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mardi 8 avril 2014

Réunions extra terrestres et Vatican via le SIV

Les confessions d'un agent secret du Vatican.
                          


 Barbato
L’homme est jésuite, il se présente à Barbato comme étant un familier du Vatican travaillant pour le Saint Siège. D'abord sceptique et méfiant à l'égard de ce contact soit disant « initié », Barbato analyse et vérifie ses références (en se gardant, comme le veut son éthique de journaliste, d'indiquer sa source) : il s'agit bien d'un prêtre jésuite, oeuvrant à la Cité du Vatican.

 Après quelques échanges par mails, le journaliste italien demande que leur dialogue se poursuive de vive voix. Malgré le danger, vraisemblablement conscient que cette rencontre est préférable vu l'énormité des révélations qu'il s'apprête à faire, l'homme du Vatican accepte.

 Deux rencontres ont donc lieu à Rome, en 2001 (voir interview page 58). Barbato apprend que des dissensions règnent au sein du SIV, un groupe minoritaire désapprouvant la politique conduite à propos de la planète X. 

À partir de là, il est clair pour Barbato que la démarche du jésuite ne procède pas d'une simple trahison; mais d'une révélation dont l'enjeu est de taille : la survie de notre civilisation.

 






La « vidéo jésuite »


Avant même leur rencontre à Rome, le contact du Vatican avait fait parvenir à Barbato, en guise de preuve, une bande vidéo - que je nomme la « vidéo jésuite » - destinée à alerter le public. D'une durée d'environ deux minutes, elle évoque l'observation d'un planétoïde couvert d'une atmosphère épaisse (la présumée planète X) se dirigeant vers le système solaire, bien qu'encore en dehors de l'orbite de Neptune. La bande, que j'ai eu plusieurs fois l'occasion de visionner, est assortie de diverses classifications, dont la « Secretum Oméga », le plus haut niveau de secret du SIV, comparable au « Top Secret Cosmique » (CTS) de l'Otan. 
 
Il paraîtrait que l'image a été prise par une caméra embarquée dans une sonde spatiale secrète appelée Siloe. 



Le contact de Barbato lui explique que la sonde, commandée secrètement chez Lockheed Martin, est équipée d'une caméra infrarouge sophistiquée ainsi que d'un système de propulsion à impulsion électromagnétique. 



L'engin a été assemblé à l'aire 51, dans le Nevada, et placé en orbite par un appareil secret hypersonique de type Aurora, dans les années 903. Selon le jésuite, la sonde Siloe a envoyé des images du planétoïde en octobre 1995 vers un radiotélescope secret, entièrement géré par des jésuites appartenant au SIV, et dissimulé dans une raffinerie de pétrole désaffectée en Alaska.
 Il précise que le radiotélescope a été construit en 1990 dans le but d'observer les corps célestes inhabituels s'approchant du système solaire. 

Quant au planétoïde visible sur la vidéo, le jésuite indique qu'il s'agit de la planète X (la Nibiru des Sumériens ; voir NEXUS n" 50, p. 10).
I



Cette planète massive encore ignorée de l'astronomie moderne produit des perturbations analogues à celles que décelèrent Lowell, dans les mouvements d'Uranus, et Pickering, dans ceux de Neptune. 






En 1978, James Christie, astronome à l'observatoire de la Marine américaine, découvre Charon, le satellite de Pluton et calcule la masse du couple Pluton- Charon. Au passage, les calculs indiquent la présence probable d'une très grosse planète encore invisible*...






De son côté, Barbato attendra le 30 avril 2005 pour se décider à révéler cette incroyable nouvelle et à montrer la vidéo au public. 



La projection a lieu au Palazzo délia Provincia, à Pescara, sur la côte adriatique italienne, au cours d'une conférence organisée par la Ufobserver Cultural Association et intitulée : « Ovnis ? La 
vérité est top secrète : de l'Aire 51 à la Planète X ». 




Étranges anomalies dans le système solaire 



Toutes ces années, Barbato s'est efforcé de rassembler des indices confirmant l'existence de la planète X/Nibiru et du SIV. 
Concernant ce dernier, il a trouvé des indications historiques explicites importantes dans le livre de Mark Aarons et John Loftus Ratlines (chapitre i). 
J'ai moi-même trouvé une référence indirecte dans un livre du lieutenant-colonel italien Umberto Rapetto et du journaliste Roberto di Nunzio {L'atlante délie spie, BUR, Milan, 2002).

 Dans le chapitre V {Lo spionaggio in porpora : il Vaticano), p.89, §2.3 (Le nunziature) il est question d'un certain Robert A. Graham, un jésuite qui fit jadis allusion à l'existence d'un Service Secret du Vatican. S'agit-il de désinformation ou bien de la divulgation progressive d'une information secrète ?
radiohéliographe de Nobeyama



Parmi tout ce que le jésuite du SIV a raconté à Barbato, deux choses sont, de mon point de vue, inquiétantes : la planète X aurait commencé à faire sentir ses effets sur le système solaire au plus tard au début de 2004 (voir mon interview de Barbato dans UFO Notiziario n°62, avril-mai 2006, p. 40), ce qu'un certain nombre d'indices tend à prouver.
 D'autre part, le soleil et certaines planètes et satellites du système solaire ont également manifesté des signes anormaux.
Prenons d'abord le Soleil. Avec de la patience, vous pourrez consulter les données enregistrées par le radiohéliographe de Nobeyama (NoRH), un radiotélescope japonais qui fonctionne en tant qu'interféromètre spécialisé pour l'observation solaire (voir la newsletter cosmologique mensuelle Shooting Star du 21 mars 2003, 

http://www.detailshere.com/solar activity.htm). 

Dans l'article intitulé « The truth about global warming : it's the Sun that's to blâme » [La vérité sur le réchauffement global : c'est le Soleil qui en est la cause], de Michael Leidig et Roya Nikkhah, publié dans le Telegraph de Londres le 18 juillet 2004 (http://www.telegraph.co.uk), on peut lire ceci : « Le réchauffement global est enfin expliqué : selon des recherches récentes, la Terre se réchauffe parce que le Soleil brille plus fort qu'il ne l'a jamais fait depuis le dernier millénaire. Une étude menée par des scientifiques suisses et allemands indique que le rayonnement croissant du Soleil est la cause des changements climatiques récents...

 Le Dr Solanki a déclaré que ce sont à la fois l'accroissement du rayonnement solaire et le niveau des gaz à effets de serre, tels que le dioxyde de carbone, qui contribuent à la modification de la température terrestre, mais qu'il est impossible de dire lequel des deux est prédominant ». 
Parmi les planètes et satellites du système solaire présentant des activités atypiques, citons :
Pluton : Selon les astronomes, « bien que son orbite très excentrique l'éloigné en ce moment du Soleil, Pluton connaît un réchauffement de sa mince atmosphère » (voir « SUV sur Jupiter ?- réchauffement du système solaire : les hommes seraient-ils responsables de changements climatiques aux confins du système solaire, ou serait-ce le Soleil ? », sur http://www.redicecreations.com/specialreports/2006/11nov/solarsystemwarming.html. 


Jupiter : Le 4 mai 2006, un article qui titrait « De nouvelles tempêtes sur Jupiter laissent supposer un changement de climat » rapportait que « ... le télescope Hubble photographie le développement d'une nouvelle tache rouge... Baptisée Red Spot Jr [Tache Rouge Junior], elle s'est formée après l'apparition de trois tempêtes blanches de forme ovale, dont deux doivent avoir au moins quatre-vingt-dix ans, et qui se sont fondues l'une dans l'autre entre 1998 et 2000.
Saturne : Des images de la sonde Cassini du 11 octobre 2006 montrent un ouragan, dont le diamètre égale les 2/3 de celui de la Terre, qui fait rage au pôle sud de la planète

.
Alerter l'humanité 


Ces événements du système solaire, ainsi que les découvertes troublantes de Cristoforo Barbato, réclament toute notre attention. Ils devraient alerter le public sur l'arrivée de la planète X et sur les problèmes d'exopolitique, à savoir l'implication des gouvernements dans la question des ovnis et la manière dont, jusqu'à présent, les affaires extraterrestres ont été confisquées par les États-Unis, ou un certain gouvernement de l'ombre (sans contrôle de la part du président, du Congrès ou du Conseil national de sécurité). 


Jean XXIII
Pie XII
Je pense que la seule façon de savoir ce qui se passe réellement sur la Terre et dans le système solaire, c'est de soutenir des chercheurs tels que le Dr Steven M. Gréer, le professeur Michael Salla (http://www.exopolitics.org), l'historien Richard Dolan, le journaliste Cristoforo Barbato (http://www.secretumomega.com) et bien d'autres qui, tous, comprennent l'importance d'élargir les horizons de l'humanité dans toutes les dimensions, tant matérielles que spirituelles. Ce n'est que comme cela que nous aurons une chance d'éviter les luttes fratricides et les horreurs du conflit nucléaire qui nous menace.
En 2001, Cristoforo Barbato rencontre donc le père jésuite qui lui révèle alors la genèse des services secrets du Vatican, les contacts de Pie XII et Jean XXIII avec une certaine race d'aliénigènes, et la scission au sein du SIV entre les partisans du secret et ceux qui, comme lui, estiment urgent de divulguer l'information à l'humanité tout entière.



Barbato : Comment êtes-vous devenu membre du SIV ?
Jésuite : Le SIV se compose de divers éléments, tous reliés à l'Église et constitués, au moins pour le Directorat, principalement de prêtres, dont la majorité sont des jésuites, de moines bénédictins et de nonnes ; au total un peu plus d'une centaine de membres. On pourrait réduire cette estimation, mais il faut prendre en compte toutes les parties du monde où il y a un prêtre ou une religieuse susceptibles d'apporter des informations précises. Certains éléments du SIV viennent du monde laïque et de soixante-six institutions reliées à l'Église ; par exemple des associations humanitaires, des groupes politiques proches du Saint Siège, des mouvements de « jeunes catholiques » et d'autres. Je viens moi-même d'un de ces milieux.
En résumé, les membres sont secrètement évalués, dirigés et formés selon des critères précis en vue de certaines fonctions.


B : Pourriez-vous donner plus de détails sur le SIV ; pourquoi a-t-il été créé et depuis quand est-il opérationnel ?
J : La structure est top secrète, mais je peux vous dire qu'elle est organisée de manière analogue à la CIA, au MI6, au KGB, etc. Il n'y a pas de siège officiel, mais on change régulièrement de lieu de réunion, toujours sous le regard de la Cité du Vatican. Du point de vue chronologique, l'événement qui a déclenché la création du SIV s'est produit aux États-Unis en février 1954. Ce fut la rencontre à Muroc Airfield (future Edwards Air Force Base), en Californie, d'une délégation d'aliénigènes avec le président Dwight D. Eisenhower, en présence de l'évêque de Los Angeles, James 
 James
Francis Mclntyre.


.  Francis Mclntyre. La rencontre fut filmée par des militaires utilisant trois caméras 16 mm placées en des endroits différents et chargées de pellicules couleur. Les opérateurs devaient changer de bobine toutes les trois minutes et les caméras avaient des moteurs à ressorts parce que, en présence des aliénigènes, les moteurs électriques ne fonctionnaient pas. Au total, ils ont tourné vingt minutes de film en sept bobines de trente mètres chacune. À la fin de la réunion, chaque membre de la délégation terrienne prêta serment de ne jamais révéler à quiconque ce qu'il avait vu et entendu. 
Ne me demandez pas où sont les films, je crois que vous connaissez la réponse... 

Quelques jours plus tard, regrettant probablement de s'être engagé dans le secret, Mclntyre partit d'urgence avec l'intention de rencontrer le Pape Pie XII et de l'informer  de cet événement incroyable.
 Mais pour atteindre l'Italie, il fallait qu'il vole d'abord jusqu'à New York, puis de là à Rome, toujours en avion privé. 


Environ une demi-heure après le décollage de Los Angeles, l'appareil connut quelques difficultés techniques et fut contraint d'atterrir à Sky Haven Airport, à Las Vegas, Nevada, pendant la nuit.

 Pendant la réparation, un colonel de la US Air Force monta à bord pour s'entretenir avec l'évêque. La conversation dura une vingtaine de minutes au cours desquelles il tenta de dissuader l'évêque de révéler tous les détails de la rencontre à laquelle il avait assisté, car les questions extraterrestres relevaient exclusivement par la USAF. 

Le militaire précisa que tout ce que désirait le président Eisenhower, c'était un avis sur l'aspect spirituel de la question et un soutien, mais le Saint Père ne devait pas être mis dans le secret. On craignait à l'époque l'infiltration éventuelle du Vatican par des espions soviétiques. 

L'évêque répondit qu'il avait précisément l'intention d'informer le Pape de cet événement incroyable. 
Nous pensons aujourd'hui que la panne de moteur avait probablement été prévue et organisée par les militaires pour provoquer cette rencontre, et cela à l'insu du président Eisenhower. Avant de prendre congé, le colonel rappela à l'évêque les risques d'une divulgation à Rome.

Deux jours plus tard, Mgr Mclntyre fut reçu par Pie XII. Après une profonde méditation sur les implications possibles d'une relation exclusivement militaire avec les aliénigènes, le Pape décida de créer un service secret d'information organisé de façon analogue aux renseignements fascistes, que l'on nommerait SIV, et qui aurait pour mission de glaner toutes les informations possibles concernant les aliénigènes et les données déjà recueillies par les Américains. 

Il était très important d'assurer une communication ouverte avec le président Eisenhower.
Le SIV fut donc conçu pour acquérir et gérer, en coordination avec les services de renseignements d'autres pays, toute information secrète concernant les aliénigènes et traiter particulièrement des aspects moraux, philosophiques et religieux de la question.
B : Qu'est-ce qui permettait au Pape de croire que les militaires américains seraient prêts à partager des informations aussi sensibles avec le Vatican ? Que penser de l'officier que fit son apparition à l'aéroport de Las Vegas ?
J : Le fait qu'un président ait cherché une aide et un soutien spirituel dans une telle situation, unique dans l'histoire de l'humanité, constitue un témoignage de confiance et d'estime. D'ailleurs Mclntyre et l'archevêque de Détroit, Edward Mooney, devinrent plus tard les principaux coordinateurs de la transmission d'informations vers le Vatican. Les affaires prirent cependant une tournure inattendue lorsque Mclntyre et d'autres membres du SIV furent directement contactés, à l'insu des militaires, par des aliénigènes de type « nordique »4, manifestement amicaux, prétendant venir des Pléiades. 
.

Ces gens mirent les contactés en garde contre les autres créatures que les Américains avaient côtoyées dans le désert de Californie. Ces rencontres avec les membres du SIV se produisirent souvent aux Etats-Unis, et par deux fois dans les jardins du Vatican, au voisinage de l'Académie pontificale des Sciences, en présence du Pape PieXII…
Le Padre Pio 


B :Le Padre Pio de Pietrelcina a parlé de l'existence d'autres êtres dans d'autres mondes, qui avaient atteint un niveau élevé d'évolution parce qu'ils étaient sans péché... est-ce exact ?

J: Sans aucun doute ! Mais ces êtres vivent sur un plan dimensionnel différent et ce ne sont pas, stricto sensu, des anges ; et d'autre part, les aliénigènes « nordiques », dont je parlais, sont en chair et en os, même s'ils sont beaucoup plus évolués que nous tant spirituellement qu'au plan technologique.
 Ces créatures ont déclaré avoir trouvé dans l'Église catholique, ou plus exactement dans le message christique, la pure présence divine et ils ont proposé leur co-opération pour le bien de l'humanité.
 C'est ce qui a convaincu le Pape Pie XII de collaborer avec eux et de les considérer comme de véritables convertis à la foi chrétienne. 
Le pontife considérait probablement que l'Église universelle devait transmettre son message même à des êtres issus d'autres mondes.
 Ces aliénigènes entendaient assister, au fil des ans, l'Église de Rome dans toutes ses missions, particulièrement en matière sociale et en politique internationale*.

Par la suite, le Pape Jean XXIII bénéficia du même soutien de ces êtres qui avaient épousé la cause chrétienne, mais il préféra garder le secret, ne faisant allusion qu'à des « interventions angéliques ». 
Jean XXIII avait en somme hérité des accords de collaboration établis par son prédécesseur entre le Saint Siège et ces aliénigènes amicaux de type nordique. Cet accord secret fut maintenu tout au long du pontificat d'Angelo Giuseppe Roncalli qui, cependant, exprima souvent aux cadres du SIV ses réserves quant à la confiance qu'il fallait accorder à ces êtres. 
C'est pourquoi nous pensons aujourd'hui qu'une des principales motivations de la convocation du Concile œcuménique du Vatican fut le besoin de prendre les premières dispositions concrètes pour le renouvellement de l'Eglise en vue d'un éventuel et imminent contact.
                          
B: Y a-t-il un rapport entre cette intervention, ou « médiation céleste », et la rencontre présumée de 1963 entre le contacté américain George Adamski et le Pape ?
J : J'allais en parler. Adamski a rencontré le Pape. Il est allé à Saint-Pierre une fois, précisément après que le pape eut décidé qu'il ne fallait plus poursuivre les contacts avec les aliénigènes, même si ceux-ci étaient amicaux. 

En outre, Jean XXIII refusait que cette relation soit . Adamski se présentait comme chargé de mission par les aliénigènes pour tenter d'obtenir du Pape, qui était mourant, un accord définitif. 
Il apportait en outre un don pour le saint père : une substance liquide qui devait le délivrer de la gastro-entérite dont il souffrait et qui, évoluait en péritonite aiguë.
Adamski
 Le pape ne prit pas cette potion et avant de mourir, tenant le crucifix, déclara : « Les bras ouverts de Christ furent l'objet de mon pontificat. 

Ainsi que vous le voyez, un pontificat simple et humble dont j'assume toute la responsabilité. Je suis satisfait de ce que j'ai fait et de la manière dont je l'ai fait. » En outre, ce geste de la part des aliénigènes convainquit le Pape mourant, dans le peu d'énergie et de lucidité qui lui restait, que même si les « frères de l'espace » se comportaient avec bienfaisance envers l'humanité, il convenait qu'ils agissent de façon autonome, séparément de l'Église et des activités humaines en général, par la prière et des actes conformes à la loi de Dieu et particulièrement sous la direction du Saint Esprit.
 La tentative d'Adamski mit fin au contact direct entre ces êtres et le pape ainsi que ses successeurs qui, faisant confiance en la clairvoyance de Jean XXIII, comprirent qu'il ne fallait pas que l’Église etretienne ces contacts.
 Dans un manuscrit secret du Pape Jean XXIII à ses successeurs, qui comprend un dossier spécial sur le SIV, est cité un passage de l'évangile de Marc qui expose clairement la position que doit adopter l'Église vis-à-vis des êtres bienfaisants venus d'autres mondes. 




Marc 9 : 38-412 : « Jean lui dit : "Maître, nous avons vu quelqu'un qui chassait les démons en votre nom et nous l'en avons empêché, parce qu'il ne nous suit pas." Mais Jésus lui répartit : "Ne l'en empêchez pas. Car il n'est personne qui puisse en même temps faire un miracle en mon nom, et parler mal de moi. Celui qui n'est pas contre nous est pour nous. Et quiconque vous donnera à boire un verre d'eau parce que vous appartenez au Christ, en vérité je vous l'assure, il ne perdra pas sa récompense" ». Cela signifie que les activités supposées positives des aliénigènes qui acceptent le message christique doivent être « bénies » et non contrées, mais maintenues distinctes et parallèles à l'Eglise. Ces êtres doivent être comparés à l'étranger qui porte secours au nom du Christ et ne doit pas en être empêché.
B : Parlons de votre mission dans le SIV...
J : Mes tâches sont purement techniques, la plus importante étant, par exemple, de transmettre des informations très secrètes provenant du radiotélescope du Vatican situé en Alaska et de les acheminer à qui de droit.



L.U.C.I.F.E.R., le télescope du Vatican au Mont Graham  Large binocular telescope near-infrared Utility with Camera and Integral Field unit for Extragalactic Research
NDR: Le Vatican est le proprio du plus grand télescope du monde dans l'observatoire à Mont Graham appelé: LUCIFER. Ca ne s'invente pas...

B: Un instant, de quel radiotélescope parlez-vous ? Je ne savais pas que le Vatican possédait pareil matériel dans cette région.
J : Le Vatican possède et utilise un radiotélescope qui est à l'avant-garde de la technologie et manipulé seulement par des jésuites. 


Il est installé dans un parc industriel de stockage de pétrole apparemment à l'abandon, situé en Alaska. Ce complexe constitue un camouflage, parce que les activités qui y sont conduites sont top secrètes et ne sont pas celles, plus officielles, du VATT [Télescope de Technologie Avancée du Vatican] situé, lui, en Arizona.

B : Quand cet appareillage a-t-il été construit, et surtout dans quel but le Vatican utilise-t-il autant d'installations astronomiques dans le monde ?

J : Je peux vous dire qu'il a été construit dans les années 90 dans le but d'observer tous les objets célestes inhabituels s'approchant de la Terre. C'est ce que fait la CIA avec l'un des ses « yeux secrets », le jumeau de Hubble, appelé SkyHole-12 [aussi nommé KeyHole-12 ou KH-12 ; pour plus de détails, voir http://en.wikipedia.org/wiki/KH-12]. 

Il se trouve qu'au moment des rencontres entre les aliénigènes et Pie XII, le SIV fut informé de l'approche d'un corps céleste habité par des êtres très avancés et très belliqueux.
 Bref, je savais que ce que je j'allais recevoir à Rome et analyser par l'informatique était très intéressant et extrêmement secret. 
C'est en analysant certaines données issues du radiotélescope de l'Alaska que nous avons découvert qu'une sonde spatiale du programme d'exploration Siloe, lancé dans les années 90, avait pris un cliché d'une énorme planète s'approchant du système solaire.
Cette information fut captée en Alaska 
en octobre 1995, et c'est alors que mes problèmes commencèrent.
 Je me rendis compte que je n'avais pas été désigné pour décoder cette transmission particulière et que la situation devenait dangereuse.
 À ce moment, mon contact me révéla qu'il y avait, au sein du Vatican, deux factions luttant pour la possession et le contrôle de cette information classifiée bien au-dessus de « top secrète ».



B: Pouvez-vous me donner d'autres détails sur le programme spatial Siloe ? Qui en sont les commanditaires et les opérateurs ?

J : La sonde Siloe a hérité du nom d'un programme d'exploration spatiale initié au début des années 90. Ce programme faisait partie d'un autre, beaucoup plus ambitieux, nommé Kerigma**. Pour le moment, je me contenterai de vous dire que cette sonde fut fabriquée à l'Aire 51 [Nevada, USA], qu'elle a un moteur à impulsion électromagnétique et qu'elle a été placée sur orbite par un avion spatial de type Aurora3. 

La sonde n'était pas chargée de données de calcul, ni de trajectoire, ni d'indications précises quant à la position de Nibiru, car elle devait s'approcher de la planète, corriger sa trajectoire pour éviter l'impact et revenir dans le système solaire à une position suffisamment proche que pour pouvoir transmettre les données et les images au radiotélescope secret situé en Alaska. 

Son lancement eut lieu en même temps que la mise en service du radiotélescope et elle fut en mesure d'émettre des images dès 1995.

B : Ce que vous me racontez me fait penser aux théories du chercheur Zecharia Sitchin concernant le retour prévu d'une mystérieuse douzième planète. Connaissez-vous ses œuvres ?
J : Oui, j'en connais les principaux éléments. Le SIV, en collaboration avec Lockheed Martin, a envoyé cette sonde dont j'ai par la suite analysé les images. Ce sont des vues d'un énorme objet céleste dont la présence se fera « sentir » dans notre système solaire tout au plus dans les trois ans après 2001.



B: Comment avez-vous obtenu ces informations ?

J : Je dispose d'une autorisation de supervision de ce qu'on appelle le Secretum Oméga. C'est le plus haut niveau de secret du Vatican, l'équivalent au Top Se¬cret Cosmique de l'Otan. Celui-ci est divisé en trois niveaux d'informations : depuis le Secretum Oméga degré III, le moins détaillé, jusqu'au Secretum Oméga degré I, le plus complet. Ma mission était d'initier les nouveaux membres du SIV et de les entraîner à l'usage des systèmes de communication de l'organisation.


B : Comment les données recueillies par le radiotélescope sont-elles envoyées en Italie ?

J : La compagnie américaine de télécommunication Sprint International possède des radios et des antennes paraboliques situées au nord et au sud de l'Italie et deux satellites géostationnaires avec lesquels elles sont en liaison. 

Cette compagnie a un contrat particulier avec le SIV et une fréquence d'émission/réception de données chiffrées utilisant, depuis 1994, des algorithmes et une cryptographie personnalisés.

 Avant cette date, le SIV utilisait un système cryptographique inventé par une société suisse ; il a été abandonné parce qu'un membre de cette société l'a secrètement vendu à des Israéliens.
 Je ne puis vous donner davantage d'information technique pour l'instant.

B : J'aimerais que vous me parliez d'un légat de l'Église bien connu, Monsignor Balducci, qui a publiquement abordé le thème des extraterrestres.

 Ce prélat connaît-il le SIV et agit-il de concert avec eux ?

J : Le Père Balducci a fait des études et mené sa recherche de façon tout à fait autonome sans suivre un programme pré-existant. Il n'a jamais été empêché ; au contraire, on l'a plutôt encouragé.


B : Vous permettez... À vous entendre, il semblerait qu'il y ait un programme de divulgation. Et ne serait-ce pas pour cela que vous avez décidé de me rencontrer et de me communiquer ces informations ?

J : Du point de vue du système, nous sommes en pleine dissidence, mais nous savons que des événements vont se produire qui affecteront tous les êtres vivants de cette planète, personne n'y échappera. L'humanité vit une période particulière de son histoire, des circonstances intimement liées à des événements clés annoncés dans l'Apocalypse. 


Il importe que l'humanité se rallie entièrement au message de salut et de rédemption du Christ, que Saint Paul a appelé kerigma, un message que Jean-Paul II essaye de répandre dans toutes les nations. 

Pensez-vous que le pape ne connaisse pas l'imminence de ces événements ? [cette interview a eu lieu avant la mort du pape Jean-Paul II].

B : Mais que sait le pape de tout cela, particulièrement si l'on se souvient de sa déclaration passionnée de 2000***?

J : Deux groupes s'opposent au sein du Vatican : l'un d'eux préconise la divulgation et est soutenu sans réserve par Wojtila [Jean-Paul II] ; l'autre tente de bloquer par n'importe quels moyens toute information.

 Certains membres de cette faction font partie de groupes de pouvoir occultes qui, par exemple, contrôlent le marché du pétrole et influencent de nombreux secteurs de l'économie internationale dans le seul but d'étouffer l'information sur le développement des sources alternatives d'énergie, dites « énergie libre ».

 Ceci a été confirmé par l'affaire « Gardian » [Canada, 1989-91], spectaculaire mais peu concluante, du groupe ufologique CUFORN [Canadian UFO Research Network], qui fit sensation mais dont les photos de présumés aliénigènes n'ont pas été montrées. 

De toute façon ces documents exposent une réalité : les opérations complexes de manipulation-désinformation dépassent souvent la fantaisie la plus folle.
 Le sommet de toutes ces organisations occultes appartient au Gouvernement de l'Ombre, et n'est connu que sous l'acronyme SVS.



AFFAIRE VATICAN et NIBIRU
Un article de Jean Casault

Le texte qui suit, importé de plusieurs sources dont le Project Camelot

 doit être considéré avec beaucoup de réserve.



Les vérifications ne sont pas aisées et même accomplies ne signifient pas grand chose. Il est fort possible qu’une désinformation typique des milieux secrets du Renseignement se soient glissées dans l’ensemble de ce dossier ce qui par contre n’interdit pas de penser qu’il pourrait y avoir de nombreux éléments authentiques. Mais lesquels ? Cela demeure une excellente question. Voyez- donc ce que vous ressentez face à tout cela, mais n’allez pas vendre votre maison pour autant.


Toute une histoire qui commence au Vatican

Je reçois d’abord le 15 février 2011 ce courriel d’un correspondant et dans lequel se trouve la narration d’une bien étrange histoire impliquant un journaliste Italien et les services secrets du Vatican. C’est un très long document et dont on retrouve des traces ici et là sur Internet dont le fameux Projet Camelot dirigé par Bill Ryan et Kerry Cassiday.


Cristoforo Barbato



Ce journaliste Italien, ufologue de toute évidence ou à tout le moins très impliqué dans ces domaines aurait été approché en 2000 par un Jésuite plutôt mystérieux qui lui aurait donné de l’information vitale concernant les extraterrestres et qu’ici comme ailleurs je vais identifier comme des intelligences supérieures ou IS. Barbato apprendra donc que ces IS ont un lien très étroit avec le Vatican et la désormais planète Nibiru. Qui donc est d’abord ce journaliste ? Né à Naples en 1972 il était en 2002 l’éditeur d’un magazine intitulé Stargate. Je n’ai retrouvé aucune trace de ce magazine, mais vous ne retrouverez pas aisément non plus des traces du magazine AFFA et je peux vous assurer qu’il a bien existé. Barbato aurait publié de nombreux articles relatif au 3e secret de Fatima.

En 2005, il semble que Barbato ait fait savoir qu’il était en possession d’un film démontrant l’arrivée dans l’espace d’une monstrueuse planète dans notre système solaire et que cette information lui ait été livrée par un membre des services secrets du Vatican. Une réédition en somme des affirmations de John Lear concernant le célèbre Majestic-12 et l’existence de bases souterraines extraterrestres. Ce film aurait été visualisé par le public en 2005 lors d’une présentation à Pescara en Italie au cours d’une convention ufologique.
En bref, l’information livrée à Barbato est que le Vatican dispose d’un observatoire secret en Alaska et d’une sonde spatiale appelée Siloe, laquelle en 1995 aurait filmé cette planète dans le secteur de Neptune. Ce nom nous vient de la piscine autour de laquelle Jésus aurait guéri de cécité un homme qui s’y trouvait. Cette sonde, selon Barbato aurait été construite au Nevada, pour le compte du Vatican et par la compagnie Lockheed Aircraft Contrairement à l’entrevue diffusée par Camelot, je ne perdrai pas d’espace dans ces pages à commenter en long et en large l’aspect cloak and dagger des rapports furtifs entre le Jésuite et Barbato. Ce dernier aurait vérifier et contre-vérifier l’identité de son informateur à sa pleine et entière satisfaction. Passons donc à l’essentiel.
Ce Jésuite se serait mis à parler pour la simple raison que membre à part entière d’une agence secrète de renseignements du Vatican SIV ( Servizio Informazioni del Vaticano) dont l’existence est formellement niée, il désapprouvait le secret entourant cette planète compte tenu des conséquences dramatiques à venir. Apparemment ce SIV ferait l’objet d’un passage dans un ouvrage intitulé Ratlines, écrit par John Loftus et Mark Aarons


Donc selon ce Jésuite, la planète observée par la sonde Siloe serait la fameuse planète X, Nibiru ou selon les Babyloniens Marduk. On retrouve également une mention de cette planète dans la Bible sous le vocable de Absinthe ou Wormwood dans la version anglaise. Puisque Barbato s’intéressait de très près au 3e secret de Fatima c’est la raison pour laquelle il aurait été choisi par ces éléments subversifs du SIV.
On sait, à tout le moins on pense savoir que ce 3e secret traitait de l’attentat contre le Pape Jean-Paul 11. Pas de catastrophe globale ni de guerre mondiale en somme. Un autre journaliste par contre, Antonio Socci aurait lui aussi publié un ouvrage intituléQuarto Secreci di Fatima. Ce livre dit simplement que tout n’a pas été révélé et qu’une deuxième partie, a toujours existé. La première partie concerne cette vision mais la seconde explique le pourquoi de cette vision et qui concerne cet homme en blanc abattu à Rome. L’interprétation voulant qu’il s’agisse de l’attentat contre Jean-Paul ll ne colle plus. On y fait allusion à cet évêque en blanc, abattu à Rome avec de nombreuses autres personnes et d’une façon terrible par des soldats en armes ! On est loin du compte. Il est effectivement logique d’assumer que le 3e secret devrait être annonciateur d’évènements autrement plus graves que les deux premiers secrets et selon la version officielle de l’Église ce n’est pas le cas. L’attentat de Jean-Paul 11 a été raté personne n’en est mort et son règne fut long et prospère. Comme 3e secret, ceux de mes ex sont plus excitants !


Or Barbato, en étudiant de très près les textes écrits par les enfants eux-mêmes et surtout Lucie ne concordent pas avec la version officielle.


Il est question d’une apparition mais non pas de la Vierge Marie mais plutôt d’une forme, d’apparence humaine et femelle pouvant avoir 14 ou quinze ans. Elle portait à la main une lance et elle était vêtue de façon très étrange . Or à cette époque toutes les statues de la Vierge sont les mêmes et la description officielle veut que celle que donne les enfants de la Vierge soit conforme ce qui est faux.


Barbato explique cela parce qu’il a étudié les notes rédigées en portugais par Lucie alors que toutes les versions publiées par la suite sous la surveillance de l’Église de toute évidence l’ont été en Italien et les notes de Lucie n’ont jamais été traduites. ! Et Barbato a publié tout ça, ouvertement en 2000 et ce n’est pas passé inaperçu . De là l’intérêt des éléments du SIV et de ce Jésuite pour Barbato.
Donc il semblerait bien qu’en réalité le véritable 3e secret de Fatima pourrait avoir un lien avec Nibiru puisque le Jésuite s’est intéressé à Barbato à cause du secret et lui a livré une information sur Nibiru. C’est de la pure spéculation j’en conviens. On est ici pour réfléchir à voix haute sur des évènements et des personnages dont rien n’est certain mais l’ufologie c’est souvent, dans son sens large du terme, l’exploration de terres inconnues.
Revenons à nos moutons. Le Vatican aurait envoyé dans l’espace une sonde destinée à explorer l’univers et aurait découvert Nibiru ! Ce n’est pas rien. Au départ a-t’on seulement une preuve que le Vatican s’intéresse à l’espace. Après tout le Vatican n’a pas reçu de mandat du Sauveur de jouer à la Nasa, or mandat ou pas le Vatican effectivement s’intéresse à l’espace. Vous en serez convaincu en explorant le site officiel de l’observatoire astronomique du Vatican construit récemment sur le Mont Graham en Arizona et portant le nom de Vatican Advanced Technology Telescope Un bidule de l.8 mètre, soit la valeur de quelques millions de dollars. C'est ce que vous voyez ici



Dans cette entrevue accordée à Camelot par le journaliste Italien qui a bien connu Barbato , Luca Scantamburlo ce dernier fait part de la déclaration en 1997 d’un proche du pouvoir au Vatican, le père Malachi Martin un Jésuite et qui aurait déclaré : Les gens plus hauts que moi s’intéresse grandement à ce qui va survenir dans les 5 ou 10 prochaines années.
D’après le Jésuite qui cette fois s’adressait à Barbato, les effets de Nibiru se feraient sentir d’ici 4 ans, ce qui nous emmène en 2004.


Bien honnêtement il m’est difficile de prétendre si 2004 fut ou pas une année charnière en matière de désastres naturels. Par contre, il est possible d’entreprendre une longue et fastidieuse recherche et découvrir si 2004 est une année importante ou pas. On me signale notamment les faits suivants : Prenons d'abord le Soleil. Avec de la patience, vous pourrez consulter les données enregistrées par le radiohéliographe de Nobeyama (NoRH), un radiotélescope japonais qui fonctionne en tant qu'interféromètre spécialisé pour l'observation solaire (voir la newsletter cosmologique mensuelleShootingStar du 21 mars 2003, http://www.detailshere.com/solar activity.htm).


Dans l'article intitulé « The truth about global warming : it's the Sun that's to blâme » [La vérité sur le réchauffement global : 
c'est le Soleil qui en est la cause], de Michael Leidig et Roya Nikkhah, publié dans le Telegraph de Londres le 18 juillet 2004 (http://www.telegraph.co.uk), on peut lire ceci :

 « Le réchauffement global est enfin expliqué : selon des recherches récentes, la Terre se réchauffe parce que le Soleil brille plus fort qu'il ne l'a jamais fait depuis le dernier millénaire.

 Une étude menée par des scientifiques suisses et allemands indique que le rayonnement croissant du Soleil est la cause des changements climatiques récents... 
Le Dr Solanki a déclaré que ce sont à la fois l'accroissement du rayonnement solaire et le niveau des gaz à effets de serre, tels que le dioxyde de carbone, qui contribuent à la modification de la température terrestre, mais qu'il est impossible de dire lequel des deux est prédominant ».
Parmi les planètes et satellites du système solaire présentant des activités atypiques, citons :
Pluton : Selon les astronomes, « bien que son orbite très excentrique l'éloigné en ce moment du Soleil, Pluton connaît un réchauffement de sa mince atmosphère » (voir «SUV sur Jupiter ?- réchauffement du système solaire : les hommes seraient-ils responsables de changements climatiques aux confins du système solaire, ou serait-ce le Soleil ? », 

sur http://www.redicecreations.com/specialreports/2006/11nov/solarsystemwarming.html.

Triton : James Elliot, astronome au MIT déclare : «... depuis 1989, Triton (un des satellites de Neptune) subit un réchauffement global ». (http://www.scienceagogo.com/news/19980526052143data_trunc_sys.shtml).
Mars : En 2001, le JPL (Jet Propulsion Laboratory) de la NASA fit savoir que la caméra de la sonde Mars Orbiter avait observé, au pôle sud de Mars, des changements qui témoignaient d'un changement de climat sur cette planète, (http://mars.jpl.nasa.gov/mgs/msss/camera/images/C02_Science_ rel/index.html).

Jupiter : Le 4 mai 2006, un article qui titrait « De nouvelles tempêtes sur Jupiter laissent supposer un changement de climat » rapportait que « ... le télescope Hubble photographie le développement d'une nouvelle tache rouge... » Baptisée Red Spot Jr[Tache Rouge Junior], elle s'est formée après l'apparition de trois tempêtes blanches de forme ovale, dont deux doivent avoir au moins quatre-vingt-dix ans, et qui se sont fondues l'une dans l'autre entre 1998 et 2000.
 (http://www.space.com/scienceas-tronomy/060504_red_jr.html).

Saturne : Des images de la sonde Cassini du 11 octobre 2006 montrent un ouragan, dont le diamètre égale les 2/3 de celui de la Terre, qui fait rage au pôle sud de la planète, (http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/6135450.stm

Cela dit le Jésuite serait allé encore plus loin dans ses énoncés parlant à Barbato du programme spatial du Vatican et ça c’est une nouvelle.

Il porterait le nom de Kerigma ce qui vient du grec et signifie la proclamation ou l’annonce !

Pourquoi le Vatican serait-il impliqué ?
Ce qui va certes en ravir plusieurs dans ce texte est le fait que Barbato se fait confirmer par le Jésuite une vieille histoire qu’on croyait oubliée : la rencontre de Eisenhower avec des IS.
 En février 1954 sur les terrains du Muroc Airfield en Californie, une délégation d’entités aurait rencontré le président Dwight D. Eisenhower, en présence de l'évêque de Los Angeles, James Francis Mclntyre.


Notez que chaque fois que j’évoque cette histoire je sens un malaise dans la salle et je souris. Je souris parce que l’un des arguments avec lesquels on m’assomme depuis 45 mille ans c’est «  Pourquoi ce sont des idiots du village ou des moins que rien qui se font visités et pas des gens au pouvoir ? »

 Et quand tu répond qu’Eisenhower les a rencontrés on te traite de malade ! Voilà pourquoi je souris à chaque fois. En anglais il y a une expression pour ça : damn it if you do, damn it if you don’t

À la fin de la réunion, chaque membre de la délégation formée par les humains présents durent prêter serment de ne jamais révéler à quiconque ce qu'il avait vu et entendu.

Ce n’est pas ce que fit James Francis Mc Intyre et malgré de sérieux avertissements provenant des Américains il confia le tout à Pie X11. 
Or, c’est dès cet instant que Pie X11 craignant une relation exclusivement militaire avec les IS décida de créer un service secret d'information organisé de façon analogue aux renseignements fascistes, que l'on nommerait SIV, et qui aurait pour mission de glaner toutes les informations possibles concernant les IS et les données déjà recueillies par les Américains. 

Il était très important d'assurer une communication ouverte avec le président Eisenhower.

Le SIV fut donc conçu avec une structure top secrète, organisée de manière analogue à la CIA, au MI6, au KGB, etc.

 Il n'y a pas de siège officiel, mais on change régulièrement de lieu de réunion, toujours sous le regard de la Cité du Vatican.

 Tout cela dans le but d’acquérir et gérer, en coordination avec les services de renseignements d'autres pays, toute information secrète concernant les IS comme je les appelle et traiter particulièrement des aspects moraux, philosophiques

Les affaires prirent cependant une tournure inattendue lorsque Mclntyre et d'autres membres du SIV furent directement contactés, à l'insu des militaires, par des IS de type « nordique »d’origine Pléiadiennes.

 Ces gens mirent les contactés en garde contre les autres créatures des Gris que les Américains avaient côtoyées dans le désert de Californie. Le Padre Pio de Pietrelcina aurait lui aussi parlé de l'existence d'autres êtres dans d'autres mondes, qui avaient atteint un niveau élevé d'évolution parce qu'ils étaient sans péché car il semble bien que ces êtres vivent sur un plan dimensionnel différent sans être pourtant des anges.

 Par la suite, le Pape Jean XXIII bénéficia du même soutien de ces êtres qui auraient épousé la cause chrétienne ce dont je doute fortement, mais il préféra garder le secret, ne faisant allusion qu'à des « interventions angéliques

On apprend , toujours du Jésuite via ses confidences à Barbato que deux groupes s'opposent au sein du Vatican : l'un d'eux préconise la divulgation et il était alors soutenu sans réserve par Jean-Paul II alors que l’autre ; l'autre tente de bloquer par n'importe quels moyens toute information. 
Certains membres de cette faction font partie de groupes de pouvoir occultes qui, par exemple, contrôlent le marché du pétrole et influencent de nombreux secteurs de l'économie internationale dans le seul but d'étouffer l'information sur le développement des sources alternatives d'énergie, dites « énergie libre.

Ce que je trouve fort intéressant dans tout cela est la possibilité, à ne pas écarter loin de la que le Vatican baigne jusqu’au cou dans le secret concernant le phénomène IS. On parle toujours de la CIA, du KGB de l’époque, bref de l’ensemble des services de renseignements mais très rarement du Vatican.
Dan Brown 
Dan Brown est le premier à nous avoir titillé avec ses romans , mais en définitive il n’est pas impossible du tout et il est même tout a fait concevable que le Vatican dispose de ressources extrêmement larges dans ce domaine et en sache tout autant que les Ombres de Washington et d’ailleurs.
Dans les années 70, j’étais assez dans le salon d’un archéologue québécois, le père René Lévesque .


Benito Reyna 
Il me confiait son obsession de trouver le tombeau de Champlain, mais il était fasciné par mes recherches en ufologie. Surpris, je lui demandai si ce n’était pas un peu bizarre qu’un prêtre s’intéresse à ce sujet. Il a sourit : « Jean, je suis un Jésuite et c’est un monde qui n’a rien à voir avec le tien ou celui des prêtres, si seulement tu savais…. » Depuis il a défroqué et son décès ultérieur m’a grandement peiné. En revisitant mes notes je me suis souvenu aussi d’une correspondance intense que j’avais durant la même époque avec le Père Benito Reyna d’Argentine. Un Jésuite ! En terminant...



« Selon les calculs du scientifique John J. Matese, il y aurait à la limite de notre système solaire une très grosse planète, 4 fois plus grande que Jupiter et qui orbiterait à 15,000 U.A.du soleil, soit dans ou près du nuage de OORT. 

J'ai déjà un article sur lui datant de 2003 et il parlait cette année là d'un corps géant qui aurait un orbite de, tenez-vous bien, 6,000,000 de nos années terrestre.
 Un autre astrophysicien John Murphey à la même époque parlait lui aussi de cette étrange planète qui serait très loin mais dans notre système solaire. Serait-il possible que cette planète soit NIBIRU ??? »

John Murphey
En me rappelant cette information, le consultant en astronomie du CEO Guy Jasmin m’a fait faire quelques recherches.
 Il y aurait effectivement une planète géante du nom de Tyche cachée dans notre système solaire.




Ces astrophysiciens, John Matese et Daniel Whitmire de l’université de Louisiane, avancent cette idée. Ils se basent sur des données récoltées par le téléscope WISE de la NASA (Wide-field Infrared Survey Explorer) et qui nécéssitent encore beaucoup de travail. A la question de savoir comment une telle planète n’a pas encore été découverte, ils répondent tout simplement qu’elle se trouve aux confins du système solaire dans le nuage de Oort. Parmi les planètes de notre système solaire, Pluton est celle qui est la plus éloignée du soleil.

Or Tyche serait 375 fois éloignée du soleil que ne l’est Pluton et 14 700 fois plus éloignée du soleil que la Terre ne l’est. Bien que de nombreuses preuves de l’existence de cette planète, nommée Tyche, existent apparemment, de nouvelles données seront essentielles.

Selon le professeur Daniel Whitmire, Tyche serait essentiellement composée d’hydrogène et d’hélium avec une atmosphère semblable à celle de Jupiter. Il espère également que la planète possède des lunes, comme toutes les planètes extérieures. Si l’existence de Tyche se voit confirmée, il s’agirait de la neuvième (et certainement de la plus grande) planète de notre système. Elle devra encore être acceptée par l’union astronomique internationale et sera susceptible de changer de nom.


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