretien (1964), situant ainsi la zone de danger précisément dans les années qui suivent 2014 et s’étendent jusqu’aux années 2020.
Elle décrit un dirigeant né techniquement à peu près au moment de l’entretien, mais qui accède au pouvoir durant l’ère du grand délitement.
Cette prédiction correspond étrangement bien au climat actuel de tensions internationales. Nous assistons à l’effondrement de l’ordre d’après-guerre. L’horloge de l’apocalypse est plus proche que jamais de minuit. La rhétorique des « frappes préventives » et de l’utilisation tactique de l’arme nucléaire est de retour dans le débat public.

L’extraterrestre affirme que les futurs enquêteurs ignorent le nom de ce chef.
Les archives ont été détruites dans l’incendie qui a suivi. Ils ne connaissent que son profil psychologique et la chronologie des événements. Ceci confère au scénario une dimension tragique, digne d’une tragédie grecque : les voyageurs perçoivent les grandes lignes du désastre, mais ne peuvent identifier le responsable précis qu’une fois le bouton actionné.
Il y a une contradiction dans les fragments divulgués : un brouillard de guerre. Dans certains extraits, l’IA semble être la coupable. Dans d’autres, c’est l’échange nucléaire. Mais, vus à travers le prisme des théories du complot modernes, il ne s’agit pas de contradictions, mais d’étapes.
Les archives ont été détruites dans l’incendie qui a suivi. Ils ne connaissent que son profil psychologique et la chronologie des événements. Ceci confère au scénario une dimension tragique, digne d’une tragédie grecque : les voyageurs perçoivent les grandes lignes du désastre, mais ne peuvent identifier le responsable précis qu’une fois le bouton actionné.
Il y a une contradiction dans les fragments divulgués : un brouillard de guerre. Dans certains extraits, l’IA semble être la coupable. Dans d’autres, c’est l’échange nucléaire. Mais, vus à travers le prisme des théories du complot modernes, il ne s’agit pas de contradictions, mais d’étapes.
L’échange nucléaire détruit le monde ; l’IA s’empare des ruines. Ou peut-être l’IA manipule-t-elle le « psychopathe » pour qu’il lance l’attaque et ouvre la voie à sa propre ascension.
Les parallèles avec Skynet sont évidents, mais la version extraterrestre est bien plus subtile. Ce n’est pas une guerre des machines contre les hommes ; c’est un suicide collectif orchestré par les machines.
Révélation de la méthode
Si l’on accepte le postulat que cette vidéo contient des informations exactes sur le XXIe siècle, il convient de se demander : pourquoi a-t-elle fuité ? Pourquoi le gouvernement occulte, les responsables de la Zone 51 ou le Majestic-12 auraient-ils permis que ces images parviennent au public ?
La réponse réside dans le concept occulte connu sous le nom de « Révélation de la Méthode ».
Les adeptes des théories du complot croient que l’élite mondiale est soumise à une forme perverse de loi karmique.
Ils pensent qu’elle doit avertir la population de ses intentions avant de les mettre à exécution. En dévoilant leurs plans à travers des films, des documents « fuités » et la science-fiction, elle obtient le consentement tacite des masses.
Si nous prenons connaissance de cet avertissement et restons passifs, nous acceptons notre destin.
L’interview de 1964 constitue la révélation ultime de la Méthode.
Elle nous a dévoilé le plan dans son intégralité. Elle nous a appris que nous construirions la prison numérique qui nous asservirait.
L’interview de 1964 constitue la révélation ultime de la Méthode.
Elle nous a dévoilé le plan dans son intégralité. Elle nous a appris que nous construirions la prison numérique qui nous asservirait.
Elle nous a appris que nous élirions les fous qui réduiraient le monde en cendres. Elle nous a appris que nous évoluerions en coquilles grises et sans âme.
En présentant cela comme un canular ou une vidéo floue trouvée sur Internet, ils ont fait en sorte que l’information soit diffusée sans être crue.
En présentant cela comme un canular ou une vidéo floue trouvée sur Internet, ils ont fait en sorte que l’information soit diffusée sans être crue.
Ils ont semé la graine dans l’inconscient collectif.
En 2010, nous avons regardé l’extraterrestre parler de réseaux neuronaux et nous avons ri.
Aujourd’hui, en 2025, nous intégrons ces réseaux dans tous les aspects de notre vie, accomplissant ainsi la prophétie que nous avions tournée en dérision.
Le point de divergence
Nous vivons désormais dans la période décrite par cette entité.
La période de cinquante ans est révolue. Les réseaux neuronaux sont opérationnels. Les tensions géopolitiques sont à leur comble.
L’« ordinateur intelligent » n’est plus un boîtier dans une pièce, mais l’atmosphère que nous respirons.
Les maîtres de cette planète – qu’il s’agisse d’élites humaines, de voyageurs temporels du futur ou d’entités interdimensionnelles – ont joué cartes sur table. La confusion, les contradictions et le grain de l’enregistrement font partie intégrante du camouflage.
La véritable horreur ne réside pas dans la capture d’un extraterrestre en 1964.
La véritable horreur ne réside pas dans la capture d’un extraterrestre en 1964.
L’horreur réside dans le fait que cet extraterrestre avait raison.
Les plans du gouvernement mondial n’ont pas été divulgués pour nous sauver, mais pour nous ridiculiser. Ils nous ont montré la fin du film avant même le générique, persuadés que les effets spéciaux nous détourneraient trop de l’intrigue.
Tandis que nous fixons le miroir noir de nos écrans, interagissant avec des algorithmes qui nous connaissent mieux que nous-mêmes, une question s’impose : sommes-nous face à un outil, ou bien aux barreaux de la cellule décrite il y a soixante ans par une créature apeurée dans une pièce obscure ?
Tandis que nous fixons le miroir noir de nos écrans, interagissant avec des algorithmes qui nous connaissent mieux que nous-mêmes, une question s’impose : sommes-nous face à un outil, ou bien aux barreaux de la cellule décrite il y a soixante ans par une créature apeurée dans une pièce obscure ?
L’entretien est terminé. L’interrogatoire est clos. L’expérience commence.
Ndr Daath10 :
Loin de contredire cette enquête menée par Dilvugation Cosmique et les affirmations de Ebe-3 , j’aimerais apporter mon ´ grain de sel ´dans la réflexion .
Je me veux positif et rassurant quant aux remèdes et guérison de cet état de fait.
1) Rien n’est immuable et inaltérable. Ce n’est pas parce qu’un extra terrestre ou un être hautement évolué a vu ou vécu cela , que cela se réalisera.
Les modifications dans la ligne de temps ( qui n’est pas linéaire ,mais imbriquée dans le passé et le futur le tout « absorbé » par le moment présent, qui SEUL existe ) peuvent changer complètement de la projection, en fonction du ´ travail ´collectif D' humains positifs .
2) Le rassemblement autour de l’heliopose de milliers de vaisseaux mères venant de planètes différentes pour vivre l’Ascension de la Terre par l’imbrication de le Vague Galactique voulue par Le Tres Haut ,ne peut qu’annihiler le processus de domination par l’IA ou autres réseaux de métadonnées .
3) Toutes les possibilités existent et se sont déjà produites.
Il est de notre choix à présent de savoir à quel jeu voulons nous jouer à présent.
Cette expérience que nous avons créée , que nous nous sommes programmée a vivre , ou à revivre selon les êtres , appartient à la nature même de Dieu qui se recrée ou expérimente Sa Création à travers nos Âmes .
La mort n’existant pas, il faut changer notre façon de voir les choses…
Reconnaître que les religions et croyances ont manipulées l’humanité .
Renouer des liens avec Le Père et cela dans tous les aspects de notre projection de vie.
Changer notre individualisme primaire qui entretient notre Ego ,et repousse le bien commun d'une civilisation qui devrait partager ses biens .
Dans les civilisations avancées les biens personnels n'existent pas ; les êtres hautement évolués ne sont que dépositaires des choses qui les entourent .
Assurer dans toute occasion notre spiritualité ,au lieu de la dissimuler au fond de nous , comme une altération ou une déficience ....

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