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samedi 12 décembre 2015

Quand l’armée US tente de détruire les vestiges du passé...!

Quand l’armée US tente de détruire les vestiges du passé...!




La Plaine des Jarres est une région du nord du Laos, remarquable par la présence de champs recouverts d'imposantes jarres de pierre antiques, dont la signification et l'origine ne sont pas élucidées. 

Elle s'étend sur une superficie d'environ 1 000 km2.



Les principaux champs de jarres sont situés dans la province de Xieng Khouang, sur un plateau autour de Phonsavan. Ce plateau a une altitude moyenne de 1 200 mètres, c'est là que se rencontrent les principales concentrations de jarres.

Ce secteur a été parmi les régions les plus bombardées par l'aviation américaine durant la guerre du Viêt Nam : plus 500 attaques aériennes par mois selon le programme Rolling Thunder (tonnerre ininterrompu), chiffres tirés des Pentagon Papers, soit une attaque toutes les huit minutes pendant neuf ans selon le journaliste Fred Branfman qui a dénoncé ce pilonnage inutile dans son livre.

Branfman a prouvé, cartes à l'appui, que la plaine des jarres n'était pas sur le trajet de la Piste Hô Chi Minh qui servait aux Nord-Vietnamiens à ravitailler en armes les combattants du Sud.





Au total, c'est plus d'une soixantaine de sites différents qui sont disséminés sur la zone de la plaine des Jarres dont le centre est au Laos, les principales concentrations comptant jusqu'à 250 unités. Mais on trouve aussi des sites similaires, bien que moins spectaculaires, sur le plateau de Korat en Thaïlande et en Inde du Nord.

Actuellement, des démarches sont en cours pour classer la Plaine des Jarres dans la liste du Patrimoine mondial de l'UNESCO, et des campagnes de déminage sont menées par des organisations internationales.

Seuls trois sites sont ouverts au public, dont Thong Hai Hin, avec 250 jarres pesant de 600 kilos à 6 tonnes.

Les jarres sont disposées par groupes, sans alignement visible. Elles sont de différentes tailles, de un à trois mètres de hauteur, mesurant jusqu'à près de huit mètres de circonférence, pesant de 500 kg à plusieurs tonnes pour les plus grandes (qui peuvent contenir jusqu'à dix hommes debout).
 Elles ont été taillées dans des blocs de roches monolithiques provenant de la région : calcaire de grès, et parfois granits. Elles sont parfois à demi enterrées.





On trouve aussi quelquefois, près de certaines d'entre elles, un disque de pierre ayant pu servir de couvercle. Leur forme est assez simple, souvent cylindrique, plus rarement angulaire, les jarres ne présentent aucune décorations ni inscriptions. Aucun autre vestige architectural ou d'habitat antique n'est présent dans la région, laissant les jarres sans contexte archéologique.

La carrière de grès d'ou proviennent les jarres est à des kilomètres. La datation est extrêmement floue quant à la mise en place des jarres : les estimations vont de -4000 av JC à 800. Et le peuple qui en est à l'origine est totalement inconnu !

La première étude archéologique des sites a été réalisée vers 1930 par Madeleine Colani de l'École française d'Extrême-Orient. Elle entreprit des fouilles sur plusieurs jarres, ainsi que dans une grotte située non loin du site 1 et dotée d'une cheminée naturelle, dans laquelle furent découverts d'importantes traces de feu et des ossements humains calcinés.

Elle émit alors l'hypothèse que cette grotte aurait été un incinérateur naturel lors des funérailles, et que les cendres auraient ensuite été conservées dans les jarres. Malheureusement, les éléments de datation des os retrouvés dans la grotte ou près des jarres sont très étalés dans le temps, et ne permettent pas de tirer de conclusions précises.





Les travaux de Madeleine Colani restent une base pour les archéologues qui cherchent à percer le mystère de la Plaine des Jarres, parmi lesquels Marcello Zego. Celui-ci émet l'hypothèse que ces mégalithes, accompagnées d'objets de bronze et de fer, pourraient être des monuments funéraires, œuvres des premiers occupants indochinois d'une civilisation située entre celle des aborigènes Kha et cambodgienne.

La communauté scientifique ne peut encore donner que des explications conjecturelles quant à la datation de ces jarres de pierre, sur une période allant de 5000 av. J.-C. à 800 ap. J.-C, et il existe plusieurs théories sur leur destination : urnes funéraires, stockage de nourriture ou d'eau, cuves à fermentation pour la production d'alcool, etc.

Aucune n'explique le nombre de ces mégalithes pesant entre 600 kg et 6 tonnes, ni la manière dont ils ont été amenés sur les cinq sites de la plaine alors que le grès dans lequel ils sont taillées provient de la chaîne de montagnes située entre Luang Prabang et Xieng Khouang, et encore moins comment ces ‘’jarres’’ géantes ont été creusées et taillées si parfaitement ! Les légendes locales sont innombrables.

Et l’on peut légitimement se poser la question suivante : pourquoi la plaine des jarres, qui n'était pas sur le trajet de la Piste Hô Chi Minh, est ainsi l’une des régions les plus bombardées par l'aviation américaine durant la guerre du Viêt Nam : plus 500 attaques aériennes par mois, soit une attaque toutes les huit minutes pendant neuf ans ??

Je n’ai bien sur pas la réponse …hélas, mais c’est comme si à l’évidence l’on souhaitait faire disparaître de la surface de la Terre quelque chose de gênant, qui n’avait rien à voir avec le conflit et l’ennemi !





Cet ‘’effacement’’ de ce site de la surface de la planète, tenté par les US est un échec, comme le fut d’ailleurs la plus importante campagne de bombardements aériens intensifs de la guerre du Viêt Nam effectués par l'USAF, l'US Navy et la Force aérienne du Sud-Viêt Nam avec l’Opération Rolling Thunder !

Cette opération est devenue la plus importante bataille air / sol menée durant la guerre froide et la plus difficile menée par l'US Air force depuis la Seconde Guerre mondiale lors des bombardements sur l'Allemagne. L'opération a d'ailleurs nécessité autant de bombes qu'il en est tombé sur toute l'Europe de l'Ouest lors de la Seconde Guerre mondiale.

En 1968, Rolling Thunder est déclaré comme un échec stratégique, n'ayant pu venir à bout de ses objectifs prévus. 506 avions de l'US Air Force, 397 de l'US Navy et 19 du Corps des Marines ont été perdus au cours de ces opérations.

Les pertes vietnamiennes sont quant à elles importantes, puisque 52 000 soldats et 182 000 civils furent tués lors de bombardements. Plus tard, un rapport de la CIA dressera un bilan très sévère : Rolling Thunder a sa place comme l'opération la plus ambitieuse, la plus coûteuse et la plus inefficace de l'Histoire !






Cette catastrophique opération à tous les niveaux, faut-il le souligner eut court entre le 2 mars 1965 et le 1er novembre 1968, soit pratiquement 4 ans ! Quatre années de bombardements aériens intensifs !

Pendant la guerre américaine au Vietnam (1954-1975), la province de Quang Tri a été la plus bombardée. Selon des données, 83% de sa superficie, soit 3.866 km², a été bombardée ou minée (taux national : 21%).

Les Jarres elles, sont toujours là, mais le sol du Vietnam lui est truffé de bombes non explosées et surtout de mines…

Plus de 40 ans après la fin de la guerre, les civils vietnamiens meurent ou sont blessés quotidiennement par des engins explosifs. Au total, plus de 45.000 personnes sont mortes depuis 1975 à cause de bombes ou de mines, selon le Vietnam.

D'après le ministère vietnamien de la Défense, il y aurait environ 6,6 millions d'hectares de terres recelant des mines… il faudra 300 ans pour déminer le territoire vietnamien !

Quels secrets voulait-on cacher, supprimer ?
Quels secrets cachent ces ‘’Jarres’’ ? 
Des artéfacts ressemblant à des vestiges de quelques géants anciens ayant foulés la planète en des temps reculés !






On sait aujourd’hui, ou l’on devrait savoir, qu’à chaque guerre qu’ont menées ou que mènent les US partout dans le monde, ils tentent à chaque fois de piller, ou détruire des sites qui n’ont aucune relation avec le conflit, et/ou l’ennemi en question, cela est valable pour tous les pays visés ! Comme nous l’avons vu en Irak, en Afghanistan, au Vietnam, au Laos, en Syrie etc etc…

Par exemple, souvenons-nous en 2014 après un « tweetclash » épique avec Glenn Greenwald et 72 heures de suspense, Wikileaks décidait de dévoiler le nom du pays entièrement mis sur écoutes par la NSA, et le pays mystère mis sur écoute par la NSA était… l’Afghanistan.

Or, de bien étranges évènements eurent court en Afghanistan en 2010, selon une rumeur de l'époque, souvenons-nous….

Cette rumeur veut qu'un rapport commandité par le premier ministre russe Vladimir Poutine et réalisé par le SVR fasse état de déplacement suspect de grands chefs occidentaux en urgence sur la zone de guerre afghane.




En effet après la visite surprise de B. OBAMA le 03/12/2010, c'est David Cameron le premier ministre britannique qui a fait une visite surprise le 07/12/2010 suivi par le président Sarkozy le 08/12/2010 qui s'est rendu sur place alors qu'il était en visite officielle en INDE. Son déplacement s'est fait sous escorte US. Il est ensuite retourné officiellement en Afghanistan sous le prétexte de rencontré Karzai aux alentours du 23/12/2010.



Dans cet intervalle de temps, ce fut au tour de la chancelière allemande de se rendre sur place le 18/12/2010. De son coté, Luis José Zapatero et Dmitri Medvedv se sont également rendu en Afghanistan de façon totalement inattendue en décembre 2010 alors qu'ils étaient eux aussi en visite officielle en Inde.

Qu'est ce qui peut être important au point de faire venir de façon totalement inattendu les plus grands dirigeants de ce monde en Afghanistan ?

La version officielle retiendra que ces chefs d'Etats sont venus apporter leurs soutien à leur troupes sur le terrain ainsi qu'apporter leur soutien à Karzai. Mais est-ce bien la seul raison ? Il se pourrait bien que non…

Ce rapport russe fait également état d'une découverte faite dans une grotte afghane par le staff scientifique US dépêché sur place qui serait à l'origine de ces visites surprises.

Toujours d'après ce rapport, qui semble corroborer à présent par des rapports des services secrets chinois, indiens et surtout iraniens, il semblerait qu'une équipe de scientifiques américains ai découvert dans une grotte d'une région reculé de l'Afghanistan, une étrange machine emprisonnée dans une sorte de bulle de gravité première, confinée dans un champ électromagnétique tel que décrit par Albert Einstein dans sa théorie des champs unifiés (il semble d'ailleurs que ce champs ai provoqué la disparition de nombreuses personnes dans cette région comme ce fut le cas en 1943 lors de l'expérience de Philadélphie et c'est ce qui aurait suscité la curiosité des scientifiques us).




On peut, à juste titre, se demander si effectivement ces informations sont à prendre aux sérieux ou pas. Cependant en cherchant un peu, on se rend compte que les nazis dans les années trente effectuaient des recherches en Afghanistan pour trouver des vestiges des descendants de Mu.

Ont-ils trouvé quelque chose ? Cela reste une énigme. Néanmoins, on peut se demander si les avancées technologiques des nazis en matière d'aéronautique à la fin du conflit mondiale n'ont pas un rapport avec tout cela.

La guerre contre l’Afghanistan s'inscrit dans la « guerre contre le terrorisme » déclarée par l'administration Bush à la suite des attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington.

Le 31 décembre 2014, l'OTAN met fin à son engagement en Afghanistan après 13 ans de guerre, et laisse le pays dans le chaos, avec plus de 20 000 civils innocents tués, et plus de 12 700 tonnes de bombes larguées sur l’Afghanistan par l’US Air Force.

Vimana, artéfacts Sumérien, Jades géantes, île de pâques, Pôles Sud et Nord, abysses océanique, l’armée US est sur tous les fronts pour tenter de récupérer ou détruire les mystérieux anciens vestiges du passé, pourquoi ?

La plaine des Jarres géantes quant à elle, conserve toujours ses secrets…



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