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mardi 30 juin 2015

étrangetés sous-marines de notre globe

I – « Sous nos mers » … Les étrangetés sous-marines de notre globe


1. )  Trou noir




12 scientifiques vont explorer une faille située à 4 900 mètres de profondeur, sous l’Océan Atlantique.
Les 12 géophysiciens se demandent comment s’est produit le trou noir :
Deux morceaux de l’écorce terrestre se sont soulevés, et une roche solide a pu boucher le fossé provoqué par le soulèvement des plaques, ou bien l’écorce terrestre s’est déchirée, mais pas assez pour laisser s’infiltrer le magma du manteau terrestre.
Un géophysicien et son équipe ont quitté les Canaries, îles espagnoles, pour explorer un immense cratère, situé à 4900 mètres sous l’Océan Atlantique. Des études ont révélé l’existence d’un fossé de 3 à 4 km diamètre sur l’écorce terrestre.

2.  Un grand mur surgit du fond de l’océan et signaux inconnus

 

Entre l’Australie et l’Antarctique, une structure de 3 km de haut et 500 km de long.


« Un mur gigantesque, de 3 kilomètres de haut sur 20 kilomètres de large seulement à la base et 500 kilomètres de long. Orienté sud-ouest nord-est, et pratiquement droit.


Comme une sorte d’aileron de requin.» Louis Géli, qui avec Henri Bougault, dirigeait la mission Pacantarctic n’en revient pas: c’est tout à la fin de leur travail, à bord de l’Atalante, le navire amiral de l’Ifremer, que la surprise s’est invitée.
Dans l’une des mers les plus dangereuses du globe, entre icebergs et coups de vent.
 les géologues dressaient cartes sur cartes de cette dorsale qui, venue du milieu du Pacifique, se glisse entre l’Antarctique et l’Australie.

Une dorsale se forme là où le plancher océanique s’ouvre, laissant passer le magma chaud des profondeurs de la Terre pour élargir l’océan.
A leur actif, en trois semaines, la cartographie d’une surface de près de 1.600 kilomètres de long sur 60 à 600 kilomètres de large le long de l’axe de la dorsale.
 Le sondeur de l’Atalante leur permet de dresser des cartes dont la résolution peut descendre jusqu’à 10 mètres, avec une précision inférieure à 5 mètres pour le relief. Outre ces cartes, les géologues rapportent plusieurs tonnes de cailloux raclés au fond des océans, entre 2.800 et 3.200 mètres. Parfois juste un petit caillou collecté, mais souvent la drague remplie à ras bord. Une première analyse chimique de ces roches à bord a permis d’orienter les recherches.
La routine… jusqu’à cette découverte.
«Nous étions guidés par trois observations. Une étude préliminaire de la marine US, qui avait relevé des hauts fonds, baptisés ride de Hollister. Un sismologue, intrigué par des signaux étranges à cet endroit. Et les cartes satellitaires qui montraient, pensait-on, une chaîne de volcans, comme il y en a tant sous les mers.»
Or, pas du tout. «Aucune trace des structures volcaniques attendues avec les cônes caractéristiques, formés par les éruptions.» Mais une sorte de mur: «A son extrémité sud-ouest, par 54$S et 138$W, l’escarpement est extraordinaire.
Louis Géli
La structure s’élève de 3 kilomètres en 30 kilomètres pour venir jusqu’à 150 mètres environ de la surface. Le sommet du mur reste à cette altitude pendant 100 kilomètres, puis redescend doucement ,en 400 kilomètres, jusqu’au plancher océanique vers 3.200 mètres.» D’où vient-il, quand s’est-il formé ?



 Louis Géli livre des hypothèses.
«Il doit s’agir d’une remontée, pratiquement d’un seul coup, d’un énorme bloc de magma chaud très visqueux. Monté tout droit du manteau supérieur.»
Et qui lui aurait donné le coup de pied pour s’élever ainsi ?
«Depuis longtemps, nous sommes intrigués par un point chaud, une sorte de panache de magma qui vient de plusieurs dizaines de kilomètres de profondeur. Il y a par ici le point chaud de Louisville… qui semble inactif depuis plus de 10 millions d’années.»
D’habitude, ces points chauds semblent fonctionner comme des chalumeaux. Ils percent la lithosphère et forment un volcan au-dessus du trou. Peut-être le point chaud de Louisville était-il un peu faiblard. Alors, sa matière chaude s’est étalée sous la lithosphère, sans parvenir à forer un trou. Et là, elle s’est glissée dans une fissure du plancher océanique, jusqu’à parvenir à sa surface et jaillir violemment pour créer cet étrange mur.
Après les hypothèses, reste à établir la composition chimique de la roche récoltée; la comparer aux formes de la dorsale, là où ils ont été recueillis; tenter d’en tirer une leçon sur les relations entre températures du manteau et vitesse d’ouverture de la dorsale; puis de les corréler avec des données sismiques…
Bref, à faire parler ces milliers de cailloux.

3. )  Le golfe d’Aden, l’alibi des pirates, « la Terre doit être avertie »

 


On a tous entendu parler de cette porte ‘’ Seagate ‘’ dans le golf d’Aden, alors qu’en est il réellement ? 
Tout d’abord le problème de piraterie dans le secteur n’est pas nouveau, tout comme les anomalies magnétique dans la région.

Voici pour les anomalies géologiques et magnétiques de la région :
L’âge de la croûte océanique dans le golfe d’Aden est établi à partir des anomalies magnétiques mesurées à l’aide d’un magnétomètre. La vitesse moyenne de propagation de la dorsale est supérieure à 35 centimètres par an (350 km par millions d’années), alors que la vitesse d’ouverture du golfe d’Aden est de l’ordre de 2 centimètres par an (20 km par millions d’années). Source : CNRS.
On note dans cette région, une propagation ultra-rapide de la dorsale de Sheba vers le point chaud des Afars.
Le Golfe d’Aden est une des régions du monde parmi les plus captivantes pour les spécialistes des géosciences. Il s’y produit un phénomène unique, une ouverture océanique qui s’est propagée d’Est en Ouest, séparant l’Arabie de l’Afrique. Le plancher océanique se forme de manière continue dans la totalité du golfe d’Aden depuis 16 millions d’années (âge de l’anomalie magnétique 5C identifiée dans tout le golfe). 
La grande faille d’Alula-Fartak divise le golfe d’Aden en deux parties…
Autre fait étrange, la propagation de la dorsale s’est déroulée sur une distance de 1400 km en moins de 4 millions d’années, soit une vitesse moyenne de propagation de 35 centimètres par an. Dans la partie occidentale du golfe, cette vitesse a même excédé 45 centimètres par an. Ces vitesses de propagation, qui sont plus de dix fois supérieures à la vitesse d’expansion océanique de la dorsale (2 centimètres par an), sont des vitesses extrêmes pour la Tectonique des plaques et méritent d’être qualifiées d’ultra-rapides.
Des données issues de l’UEO (Union de l’Europe Occidentale), impliquent que la piraterie est un problème criminel qui devrait être traité au niveau policier, et non un problème de défense nécessitant des interventions militaires. 

A moins que ces organisations criminelles, parfaitement identifiées, aient le champ libre pour justifier d’une relance de la « guerre globale au terrorisme » et du maintien de l’OTAN sur zone, déjà déployée au large de la Somalie depuis les attentats du 11 septembre 2001 aux USA.
En effet, qui peut douter un seul instant, que des forces militaires terrestres, même simplement policières, pourraient venir à bout de ces pirates en quelques heures ou quelques jours seulement, car ils sont parfaitement identifiés, et localisés par les commandements du monde entier. Une mission rapide, et efficace débarrasserait rapidement cette région de tous les pirates, et on passerait à autre chose. Mais non, rien de tout cela…

En novembre 2008, l’Union Européenne décide d’engager une opération militaire maritime « Eunavfor », dénommée officiellement « Atalanta » dédiée spécifiquement à ce problème. 


Elle se met en place fin décembre 2008 et les pirates arrêtés par cette dernière; sont depuis 2009 dirigé vers le Kenya.
De leur coté, les Américains mettent en place, en janvier 2009, une autre force, la Combined Task Force 151, avec pour mission de combattre la piraterie dans cette région. La plupart des grandes marines mondiales leur emboitent le pas, telle la marine russe, la marine indienne, Chinoise, japonaise etc etc et ils déploient des navires dans la zone pour protéger les navires civils qui sont pour la plupart désormais organisés en convoi tandis que quelques armateurs ont préféré faire passer leurs bâtiments par le cap de Bonne-Espérance.
Le bilan des diverses forces anti-pirates déployées au large de la Somalie d’avril 2008 à octobre 2010 fait état 1 248 arrestations, 506 personnes passées en justice, 254 condamnés. Un minimum de 44 pirates a été tué.
Oui mais…
Un rapport de l’ONU indique que les pirates somaliens ont accru leur activité au large de leurs côtes en 2010, parvenant à s’emparer de 37 navires pendant les neuf premiers mois de l’année, contre 33 pendant la même période de 2009. 28 navires avec plus de 494 otages sont au 6 novembre 2010 au mains des pirates. Le nombre des actes de pirateries est donc en constante augmentation !
On peut des lors se demander pourquoi toutes les nations du monde affluent dans ce coin de la planète, envoyant qui des navires, qui des hélicoptères, qui des avions, qui des des commandos etc etc… Alors qu’une simple opération de descente, sur les terres des pirates suffirait à endiguer le problème ?
Il se passe bien autre chose dans le golfe d’Aden, mais quoi exactement?
Quelques sources, affirment qu’un vortex mystérieux situé dans l’océan aurait vu le jour en 2000.
 (Nous en donnons l’explication en fin de texte …)
Simulation photographique d’un vortex...
Un étrange rapport préparé par l’amiral Maksimov pour le Premier ministre Poutine de la flotte Russe du Nord indique qu’un « mystérieux vortex magnétique »

actuellement centrée dans le Golfe d’Aden a “défié” tous les efforts combinés de la Russie, les Etats-Unis et la Chine pour l’arrêter, sans qu’on puisse déterminer son origine exacte ou sa raison d’être”.
Selon ce rapport, les scientifiques américains ont commencé à remarquer la “formation” de ce tourbillon à la fin 2000, après que les Américains aient établi une base d’opérations sur la Corne de l’Afrique, à Djibouti.
Après être resté «relativement stable» depuis sa découverte en Novembre 2000, le vortex du golf d’ Aden, a commencé à s’”élargir” fin 2008, poursuit le rapport, ce qui a incité les États-Unis à émettre un avertissement spécial au monde entier sur cet événement mystérieux.
En réponse, les nations se sont précipitées avec leurs forces navales dans cette zone : ce sont
 la Royal Navy australienne,
 la Marine belge,
 la marine bulgare,
 la Marine canadienne,
 la Marine populaire de libération (Chine),
 la Marine royale danoise,
 la marine française,
 la marine allemande,
 la marine grecque,
 la marine indienne,
 la marine de la République islamique d’Iran,
 la marine italienne,
 la marine japonaise, 
la marine de la République de Corée (Corée du Sud),
 la Marine royale malaisienne,
 la Royal Navy, 
la marine des Pays-Bas,
 la marine du Pakistan,
 la marine portugaise, 
la Marine royale saoudienne, 
la Marine de Russie, 
la marine de la République de Singapour,
 la marine espagnole,
 la marine suédoise,
 la Marine royale thaïlandaise, 
la marine turque, 
la British Royal Navy 
et la Marine des États-Unis.
Sous le prétexte que ces forces navales ont été nécessaires pour protéger le golfe d’Aden des pirates de Somalie , l’amiral Maksimov fait état dans ce rapport que cette accumulation est la plus grande de son genre dans l’histoire humaine et que la Russie est «préparé» à se joindre aux Américains dans ce que les responsables du monde considèrent comme:
 une attaque sur notre planète par des «forces» jusque-là inconnues, mais décrites comme pouvant être ” inter-dimensionnelle ” ou “extraterrestre”.
Pour la 1ere fois dans le monde moderne, une estimation compte de 40 à 60 tremblements de terre survenus dans le golfe d’Aden ces derniers temps.
Ce rapport indique également que tous ces tremblements de terre ont varié entre 4,5 et 5,4 sur l’échelle de Richter et presque tous sont sur ou autour de 10 km de profondeur et sont “étrangement” liée au calendrier de la mystérieuse «réapparition» de la ceinture équatoriale Sud de la planète Jupiter “disparue” en mai dernier.
 Maksimov précise également dans son rapport que, depuis des tremblements de terre récents et fréquents sur notre planètes le Jet Stream de l’hémisphère Nord s’est “presque effondré” plongeant de vastes régions du monde dans le chaos météo.
 Un courant-jet1, aussi couramment désigné par sa dénomination anglophone de jet stream, est un courant d'air rapide et confiné que l'on trouve dans l'atmosphère de certaines planètes telle que la Terre.
 La formation des courants-jets résulte de la rotation de la Terre et du réchauffement inégal de l'atmosphère terrestre (l'énergie thermique reçue par rayonnement solaire varie d'un endroit à l'autre : il fera plus chaud au niveau de l'équateur qu'aux pôles créant ainsi un déséquilibre thermique) . Les courants-jets se forment dans les zones de conflits entre les masses d'air ayant des propriétés différentes appelées fronts, dans lesquels il existe un grand différentiel de température et de pression.
amiral Maksimov
La plus grande crainte des États-Unis, et d’autres Nations du monde, au sujet de ce mystérieux vortex du golf d’aden, c’est que ce rapport de l’amiral Maksimov soit porté à la connaissance du public par le site web WikiLeaks, qui aurait en sa possession la quasi-totalité de la mission diplomatique secrète et qui menacerait de divulguer ce qui devrait “sans doute”semer la panique dans le monde entier.
On sait aujourd’hui, tout le tintamarre fait contre WikiLeaks et son dirigeant Julian Assange, accusé de tous les mots de la terre pour ainsi dire. Le plus étonnant dans tout cela, est le nombre et surtout la provenance de certains de ces navires comme par exemple, la Chine ou le Japon qui engagent rarement voir jamais depuis des décennies leur marine de guerre en dehors de leurs eaux territoriales.
La liste des pays ou organisations telles que l’OTAN ayant envoyé leurs bateaux officiellement pour prévenir les actes de piraterie est impressionnante.
Le point de convergence de tous ces bateaux, est situé dans cette « anomalie magnétique ».
Le fait est, qu’ un large périmètre dans cette zone n’est plus accessible aux navires marchands, scientifiques et de plaisance. 
Il sont détournés, toujours officiellement pour éviter d’être attaqués par les pirates. 
Selon certaines sources, l’envoi massif de navires provenant d’un nombre important de nations dans cette région ne serait qu’un leurre pour masquer un autre objectif.
Souvenez vous, il y a 2 ans presque jour pour jour :

La célèbre scientifique et première femme spationaute (francaise) Claudie Haigneré, a dû être ‘’ tenu par la force », après avoir crié  » Le monde doit être mis en garde !  » avant de tomber dans le coma, après une overdose de somnifères pour une apparente tentative de suicide, selon les rapports.
Claudie Haigneré à 51 ans, a été hospitalisée hier en fin de journée après avoir commis une tentative de suicide, selon une source gouvernementale non identifiée a déclaré à l’Agence France Presse. Une autre source a déclaré à l’AFP que Haigneré a pris une overdose de pilules. Claudie Haigneré, 51 ans, rhumatologue, s’est rendue dans la station spatiale MIR comme astronaute en 1996 et à la Station spatiale internationale (ISS) en 2001.
 Elle a étudié comment les humains s’adaptent à leurs compétences cognitives et motrices dans les vols en apesanteur et surveillés depuis le sol. Plus tard, dans MIR, elle a réalisé des expériences en physiologie, biologie du développement, en physique des fluides et de la technologie, selon l’Agence spatiale européenne. 
Plus choquant, les rapports continuent d’indiquer que dans les heures de la prétendue tentative de suicide par le Dr Haigneré son laboratoire, où elle a travaillé à l’avant-garde de la recherche sur l’ADN de l’homme / Alien reconnu dans l’Institut Pasteur a été détruit par le feu.
Le Dr Haigneré depuis son retour de l’espace, était convaincue que la Terre a été visitée depuis l’histoire, par « d’anciens astronautes ‘’ qui non seulement ont colonisé la planète, mais ont été génétiquement conçu pour être le plus proches de nos formes de vie sous-humaines, en vue de notre race humaine.
Les croyances de Madame Haigneré reflétent celles de l’éminent écrivain et chercheur, Zecharia Sitchin disparu récemment.
Les journaux ont tout d’abord parlé pour Claudie Haigneré de tentative de suicide, qui fut démentie par la suite, on parle alors d’erreur de médication.
Alors qu’elle criait « La Terre doit être avertie ! ».
Alors qu’elle était au courant d’une menace extraterrestre et qu’elle voulait divulguer l’info, dans les heures suivantes, son laboratoire a été entièrement détruit par le feu…
 Aurait-on tenté de faire taire la première Française à être allée dans l’espace, et deux fois ministre, de la Recherche puis des Affaires européennes ?

En mars 2009, Claudie Haigneré est choisie pour définir les orientations du nouvel ensemble qui va naître du regroupement entre le Palais de la découverte et la Cité des sciences et de l’industrie, deux hauts lieux parisiens de la culture scientifique et technique. 
Conseillère auprès du directeur général de l’ESA, elle s’est vue confier cette nouvelle mission par Mesdames Valérie Pécresse, Ministre française de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, et Christine Albanel, Ministre de la Culture et de la Communication.
Ci-dessous les actes de pirateries dans le monde, qui prouve si besoin en est, que le golfe d’Aden n’est pas pire qu’ailleurs dans ce domaine de la piraterie :

 

4.  )D’énormes océans sous la surface de la terre

Des scientifiques ont découvert des océans cachés profondément à l’intérieur de la planète. Ces grandes étendues d’eau seraient situées à une profondeur de plus de 1.000 kilomètres sous la surface de la Terre.
 

L’histoire du Déluge est un récit biblique sur un déluge universel consigné dans la Genèse.



Certains le considèrent comme un mythe. Cependant, beaucoup de scientifiques pensent que le Déluge s’est produit au temps jadis. 
Les scientifiques signalent de nombreuses traces de l’inondation encore existantes dans diverses parties du globe. Ils croient aussi que les lacs d’eau de mer dispersés par ci par là dans des terres éloignés de milliers de kilomètres d’un rivage sont les restes du Déluge.
La question est : « D’où est venue toute cette eau ? »
Quelle était la cause d’un déluge catastrophique envahissant la planète aux jours de Noé ?
Selon la Bible, Noé a dû construire un grand bateau pour lui, sa famille, et un couple de chaque sorte de créature pour survivre à l’inondation.
Pas mal d’hypothèses aspirent à expliquer l’événement biblique. Quelques chercheurs disent qu’un astéroïde ou une comète a pu avoir frappé la planète, causant un tsunami colossal.
 D’autres prétendent que les fleuves ont gelé suite à une chute des températures. En conséquence, le niveau de la mer s’est élevé de façon catastrophique [au dégel].
 D’autres chercheurs relient l’inondation à un déplacement soudain de l’axe de la Terre ; on pense que le déplacement a déclenché la propagation d’une masse énorme d’eau autour du globe.
Jusqu’à récemment il n’y avait aucune preuve scientifique solide pour soutenir les diverses théories concernant les origines du Déluge.
 La situation a changé en février suite à des rapports sur une découverte sensationnelle de chercheurs US.
Selon leur étude, l’eau qui a inondé la planète est sortie des profondeurs de la Terre. Les chercheurs ont découvert d’immenses étendues d’eaux sous la surface de la Terre.

Deux océans souterrains

La planète Terre est constamment surveillée par des sismographes, des instruments pour mesurer et enregistrer les vibrations des tremblements de terre. Les vibrations enregistrées dans différentes parties de la planète permettent aux chercheurs d’obtenir de précieuses données concernant la dispersion des ondes de chocs dans la croûte et le manteau terrestre.
Le professeur de séismologie Michael Wysession de l’Université de George Washington à Saint Louis et Jesse Lawrence, un universitaire de troisième cycle à l’Université de Californie à San Diego, ont réuni leurs forces pour effectuer une recherche approfondie. Leur travail impliquait l’analyse de 600.000 sismogrammes. Les résultats leur ont vraiment coupé le souffle d’étonnement : il y avait la preuve indiquant qu’au moins deux grandes étendues d’eaux se trouvent sous l’Eurasie et l’Amérique du Nord.
« Les caractéristiques spécifiques de l’atténuation longitudinale des ondes sismiques indiquent nettement la présence de l’eau. Ces caractéristiques ont un rapport à l’eau, » a dit le professeur Wysession.
Les chercheurs ont aussi conçu un modèle en trois dimensions du secteur d’après les données des sondages. Ils sont sûrs que les océans souterrains contiennent autant d’eau que l’Océan Arctique. L’eau est située à une profondeur variant de 1.200 à 1.400 kilomètres.
L’académicien Eric Galimov, directeur de l’Institut Vernadsky de Géochimie basé à Moscou et de Chimie Analytique, a appelé la théorie de Wysession « tout à fait crédible. » Il est à noter que des chercheurs britanniques de l’Université de Manchester ont prétendue avoir découvert de l’eau de mer sous la surface de la Terre il y a environ soixante ans.
Les Britanniques ont trouvé des traces d’eau lors de l’analyse de l’anhydride carbonique jaillissant d’une profondeur d’environ 1.500 kilomètres.
 La communauté scientifique a ignoré la découverte en dépit d’une publication dans le magazine Nature.

Les eaux souterraines se sont évadées

Comment l’eau est entré dans la Terre est encore obscur. Peut-être existait-elle dès le début. Beaucoup de chercheurs suggèrent que l’eau souterraine gagne périodiquement la surface. De même, l’eau des océans s’infiltre en descendant. Scientifiquement parlant, la taille de l’hydrosphère de la Terre est sujette à modification. Les changements sont le plus probablement provoqués par des mouvements de la croûte et du manteau terrestre.
Par ailleurs, il y a d’étranges trous découverts au fond de l’océan.
De l’eau chaude atteignant 400 degrés Celsius coule des trous, qui ont été surnommés les « fumeurs noirs. » Peut-être que l’eau des océans souterrains traverse les trous.
Il est possible que des vannes souterraines aient pu être démolies dans des périodes préhistoriques.
En conséquence, des millions de tonnes d’eau salée chaude et de la vapeur ont commencé à s’échapper. Le niveau de la mer autour du globe est monté nettement. La vapeur d’eau s’est condensée et est brutalement tombée à terre. La pluie a duré 40 jours. Tout cela a entraîné un événement qui plus tard a été décrit comme le Déluge. Par la suite, l’eau a été aspirée à nouveau dans les profondeurs de la planète.
Les résultats diffusés par les chercheurs US indiquent qu’un événement catastrophique peut se produire encore, au moins d’un point de vue théorique.
Le professeur Wysession insiste sur le point que les zones localisées sous les océans souterrains ont aussi de l’eau. Il se réfère précisément aux parties du manteau où les recherches n’ont pas encore été faites. Le professeur Wysession croit qu’il y a beaucoup d’eau en dehors de là. Selon ses évaluations, la quantité d’eau peut être cinq fois plus grande que celle de tous océans de la surface de la Terre.

5.)   De mystérieux objets sous-marins non identifiés, les OSNIS.

Nous connaissons bien les objets volants non identifiés ou ovnis. De nombreuses observations ont été faites depuis la nuit des temps. Par contre, nous parlons beaucoup moins d’engins sous-marins mystérieux que l’on pourrait baptiser osnis.
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les forces navales du monde entier ont fréquemment relevés la présence d’engins sous-marins dont les performances sont bien supérieures à tout ce qu’elles possèdent elles-mêmes.

Ces engins non identifiés semblent se cantonner dans des lieux particuliers de la planète, dont notamment les eaux scandinaves et la côte est de l’Amérique du Sud.
Performances des (osnis) que l’on nommera Ovni tout de même, car ils peuvent évoluer sans problème sous l’eau comme dans l’air.
Tout d’abord, il faut préciser que de nombreux engins non rien de mystérieux.
Les grandes puissances passent leur temps à s’espionner et beaucoup d’ovnis ne sont sans doute que des sous-marins soviétiques, américains, ou autres. Par contre, certains témoignages sont vraiment troublants.
Effectivement, certaines performances et comportements de ces ovnis excèdent largement ceux des marines traditionnelles. On retrouve donc le même cas de figure entre les performances de notre flotte aérienne et celles de certains ovnis.
Au début de 1985, la France lança le Nautile, sous-marin de recherche capable de descendre à 6 000 m et possédant des vitesses de montée et de descente élevées (1 m/s). Il s’agit d’un sous-marin de poche qui participe à de multiples campagnes françaises et internationales d’exploration des grands fonds sous-marins.
Le sous-marin nucléaire français le Triomphant
Le premier sous-marin nucléaire d’attaque français, le Rubis, a été lancé en 1979. Long de 72 m, large de 7,6 m, il déplace 2 400 t en surface et progresse en plongée à la vitesse de 25 nœuds (46 km/h). L’un des records de plongée pour un sous-marin normal est de 1 900 mètres.


On peut constater que les ovnis ont des performances très supérieures. Par exemple, pendant les manœuvres en Atlantique Nord de 1963, le porte-avion américain Wasp et douze autres vaisseaux détectèrent un engin énorme voyageant sous l’eau à 150 nœuds (280 km/h). Il les accompagna quatre jours durant, manoeuvrant au milieu d’eux et plongeant parfois à des profondeurs de 8 000 mètres. A cette époque, aucun submersible ne pouvait descendre à une telle profondeur et aller aussi vite ; c’est d’ailleurs toujours valable aujourd’hui malgré les progrès technologiques.

Quelques exemples d’ovnis

En 1978, il y eut une vague d’ovnis en Italie. Plus de 500 rapports furent recueillis. Le long des côtes de l’Adriatique, la liste des phénomènes inexpliqués comprenait des colonnes d’eau s’élevant à 30 m par mer calme, des lumières rouges et blanches suivant les bateaux de pêche la nuit, des ovnis sur ou sous la surface de l’eau, émergeant et plongeant en produisant des interférences électriques sur les radars, radios et télévisions. Les pêcheurs finirent par exiger une protection militaire pour sortir en mer.
Le 1er août 1962, à 23 heures, trois pêcheurs français du port de Brusc, en Méditerranée, virent un long engin métallique qui se déplaçait à la surface de l’eau. Ils pensèrent que c’était un sous-marin.  
Puis, l’eau se mit à bouillonner autour de l’engin et une douzaine d’hommes-grenouilles émergèrent. Les pêcheurs les interpellèrent mais aucun ne répondit puis le dernier se tourna vers eux et les salua. Jusque là, rien d’extraordinaire.
Seulement les pêcheurs ahuris virent l’engin s’élever, des lumières clignotèrent et l’étrange sous-marin accéléra pour ne plus devenir qu’un point lumineux dans le ciel.
De telles activités ont été relevées un peu partout dans le monde. Si l’on trie tous les rapports et que l’on retire les erreurs et les canulars, il reste des phénomènes inexpliqués.
En avril 1967, deux jeunes danois virent un engin lâcher plusieurs objets dans le Kattegat, à 80 km au nord-est de Copenhague. Ceux que l’on récupéra se révélèrent, à l’analyse, composés de chaux et de « charbon non organique » mélangés à une matière totalement inconnue.
Il est bien sûr impossible de citer tous les rapports. Par contre, il semble que de nombreux gouvernements aient porté un vif intérêt à toutes ces activités sous-marines. Ce qu’ils ont appris du matériel repêché depuis 60 ans demeure toujours inconnu du public.

D’où viennent ces ovnis ?

Autant préciser tout de suite qu’il n’existe aucune théorie scientifique à tous ces phénomènes. Citons tout de même les thèses de quelques ufologues :
En 1970, Ivan T. Sanderson, biologiste et fondateur de la Société pour l’investigation de l’inexpliqué, a publié un livre sur les « Résidents Invisibles ». Il y expose quelques cas analogues à ceux qui sont cité dans ce dossier.
Il suggère que, sous les océans, vit une race plus vieille que l’humanité.
En avance sur le genre humain, ils ont développé une technologie qui leur permet des exploits comme les voyages interstellaires. 
Pour l’auteur, les ovnis sont également leur création.
Cette « race » dériverait des formes de vie qui ne quittèrent pas la mer pour évoluer.
Le Sognefjord, en Norvège, a été le théâtre d’une chasse à l’ovni en 1972, infructueuse malgré les énormes moyens techniques mis en place.
De son côté, l’ufologue John Keel avance « qu’une force aéronavale clandestine opère sur cette planète ». Il suppose que ces bases sous-marines se situent près du cercle polaire.
D’autres ufologues sont persuadés que des engins venus d’autres mondes ont établi des bases sous-marines sur Terre.
Une chose est certaine, les mers et océans sont encore un monde inconnu et nul ne sait vraiment ce qui se cache dans les plus grandes profondeurs.

6. ) Des roches de deux milliards d’années

 

Des roches de deux milliards d’années surgissent du manteau terrestre… Cela est impossible selon les théories…
Sous l’océan Arctique, la surprenante dorsale Gakkel, à l’activité très lente, fait remonter du manteau des roches anciennes, qui ont résisté au recyclage en profondeur par la tectonique des plaques. 
Les géologues sont stupéfaits, parce que la découverte met à mal la théorie classique, mais enthousiasmés car ces roches ouvrent des archives inespérées sur le passé de la Terre.
« J’ai failli en tomber de ma chaise » commente Jonathan Snow, du département de Géosciences de l’université de Washington. Lui et ses collègues d’une équipe internationale viennent de publier dans la revue Nature les premiers résultats d’une analyse de carottes extraites du fond de l’océan Arctique, sous la calotte polaire, au niveau de la dorsale Gakkel par le navire océanographique allemand Polarstern.
Dans ces roches fraîchement issues du manteau terrestre, les géologues ont découvert des inclusions auxquelles des datations à l’osmium ont donné un âge de deux milliards d’années. Or, c’est impossible d’après les théories en vigueur…
La dorsale Gakkel n’a donc pas déçu les espoirs des scientifiques, qui s’intéressent depuis plusieurs années à cette balafre cachée à cinq mille mètres de profondeur sous les glaces arctiques.
Regardez la Terre au-dessus du pôle nord, retirez la calotte glaciaire, asséchez l’océan et vous découvrirez cette chaîne montagneuse, reliant le Groenland à la Sibérie.
Il s’agit d’une dorsale, comme celle qui, au milieu de l’océan Atlantique, fabrique un plancher océanique éloignant le continent américain de l’Eurasie et de l’Afrique à plus de dix centimètres par an à certains endroits.
Mais la dorsale Gakkel, bien plus paresseuse, ne repousse les continents qui l’entourent que de 6 millimètres par an. Elle est pourtant le siège d’une belle activité sismique et on y a repéré des volcans et des cheminées hydrothermales.
Au niveau de la dorsale Gakkel, lente mais géologiquement active, le fond océanique délivre des roches fraîchement sorties de l’asthénosphère.
A ce niveau, comme dans toute dorsale, des matériaux remontent vers la surface, issus du manteau terrestre, cette vaste zone (70% de la masse de la planète), située entre le noyau et la croûte.
Ces roches ont donc subi la température et la pression régnant à grande profondeur. Parvenues en surface, elles forment un plancher océanique, poussé comme un tapis roulant par l’activité de la dorsale. Au contact d’un continent, le plancher océanique plonge en profondeur et les roches retrouvent le manteau, au niveau de l’asthénosphère, où la température et la pression les transforment pour les faire revenir à leur état d’origine.

Un manteau plus complexe qu’on ne l’imaginait …

Ces inclusions, en quelque sorte, conservent le souvenir des cycles précédents. En leur sein, l’horloge n’a pas été remise à zéro par la re-cuisson dans l’asthénosphère. Pour dater ces fragments de péridotites, les géologues ont utilisé une technique basée sur le rapport de deux isotopes (187 et 188) de l’osmium, un élément rarissime. Cette méthode, nouvelle et encore peu usitée, a indiqué un âge incroyablement élevé.
Ces inclusions dateraient de deux milliards d’années, pulvérisant tous les records pour une roche prélevée au fond des océans. Elles peuvent donc révéler de nombreux indices pour les géologues, qui y trouveront de nouvelles archives à compulser…

7. Ruines , et structures Sous-marines dans les Bahamas

En 1958, quelques scientifiques américains ont découvert d’étranges structures durant leurs études sous-marines dans les eaux entourant les Iles Bahamas.
Ces constructions constituent des motifs géométriques spécifiques, s’étendant en ligne droite sur plusieurs miles.
Dix ans plus tard, des murs de pierre géants, 400-500 pieds de long, ont été trouvés tous prés. Les extensions formaient un angle droit exact avec le mur principal. Le mur était composé de rochers géants de plus de 30 centimètres carrés.
Plus tard, des plateformes plus complexes, des routes, des ports, des ponts, et autres ont été identifiés.
Les ruines entières étaient arrangées comme un port.
De plus, les scientifiques européens ont découvert, durant les recherches sous-marines dans le Triangle des Bermudes, une pyramide géante sous l’eau auparavant inconnue.
La pyramide était de 300 mètres de coté, et 200 mètres de hauteur.
Il y avait deux trous géants dans la pyramide, qui étaient de toute évidence de facture humaine.
L’eau de mer se ruait à l’intérieur de ces deux trous, créant un tourbillon géant et ainsi créant un vortex tout prés. 
 Cela rendait aussi la surface de l’eau trouble. Il est difficile d’estimer quand cette pyramide a été construite. C’était il y a plus de dizaines de milliers d’années lorsque la terre s’enfonça dans la mer.

Ruines sous-marines dans les Caraibes

Des vestiges de 10.000 ans découverts en Amérique Centrale
Des structures de pierre profondément immergés en dessous de la surface de l’océan pourraient avoir été érigées par une civilisation inconnue, il y a environ 10.000 ans ! Il y avait probablement une liaison terrestre entre les Caraïbes et le Yucatan !
Vestiges de Guanahacabibes à Cuba.

En 2000, Paulina Zelitski, ingénieur naval d’origine soviétique émigrée au Canada depuis 1971, découvre sur les images sonars de son système informatique, des relevés très géométrique sous la côte cubaine à plus de 750 mètres de profondeur. Ils furent étonnés par les étranges formations prenant place sur une aire de 8 kilomètres carrés de la pointe ouest de Cuba.
Selon Zelitsky les structures devraient avoir été construites par des gens inconnus, quand le lit actuel de l’océan était en réalité au-dessus la surface, l’activité volcanique peut expliquer comment le site a pu être immergé à grandes profondeurs en dessous de la surface de la Mer Caraïbe.
Paulina Zelitsky croit avec passion que les structures mégalithiques découvertes prouvent qu’une civilisation a vécu il y a des milliers d’années, sur une île qui s’étendait de l’archipel de Cuba jusqu’à la péninsule du Yucatan, cent quatre vingt kilomètres plus loin.
En 2001, un robot sous-marin de poche équipé d’une caméra de plongée a filmé les structures et révèla des formes de cubes et de pyramides, traversé par des ruelles, tel qu’on pourrait l’imaginer dans un un gros centre urbain, datant d’au moins 6.000 ans.
Cette ville engloutie serait située au large de la péninsule de Guanahacabibes (extrémité ouest de Cuba).
Les évidences apportées par Zelitzky sont loin d’être concluantes et ont été regardées avec beaucoup de scepticisme des académiciens spécialisés en archéologie des autres pays, qui de toute façon ne souhaitent pas voir la découverte se publiciser tant que des preuves ne seront pas apportées.
Les rares entretiens accordés par les « explorateurs », en particulier par Paulina Zelitsky, ne sont pas très convaincants et les enregistrements des sonars encore en cours d’analyse…
Les découvreurs ne parlent pas d’Atlantide mais seulement d’une cité apparentée aux débuts de la culture de Téotihuacan. Les tenants d’une liaison terrestre entre les Caraïbes et le Yucatan mexicain à un moment de l’Histoire voient leur théorie renforcée.
Voir aussi les pyramides sous-marines au large du Japon : http://wikistrike.over-blog.com/article-e-67610507.html

8.)  L’île aux déchets

Grande comme la France, une zone de déchets transportés par les courants a été repérée entre Hawaii et la Californie.

Elle est en plastique. Elle fait la taille de la France. Elle rassemble tous les déchets du Pacifique. Cette plaque de détritus n’a pas de nom en français, les Américains, eux, hésitent encore entre « The Great Pacific Garbage Patch », ou plus simplement « The Pacific Trash Vortex ». On soupçonne l’existence de semblables plaques sur d’autres océans.
Ce sont les courants océaniques autour de la zone qui sont à l’origine de la concentration des déchets, comme l’explique François Chartier, membre de Greenpeace spécialisé dans la protection des océans. On connaissait depuis quelques années l’existence de cette plaque de détritus, mais les informations, floues et variables, discréditaient la découverte. Aujourd’hui, des équipes de scientifiques affirment son existence. 
Cela a commencé dans les années 90 avec les recherches de l’océanographe Charles Moore, membre de l’équipage de l’Algalita marine research Fondation.
En étudiant la concentration de débris de plastique flottant dans cette région, Charles Moore obtient ces chiffres ahurissants: trois millions de morceaux de plastique par km2.
Dans la zone centrale, dans ce qui s’appelle le Trash Vortex, les études s’accordent à dire que l’on trouve aujourd’hui six kilos de plastique pour un seul kilo de plancton.
En 2006, des données circulent dans la presse américaine: on parle d’un nouveau continent, d’une taille de 3,5 millions de km2. Dans la presse française, rien. Les sceptiques se méfient: aucune photo, aucune vidéo n’étaye ces affirmations, et seuls des témoins de l’Algalita fondation affirment avoir vu cette île de déchets. Peu poissonneuse, sans courants, la zone n’attire ni pêcheurs, ni plaisanciers.
Après le passage en novembre 2006 de l’Esperanza, navire de Greenpeace, on évalue sa surface à un peu plus de 600000 km2, soit environ la taille de la France.
Les photos prises par l’ONG ne sont pas significatives.
Avec les vagues, le sel, les chocs, le plastique s’est fractionné en morceaux de quelques millimètres, qui voguent entre la surface et plusieurs mètres de profondeur. Pas une masse solide donc, mais d’une zone où l’eau est saturée de débris.
Cette plaque s’est formée pendant plusieurs décennies, coincée entre Hawaï et la Californie, entourée de courants concentriques qui ont ramené les déchets du Pacifique dans ce « trou noir ». Une fois piégés, ces déchets restent dans le même secteur, sans doute pour plusieurs siècles: aucun pays ne veut assumer la responsabilité du nettoyage de la zone, opération très coûteuse. Mêmes causes, mêmes conséquences pour d’autres plaques de déchets, comme celle observée près du Japon, et celle dont on soupçonne l’existence dans la mer des Sargasses, à proximité des Bahamas.

Des polluants persistants ingérés par les albatros et les tortues

La faune marine a pris possession de cette « île »: les albatros se posent sur les plus gros déchets, avalent un peu de plastique qu’ils confondent avec le plancton, et le refilent à leurs petits. Les tortues s’en font des abris entre deux eaux et ingèrent également du plastique.
Une étude Greenpeace estime que 80% des tortues marines du globe ont déjà mangé du plastique.
L’organisme de ces animaux concentre alors des polluants organiques persistants (POP), comme le PCB et le DDT. Quant à ce qui se retrouve dans notre assiette, pas d’étude au programme.
Seule action possible: limiter la formation de ces plaques en réduisant la production de déchets. Seuls 20% de ces millions de tonnes de déchets proviendraient des bateaux, la grande majorité étant à l’origine entreposée sur la terre ferme, avant d’être rejetée sur le rivage et happée par les courants.

9. )     Les déserts sous-marins


Les plus grand déserts ne sont pas sur Terre mais sous l’eau.
Les espaces océaniques où la faune et la flore sont presque absentes s’agrandissent encore plus vite que prévu par les modèles les plus pessimistes.
Sahara, Gobi, Vallée de la mort…tous sont de grands déserts secs, arides et très peu peuplés. Mais sur le globe, il existe des zones bien plus vastes où la vie est quasiment absente : ce sont les déserts biologiques océaniques.
Ils se situent dans les régions subtropicales de l’océan Pacifique et Atlantique et au sud de l’océan Indien au niveau des gyres (zone où les courants décrivent de grands mouvements tournants).
Ils sont maintenant repérables par des satellites comme Seastar qui réalise des cartes colorimétriques des océans : plus les eaux sont vertes et plus elles sont riches en organismes photosynthétiques, ce qui permet une mesure de la flore à la base de la chaîne alimentaire.
Dans une étude a paraître dans Geophysical Research Letters, des océanographes font état d’une inquiétante expansion de ces zones désertiques.
 Leurs mesures indiquent qu’entre 1997 et 2006 elles ont augmenté de 6,6 millions de Km², soit 15% environ.
Cette tendance est générale et seul le sud de l’océan Indien y échappe. Selon eux, cet élargissement est corrélé au réchauffement des gyres et serait attribuable à la hausse généralisée des températures.
En effet les eaux des gyres sont déjà fortement stratifiées et seul le vent, en créant un peu d’agitation, arrive à ramener des nutriments des eaux profondes vers la surface pour alimenter plantes et animaux. Le réchauffement accroît encore plus cette stratification rendant quasiment impossible les échanges de nourriture, d’où l’appauvrissement biologique des gyres.
Le problème est que ces déserts s’agrandissent 10 à 25 fois plus vite que ce que prédisaient les modèles climatiques.
Certains scientifiques pensent qu’il s’agit là d’une variation naturelle amplifiée par un coup de chaud du globe et qui pourrait se renverser dans une décennie ou deux. Malheureusement, la courte durée de vie des satellites fait qu’ils seront hors jeu à ce moment.
Sources du dossier : http://wikistrike.over-blog.com/article-sous-71771507.html et http://wikistrike.over-blog.com/article-sous-nos-mers-ii-71776337.html


10.) Mystérieuses structures circulaires au fond de la baie d’Hudson

 

Les chercheurs ont repéré deux types 
de structure sous-marine sur les fonds de la baie d’Hudson: 
 des évents (en haut à droite sur la photo), qui ont l’allure de dépressions circulaires d’une centaine de mètres de diamètre, et des formes circulaires deux fois plus grandes avec un dôme central
Des géographes du Centre d’études nordiques découvrent des formes sous-marines inédites au fond de la baie d’Hudson (La baie d’Hudson, située au Canada, entre le Québec et l’Ontario, est l’une des plus grandes au monde, entourée par le Québec, l’Ontario, le Manitoba et le…).
Non, ce ne sont pas des traces d’impact de météorites ni des empreintes laissées par vaisseaux extraterrestres.
Pour des géomorphologues, toutefois, c’est tout aussi excitant. Jonathan Roger et Patrick Lajeunesse, du Département de géographie et du Centre d’études nordiques, ont découvert, au fond de la baie d’Hudson (La baie d’Hudson, située au Canada, entre le Québec et l’Ontario, est l’une des plus grandes au monde, entourée par le Québec, l’Ontario, le Manitoba et le…), des formes sous-marines jamais observées ailleurs dans le monde
Les deux chercheurs et leurs collègues Mathieu Duchesne et Nicolas Pinet, de la Commission géologique du Canada (CGC), et Guillaume (Guillaume est un prénom masculin d’origine germanique.
 Le nom vient de Wille, volonté et Helm, heaume, casque, protection.) St-Onge de l’UQAR, présentent tout ce qu’ils ont recueilli comme information au sujet de ces étranges structures dans un rapport qui vient d’être remis à la CGC.
Dans la nuit du 17 juillet 2010, à 0 h 53, alors que le navire de recherche (La recherche scientifique désigne en premier lieu l’ensemble des actions entreprises en vue de produire et de développer les connaissances scientifiques. Par extension métonymique, la recherche scientifique désigne également le cadre social, économique,…) 
Amundsen croisait dans les eaux de la baie d’Hudson pendant une mission d’ArcticNet, une image étonnante est apparue sur l’écran du sonar multifaisceaux utilisé pour cartographier les fonds marins.
«Le capitaine Stéphane Julien m’a réveillé en me disant que quelque chose d’inhabituel avait été repéré, se souvient Jonathan Roger. Ma première réaction en voyant l’image a été « C’est quoi ça? ».
 C’était du jamais-vu pour moi.» Sentant qu’il est tombé fortuitement sur quelque chose d’inédit et d’important, l’étudiant-chercheur convainc le capitaine de modifier l’itinéraire du navire (Un navire est un bateau de fort tonnage, ponté et destiné à la navigation en pleine mer, c’est-à-dire lorsqu’il est prévu pour naviguer au-delà de la limite où cessent de s’appliquer les règlements techniques de sécurité de navigation…) pour effectuer quelques passages au-dessus de la zone, dans l’espoir de recueillir le plus de données (Dans les technologies de l’information (TI), une donnée est une description élémentaire, souvent codée, d’une chose, d’une transaction d’affaire, d’un événement, etc.) possible sur ces structures.
Les formes sous-marines en question résultent du remodelage des sédiments de sable et d’argile qui reposent au fond de la baie d’Hudson. Les chercheurs les ont classées en deux types. 
Les premières, appelées évents, avaient déjà été signalées à différents endroits dans le monde (Le mot monde peut désigner :). Ce sont des dépressions circulaires dont la profondeur varie de 10 à 20 mètres et dont le diamètre (Dans un cercle ou une sphère, le diamètre est un segment de droite passant par le centre et limité par les points du cercle ou de la sphère.) fait jusqu’à 100 mètres.
«Les évents sont souvent associés à la présence d’hydrocarbures dans les couches sous-jacentes, explique Jonathan Roger.
 Leur formation résulterait de l’expulsion, à travers une couche géologique perméable ou par une fracture, d’un gaz (Au niveau microscopique, on décrit un gaz comme un ensemble d’atomes ou de molécules très faiblement liés et quasi indépendants (pour plus de détails, voir gaz réels).) ou d’un liquide (La phase liquide est un état de la matière.).
Ici, il pourrait s’agir d’hydrocarbures ou d’eau. Les données (Dans les technologies de l’information (TI), une donnée est une description élémentaire, souvent codée, d’une chose, d’une transaction d’affaire, d’un événement, etc.) dont nous disposons ne permettent pas de trancher la question.»

Des remontées de sel ?

Le second type de structures, que les chercheurs se limitent pour l’instant à nommer « formes circulaires », est inédit.
Elles ont été découvertes au centre de la baie d’Hudson, mais il n’est pas exclu que d’autres secteurs de ce plan d’eau en abritent. Ces anneaux ont un diamètre qui dépasse 200 mètres et une profondeur d’une dizaine de mètres; un dôme () se dresse en leur centre. Comme il existe une couche de sel d’une trentaine de mètres d’épaisseur sous les premières couches qui forment le fond de la baie d’Hudson, il pourrait s’agir de remontées de sel.
Les chercheurs ont plus de certitude quant à l’âge des deux types de structure: elles auraient été formées après les dernières glaciations, il y a moins de 8500 ans. En effet, les cicatrices laissées par les icebergs sur les fonds de la baie d’Hudson s’arrêtent brusquement lorsqu’elles croisent des évents ou des formes circulaires. «Si les icebergs étaient passés après la formation de ces structures, ils les auraient aplanies», explique Jonathan Roger.

L’étudiant-chercheur ne cache pas son enthousiasme face à cette découverte. «Ce n’est pas le sujet de ma maîtrise, mais j’y ai consacré beaucoup de temps parce que c’est fascinant.» Il est toutefois conscient que beaucoup de questions sont présentement en suspens.
 «Nous aimerions retourner dans ce secteur pour prélever des carottes de sédiments dans les deux structures, pour faire la sismique afin de déterminer la nature des couches sous-jacentes sans avoir à forer et pour récolter des données sur la composition de la colonne d’eau. Ces informations nous permettraient de savoir de quoi ces formes sont composées et de mieux comprendre comment elles ont été formées. 
Nous pourrions aussi savoir si les évents sont toujours actifs et déterminer ce qui s’en échappe.» Les chercheurs devront toutefois faire montre de patience. En raison de la forte demande pour l’Amundsen, l’expédition pourrait avoir lieu, au mieux, en 2012.
source : http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=9010


        

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